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La rencontre entre les U18 de Pirey/Ecole Valentin et Gj Grand Besançon Est, les deux premiers du groupe B de départemental 2, s’est soldée sur un score nul et de parité. Aucune des deux formations n’est parvenue à prendre le dessus. Trop crispés par l’enjeu, les jeunes footballeurs ont montré de la fébrilité et ont multiplié les erreurs techniques et les approximations.

Compte tenu du résultat final, pas de changement au classement. Pirey/ Ecole Valentin conserve sa première place et son avantage d’un point, avec un match en retard par rapport à son dauphin. Quant à GJ Grand Besançon Est, il reste sur la deuxième marche du podium. Statu quo avant les dernières journées qui s’annoncent âprement disputées. D’autant plus que Franois/Pouilley reste en embuscade à la 3è place.

Les photos du match : https://www.facebook.com/jerome.bolard.9/media_set?set=a.10216436349444721.1073742249.1335941570&type=3

Un accident impliquant deux motos s’est produit cet après-midi, vers 16h30, aux Bouchoux (39). Les deux pilotes ont été pris en charge par les secours. Grièvement blessés, ils ont été transportés sur le centre hospitalier d’Oyonnax. L’un d’eux a dû être médicalisé sur place.

Dans la nuit du 27 au 28 avril une importante pollution aux hydrocarbures a été constatée sur le Doubs à hauteur de Pont de Roide. Une nappe de fioul de 150 m de long s’épandait sur le fleuve. Alertés, les sapeurs-pompiers sont rapidement intervenus et ont mis en place trois barrages filtrants successifs pour stopper la dérive de la nappe.

L’origine de la pollution proviendrait d’un réseau d’eaux pluviales récepteur de cette fuite de gasoil engendrée en amont. Cette intervention nocturne a mobilisé une vingtaine de sapeurs-pompiers qui ce samedi vont surveiller leur dispositif de filtrage. Une opération de pompage de la nappe est prévue dans la journée.

Dans le même temps, des mesures de précaution ont été prises pour les points de captage d’eau potable sur le Doubs notamment la station de pompage de Mathay située 6 -7 km en aval, qui alimente une partie de l’agglomération de Montbéliard. A titre préventif, le pompage dans le cours d’eau a été provisoirement stoppé, le temps d’installer un barrage flottant à hauteur du captage et d’activer un traitement au charbon actif.

"Aucune trace de pollution n’a été constatée mais les services restent vigilants et sont mobilisés pour mettre fin à cette pollution" explique la Préfecture du Doubs.

Comment sensibiliser les étudiants dont les soirées du jeudi soir sont devenues parfois excessives Ã  Besançon ? Plusieurs graves accidents ont encore eu lieu cette année au centre-ville, notamment à cause de l’alcool. La ville s’est d’ailleurs préoccupée du sujet en créant la charte de la vie nocturne et en instaurant des actions préventives et de sensibilisation. Une problématique identique touche également les lycéens, dont l’ivresse est également bien connue le mercredi après-midi.

Concernant les plus grands, depuis cinq années maintenant, des étudiants, qui se sont formés, accompagnés par la mutuelle « Smerra Â», ont décidé de s’impliquer dans des actions de prévention. Chaque jeudi soir, de 20h30 à minuit, ces jeunes sillonnent les rues du centre-ville de la capitale comtoise pour alerter et informer. « Notre objectif est de les responsabiliser et de faire que leur soirée se passe bien Â» explique Bruno Demarcellis de la Smerra.

Equipés d’une sacoche remplie d’alcootests, de bouchons d’oreilles et de préservatifs, les trois étudiants et l’adulte sillonnent le territoire et au grès de leurs rencontres échangent, discutent et offrent le matériel de prévention en leur possession. « Besançon est une ville étudiante, sans son jeudi soir, ce ne serait pas une vraie ville étudiante. Il faut éviter les risques. Nous, nous sommes là pour essayer de les prévenir Â» explique Eva. Celiya croit en cette opération. « Nous sommes étudiantes. Nous connaissons les soirées du jeudi soir. Il n’y a rien de moralisateur. Cela passe beaucoup mieux lorsque cela vient de quelqu’un qui est leur égal Â».

Avant leur action sur le terrain, les trois jeunes filles ont participé à deux journées de formation à Lyon, portant sur les risques auditifs et liés à l’alcool, la sexualité et la communication pour ce genre d’exercice. Cette nuit là, le petit groupe aura sans doute éveillé les consciences chez des jeunes fêtards et permis à certains de se responsabiliser et d’éviter de se mettre en danger.

Ce vendredi, la Ville de Besançon inaugurait la maison du projet de l’écoquartier des Vaîtes. C’est une nouvelle étape qui vient d’être réalisée dans ce projet d’urbanisme vieux de 40 ans. Tout n’est pas encore réglé puisqu’une décision de justice est attendue après la démarche entreprise par la propriétaire d’un terrain auprès du conseil d’état. « Ce qui nous retarde un peu Â» reconnaît Nicolas Bodin, l’élu en charge de l’urbanisme à la ville de Besançon.

L’implantation d’un nouveau quartier aux Vaîtes à Besançon n’est pas un long fleuve tranquille. Les premières réflexions ont été lancées dans les années 80. Environ mille logements devraient voir le jour. Un nouveau groupe scolaire devrait également y être construit. « Ce sera un écoquartier avec un usage particulier par rapport aux voitures, mais aussi en termes de commerce et de service Â» explique Nicolas Bodin. L’élu souhaite également attirer l’attention sur la situation géographique de ce nouveau lieu de vie. « Il se trouve dans un écrin de verdure. Il est totalement desservi par le tramway. Les futures habitations se trouveront à quelques minutes seulement du centre-ville, en tramway ou à pied» explique-t-il. Les travaux de construction devraient être lancés l’année prochaine. Le chantier durera une quinzaine d’années.

La maison du projet des Vaîtes est donc ouverte au public. Les riverains et les futurs habitants y trouveront à l’intérieur toutes les informations concernant l’évolution du projet. Des réunions publiques et de chantier s’y tiendront également.

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