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Journée de mobilisation ce mardi dans la fonction publique. Plus de 1000 personnes se sont données rendez-vous à Besançon sur le parking du stade Léo Lagrange. Des manifestations ont également eu lieu à Saint-Claude et Dole ce matin.

Cet après-midi, les manifestants se donnent rendez-vous à 15h30 à Lons-le-Saunier et à 16h à Pontarlier sur la place d’Arçon. Selon des chiffres communiqués par le rectorat de Besançon, 20,3 % des enseignants du 1er degré sont en grève dans l’académie aujourd’hui. Le taux de grévistes atteint 10,2% dans le second degré.

C’est parti pour deux semaines de promotion du dispositif auprès du grand public en Bourgogne Franche-Comté au moyen d’une « Tournée de la Quinzaine » animée par un groupe d’ambassadeurs et des volontaires mobilisés localement.

Sous l’impulsion de la Direction Régionale et Départementale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale (DRDJSCS) de Bourgogne-Franche-Comté, avec le soutien du Conseil Régional Bourgogne-Franche-Comté, l’Union Française des Centres de Vacances (Ufcv) coordonne l’organisation de cette opération. Quinzaine du Service Civique, du mardi 22 mai au dimanche 3 juin 2018.

Le Service Civique constitue selon l’Etat le vecteur privilégié de l’engagement des jeunes et contribue à la cohésion nationale et à la mixité sociale. Sa généralisation doit permettre à tous les jeunes de s’engager dans une mission d’intérêt général et de bénéficier d’une expérience reconnue et valorisée au sein d’une association, d’une collectivité ou d’un service public.

« Depuis la loi du 10 mars 2010 relative au Service Civique, le dispositif a connu un large développement en Bourgogne - Franche-Comté. Plusieurs enjeux pour progresser en termes d’incitation à l’engagement et mieux agir sur la qualité du dispositif émergent : Le sentiment de fierté de s’engager et d’appartenance à une jeunesse mobilisée pour l’intérêt général doit être renforcé ; Les liens entre structures d’accueil doivent être développés et renforcés pour faciliter les échanges et les coopérations ; L’identification par le grand public reste à améliorer ».

Naissances :

11/05/18 – Martin de Valentin GIRARDET, technicien des eaux usées et de Delphine COURGEY, gestionnaire de copropriété.

11/05/18 – Nandi de Johan LIVERNEAUX, agent de réseaux d’eau et de Célia GERVASONI, assistante médicale.

12/05/18 – Soline de Vincent LOYE, installateur d’ascenseurs et de Loraine BERTINGUYON, préparatrice en pharmacie.

12/05/18 – Kathleen de Gaoussou DIABATE, sans profession et de Chadé Natacha PETTINARI, aide-soignante.

12/05/18 – Elmin de Jasminka DELIC, femme de ménage.

12/05/18 – Manon de Franck MIDOL, agriculteur et de Joannah LE CHÊNE, étudiante en agriculture.

13/05/18 – Louis de Pierre GUY, distillateur et de Lucie METTEY, podologue.

13/05/18 – Théa de Anthony DIAZ, décolleteur et de Jennifer RAMEL, opératrice en horlogerie.

13/05/18 – Elyot de Giulio GIRALDO, bûcheron et de Stéphanie BINETRUY, aideménagère.

13/05/18 – Basile de Antoine EMONIN, menuisier et de Élise CERF, polisseuse.

13/05/18 – Maxime de Romain DONADIEU, logisticien et de Julie CHAMPAGNAT, aidesoignante.

14/05/18 – Mylana de Gaël BELOT, cariste et de Alexia LOUREAU, hôtesse de caisse.

15/05/18 – Lucien de Cyril RICHARD, mécanicien poids lourd et de Coralie DELAVENNE, aide-soignante.

15/05/18 – Lina de Olivier LESTRIEZ, agent de maintenance et de Magaly VANOTTI, auxiliaire de puériculture.

16/05/18 – Simon de Loïc SEBILE, professeur de musique et de Pauline POBELLE, facteur d’instrument à vent.

16/05/18 – Lena de Mickaël MONNIN, technicien farteur et de Manon BOULACHIN, traductrice.

16/05/18 – Marius de Léo CHAMPROMIS, professeur des écoles et de Léa RETORNAZ, professeur des écoles.

16/05/18 – Anastasia de Michaël PLAISANT, ouvrier et de Gwenaëlle GIBARD, sans profession.

17/05/18 – Rose de Guillaume GAUGEY, chef de projets constructeur et de Audrey COINTET, conseillère financière.

17/05/18 – Louna de Aurélien GALLAT, soudeur et de Julie SELLIER, hôtesse de caisse.

17/05/18 – Tom de François LE BIAN, manipulateur en électro-radiologie médicale et de Roseline PERROT-MINNOT, secrétaire médicale.

17/05/18 – Anaë de Guillaume MINARY, maçon et de Doriane GOVEN, préparatrice en pharmacie.

17/05/18 – Nathan de Aurélien BÔLE, informaticien et de Katy DE BASTOS, comptable.

18/05/18 – Yaëlle de Damien BARDEY, boulanger et de Marie HUGUES-DISSILE, comptable.

Publications :

18/05/18 – Johan MANGEMATIN, peintre en bâtiment et Marie TABALLET, coiffeuse.

Mariages :

19/05/18 – Axel JOUANNET, ingénieur en horlogerie et Mathilde BLANCO, professeur des écoles.

19/05/18 – Steve LOCATELLI, photographe indépendant et Bryan PAPONNET, sans profession.

Décès :

16/05/18 – Henri BOURGEOIS, 86 ans, retraité, domicilié à Mouthe (Doubs), veuf de Lucienne PICHON.

16/05/18 – Pierre CLÉMENT, 87 ans, retraité, domicilié à Dournon (Jura), célibataire.

17/05/18 – Gisèle BOILLON, 79 ans, retraitée, domiciliée à Les Fins (Doubs), veuve de Maurice BIZE.

19/05/18 – Camille STUDER, 76 ans, retraité, domicilié à Métabief (Doubs).

21/05/18 – Maurice PARRIAUX, 78 ans, retraité, domicilié à Les Villedieu (Doubs), célibataire.

C’est une réalité. Le secteur de l’industrie peine à recruter. Pourtant, les acteurs de la filière présentent un secteur d’avenir, dans lequel il est possible de réaliser de belles carrières, qu’il s’agisse de l’évolution professionnelle ou de la rémunération.

A Ornans, la société ITW Rivex est à la recherche de quatre apprentis. Elle propose ainsi deux contrats d’apprentissage pour un CAP appelé Conduite d’Installation de Production (CIP) et deux autres pour des ingénieurs. Concernant ces deux derniers postes à pourvoir, l’un des jeunes recrutés évoluera au sein du service méthode industrialisation. Le second dans le domaine de la production. Mr Lorillard, le responsable du site d’Ornans, explique que ces contrats ont pour vocation «  à former des jeunes, avec une possible intégration sur des postes après l’apprentissage Â».

Les jeunes intéressés doivent envoyer un CV et une lettre de motivation à ITW Rivex à Ornans ( route de Lonège – 25290 Ornans).

Arrivé à la tête du Racing Besançon il y a un an, Roland Girard a su redonner un second souffle au club et au football bisontin. Certes, rien n’est encore gagné, mais le Racing Besançon a retrouvé la dynamique qu’il avait perdu. Les couleurs du club, et notamment son rouge historique, sont de plus en plus flamboyantes. Il faudra néanmoins confirmer la saison prochaine. Le projet « RB 2020 Â» se poursuit, avec notamment deux axes principaux : la formation et la montée en puissance de l’équipe fanion qui, cette saison, a raté d’un rien l’accession en national 2. Les matches nuls contre Pontarlier et le SC Clémenceau sont dans toutes les têtes. Rencontre avec le patron du football bisontin.

Une réaction tout d’abord à la présence ce lundi à Baume-les-Dames de trois équipes du Racing (U15, U17 et U19) en finale de Coupe de Franche-Comté. Que vous inspire ces bons résultats ?

Cela récompense la formation du Racing. Nous tenons énormément à cette philosophie de formation puisque les jeunes joueurs issus de l’école de foot vont progresser au fur et à mesure des années. Jusqu’à 19 ans, la formation paie au Racing.

C’est ainsi que l’on construit un club. La jeunesse est importante ?

Oui. Avec les jeunes, mais aussi avec une équipe vitrine. Aujourd’hui, nous avons besoin pour l’équipe première de recruter. La formation apportera des éléments au fur et à mesure.

On revient sur cette fin de saison. Quels sentiments vous animent ? De la déception peut être…

Quand on est dans les objectifs, on n’est jamais déçu. J’entends par là, les objectifs sportifs, de structuration, de ramener une aisance financière au club, du public au stade,… . Tous les ingrédients sont là. On avait une petite cerise sur le gâteau qui était la montée en N2. Dès la première année, elle aurait pu se produire. C’était un bonus, mais les objectifs fixés pour ce premier exercice ont été atteints.

Qu’est ce qui a manqué au Racing Besançon pour confirmer cette montée ? Un peu de chance peut-être ?

Pour être champion, il faut forcément un peu de chance. Pontarlier avait aussi de l’expérience, que nous n’avons pas sur une première année. On relance un cycle. Ce sont plusieurs choses à prendre en compte pour expliquer le résultat obtenu.

Vous êtes en train de construire quelque chose de beau à Besançon. Cela se poursuivra-t-il  encore l’année prochaine ?

Bien sûr. Nous poursuivrons notre projet « RB 2020 Â», qui se décline sur trois ans. Cette première année a consisté à remettre les bases. Le deuxième étage de la fusée arrive dès la saison prochaine. Et le troisième, pour aller chercher une accession, si cela n’a pas été fait l’année d’avant, et continuer à structurer ce club.

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