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Le Sybert, qui gère les déchets sur une partie du Doubs, appelle la population à la vigilance. Depuis le début de l’année, trois agents qui trient manuellement les déchets, ont été piqués par accident avec des seringues sur la chaîne de tri.

Ce type d’accident impose un protocole de soins médicaux de six mois, accompagné de dépistages. Et ce afin d’écarter une éventuelle infection. En plus, de cet accompagnement, cette situation engendre du stress auprès du personnel.

C’est la raison pour laquelle le Sybert tient à rappeler que les déchets de soins ne peuvent être traités comme des déchets courants et ne doivent en aucun cas être jetés dans la poubelle jaune.

Il est précisé que le matériel piquant, coupant ou perforant doit être collecté dans des containers prévus à cet effet. Des boîtes hermétiques sont disponibles en pharmacie sur présentation de son ordonnance.

L’été, le niveau des stocks de sang reste fragile. C’est la raison pour laquelle l’Etablissement Français du Sang appelle de nouveau les Français à la mobilisation. La semaine du 15 août est toujours redoutée. Ainsi, depuis lundi, une semaine estivale est organisée au sein des huit maisons du don de la région. Ainsi, sur le site bisontin, implanté à Témis Santé, aux Hauts de Chazal, une ambiance plage a été créée pour permettre aux vacanciers de venir donner leur sang dans un environnement sympathique et estival.

Tout a été prévu pour le bien être des donneurs, après avoir donné leur sang, ces derniers se voient offrir une petite collation rafraîchissante, réconfortante et au couleur de l’été. Au menu : pain bagnat et cocktail de fruits rouges. Pour ceux qui souhaiteraient prolonger ce petit moment de plaisir, une masseuse accueille les participants et assure un temps de relaxation pendant 15 à 20 minutes.

Des besoins quotidiens

600 dons sont nécessaires chaque jour en région pour assurer le soin des malades et blessés. Le don de sang ne dure que 45 minutes. Il faut être âgé de 18 à 70 ans, être en bonne forme et avoir un poids supérieur à 50 kilos pour donner son sang. En maison du don, vous pouvez réserver votre créneau. Il suffit alors de se rendre sur mon-rdv-dondesang.efs.sante.fr. Toutes les dates des collectes mobiles sont consultables sur dondesang.efs.sante.fr

Naissances
 
03/08/18 – Zoé de Jordan STEINMESSE, électricien et de Clémence DUCRET, aide soignante.

03/08/18 – Marlon de André ROLLAND-PIEGUE, opérateur de production et de Elvira ZAHIROVIC, auxiliaire de puériculture.

03/08/18 – Lyes de Brahim ABJIJOU, menuisier et de Marion MISTRORIGO, assistante commerciale.

04/08/18 – Adan de Steven JACQUET, électricien et de Charline DUBOZ, coiffeuse.

04/08/18 – Joaquim de Matthieu DA COSTA, opérateur régleur et de Prescilia HERBIN, assistante maternelle agréée.

05/08/18 – Afra de Umut ÖZKAYA, technicien et de Serife YILDIZ, sans profession.

06/08/18 – Romane de Thomas CHEVENNEMENT, responsable service après-vente et de Noémie MAIRE, infirmière libérale.

06/08/18 – Clémant de Jonathan FOURNIER, intérimaire et de Elodie PERRIN, sans profession.

06/08/18 – Ambre de Hervé GUINCHARD, agent technique et de Chloé CHASTRUSSE, réceptionniste en hôtellerie.

07/08/18 – Zakaria de Abderrazzak MRABET, cariste et de Céline PETIT-RICHARD, préparatrice en pharmacie.

07/08/18 – Danny de Christophe JACQUET, menuisier et de Anne-Lise ROLIN, clerc de notaire.

03/08/18 – Lara de Kushtrim KASTRATI, polisseur et de Hanae NYA, sans profession.

08/08/18 – Justine de Julien MOUROT, enseignant et de Anaïs DESAINT, aide soignante.

09/08/18 – Nino de Marc HAMARD, berger et de Amélie LANGLOIS, sans profession.

09/08/18 – Kimilee de Jonathan FALLOT, tourneur fraiseur et de Laëtitia PERRIN, esthéticienne.

10/08/18 – Adèle de Jérémie BALANCHE, agriculteur et de Marion GUINCHARD, sans profession.
 
Publication
 
06/08/18 – Julien ROHR, responsable projet et Laëtitia LHOMME, infirmière.
 
Mariage
 
11/08/18 – Bastien DESCHAMPS, garagiste et Charline BARDOT, coiffeuse.
 
Décès
 
04/08/18 – Michel GLORIOD, 86 ans, retraité, domicilié à La Cluse-et-Mijoux (Doubs), époux de Lucienne GUINCHARD VUILLE.

07/08/18 – Colette JEANNIER, 80 ans, retraitée, domiciliée à La Chaux (Doubs), veuve de Claude CHABOD.

05/08/18 – John BENOIT-GONIN, 89 ans, retraité, domicilié à Perrigny (Jura).

06/08/18 – Roland OUDOT, 88 ans, retraité, domicilié à Montlebon (Doubs), veuf de Paulette PERRUCHI.

06/08/18 – Jean VUILLEMIN, 69 ans, retraité, domicilié à Morteau (Doubs), époux de Raymonde MAGNIN.

07/08/18 – Rolande FIERS, 87 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Jules HAPPE.

08/08/18 – M aryline FRIAND, 55 ans, agent d’entretien, domiciliée à Pontarlier (Doubs), célibataire.

La canicule et le manque d’eau qui l’accompagne ont des répercussions sur les récoltes et le nourrissage des animaux et des vaches montbéliardes qui produisent le lait nécessaire à la fabrication du comté. Dernièrement, Philippe Monnet, le Président de la FDSEA du Doubs, annonçait l’obligation pour les éleveurs de faire venir de la paille et de la luzerne de Haute-Marne pour nourrir leurs animaux. Ce qui représente un coût supplémentaire imprévu pour les éleveurs de la zone AOC comté. Rappelons que dans ces conditions, ils ont obtenu le versement anticipé de l’aide de la PAC (politique agricole commune).

Au Comité Interprofessionnel de Gestion du Comté, on reconnaît ces difficultés, mais on indique d’ores et déjà que le prix du comté n’augmentera pas en raison de ces aléas climatiques. « Le prix du comté, comme la plupart des produits alimentaires d’ailleurs, n’est pas défini par l’addition de coûts de production. C’est un mécanisme beaucoup plus complexe dont une des principales composantes est la confiance du consommateur » explique Alain Matthieu, son président. Autrement dit, la capacité à produire un fromage de qualité, capable de séduire toujours et encore des clients. Et de poursuivre : « Une augmentation du prix n’est pas d’actualité. On essaie de trouver les solutions le plus adaptées pour passer ce moment climatique particulier qui génère chez les producteurs un stress Â».

Mr Matthieu se veut rassurant. « La filière sait s’adapter. Elle l’a montrée au cours des derniers évènements climatiques. Nous avons déjà dû par le passé gérer des évènements identiques Â» explique-t-il. Le responsable sait qu’il peut compter « sur la capacité d’adaptation de toute une filière, producteurs et fromagers notamment », pour sortir le moins fébrilement possible de cette situation.