Les pompiers interviennent actuellement sur une fuite de gaz au lycée Pierre Adrien Pâris, rue Nicolas Mercator, à Besançon, aux Montboucons. Cinq engins et quatorze secouristes sont sur place.
La 31è édition du Tour cycliste du Doubs se disputera ce dimanche 9 septembre. Pour cette nouvelle édition 16 équipes, soit près de 120 coureurs prendront le départ. On notera notamment la participera du cycliste professionnel Romain Bardet.
Le départ sera donné à 11h45 à Morteau. Les coureurs rejoindront Pontarlier. Soit un parcours de 189 kilomètres, en passant par Noël Cerneux, Le Russey, Le Luhier, Guyans-Vennes, Gilley, Arc-sous-Cicon, Longemaison, Nods, Vuillafans, Amathey, Septfontaines, Chaffois, Oye-et-Pallet et La cluse-et-Mijoux. Rappelons que cette course est inscrite au calendrier de l’Union Cycliste Internationale dans la catégorie « Europe Tour ». Elle constitue la 13è des 15 étapes de la Coupe de France 2018.
Eric Alauzet, le député du Doubs, a réagi à la nomination de François de Rugy au ministère de la transition énergétique.
« La nomination de François de Rugy est un très bon choix. L'écologie est au cœur de son engagement. Je connais ses convictions et la solidité de son engagement. Il a l’avantage de bénéficier d’une grande expérience politique. Je serai très présent à ses côtés et je mettrai toute mon énergie à sa réussite et à celle de la transition écologique et solidaire » écrit Mr Alauzet.
La semaine dernière Patrick Genre président de la Communauté de Communes du Grand Pontarlier (CCGP) présentait les projets de rentrée de la Ville et de la CCGP.
Après un été très chaud sur l’ensemble du territoire et des phases de sécheresse et d’assec sur le Doubs, la question de la gestion de l’eau a bien évidemment été abordée.
Les élus ont décidé de « relever le défi » à propos de la ressource en eau. Différents engagement vont être pris par la CCGP afin de garantir les besoins en eau.
L’ensemble des communes de la CCGP sont engagées pour améliorer le rendement du réseau de distribution d’eau pour ainsi repérer les fuites existantes sur les conduites et pouvoir les réparer ou les remplacer.
D'autres projets vont être mis en place comme la création de nouveaux puits de captage. Avec la création du Plan Local d'Urbanisme Intercommunal, les élus vont travailler pour optimiser la récupération d'eau mais aussi sa gestion. Patrick Genre explique que "nous pouvons récupérer les eaux usées et les réutiliser dans les sanitaires plutôt que d'utiliser de l'eau propre. Beaucoup de projets vont être étudiés afin de savoir lequel est le plus approprié à notre CCGP".
Depuis lundi, les 55.233 élèves du 1er degré ont repris le chemin de l’école dans le département du Doubs. Parmi les priorités annoncées, celles concernant la réussite en CP. L’objectif ambitieux étant d’atteindre 100% de réussite pour ce niveau. C’est la raison pour laquelle l’éducation nationale poursuit son dispositif de dédoublement des classes de CP dans les zones les plus défavorisées. L’action a été lancée dans les écoles situées en réseau d’éducation prioritaire renforcé (REP+) en 2017 et concerne désormais les structures intervenant en réseau d’éducation prioritaire (REP). Pour cette rentrée scolaire, le niveau CE1 en REP+ rejoint le dispositif. Les classes de CE1 en REP le seront en 2019. C’est ainsi qu’ont été ouvertes pour cette rentrée, 33 classes supplémentaires dans le Doubs.
L’autre constat fait référence à l’aménagement du temps scolaire. Dans le Doubs, 96% des écoles ont fait le choix de revenir à la semaine de 4 jours. 408 sont dans cette dynamique. 17 le seront à partir du 1er janvier 2019. Seulement 19 ont choisi de fonctionner sur 4,5 jours. C’est le cas à Ecole Valentin, Chalezeule Cuse-et-Adrisans, Franois, Novillars, Pouilley-les-Vignes, Saône et Vaire, mais aussi à Gennes, Montfaucon, Levier et Nancray. Monsieur Renault espère qu’en envisageant un retour à la semaine de 4 jours, « l’intérêt de l’enfant a fait l’objet de toutes les attentions " chez les adultes qui ont pris cette décision.
Révision du seuil d’ouverture
Si les écoles dans les quartiers prioritaires ont obtenu des moyens supplémentaires, celles se situant en zone de montagne ou sur un territoire particulier ont bénéficié d’une tolérance quant à leurs effectifs. Concrètement, l’éducation nationale a tenu compte de certaines particularités lorsque la situation l’exigeait. L’isolement de certains villages, l’habitat dispersé et le temps de trajet des enfants en car qui en découle font partie des critères retenus.
