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Souvent critiquées pour la condition trop précaires de leurs livreurs, les enseignes telles que Deliveroo, Uber Eats, ou Just Eat, sont de plus en plus réglementées par les gouvernements européens. Une réglementation plus stricte avec des points positifs, mais également quelques éléments néfastes.

Cette semaine, le gouvernement italien a pris la décision de rendre obligatoire l’embauche de 60 000 livreurs pour les enseignes de livraison de repas à domicile. Ces dernières ont 90 jours pour réguler la situation, sans quoi de lourdes amendes seront distribuées. Une décision pas encore définitive, puisque Deliveroo & co comptent faire appel, mais qui reste lourde de conséquences. Ces dernières semaines, les témoignages de livreurs se multiplient sur la précarité de l’emploi. Absence de couverture sociale, sous-location de profil de livreurs, ou encore faible rémunération, les éléments à charge ne manquent pas, et ont donc contraint l’Italie a prendre une décision historique. Cette décision sera-t-elle pour autant précurseur de rendus similaire en Europe, et notamment en France ? Rien n’est moins sûr.

Une avancée sociale évidente mais imparfaite

Les points positifs d’une telle décision sont nombreux. Une embauche permettrait aux livreurs de bénéficier de la couverture sociale classique d’un travailleur français, comme l’arrêt maladie, les congés payés, ou la cotisation retraite. Cela permettrait également la fin de l’exploitation de travailleurs sans-papiers. De nombreux livreurs louent en effet leur profil à des sans-papiers souhaitant travailler, les exploitant pour des sommes souvent dérisoires. Une avancée sociale donc, qui comporte tout de même quelques points négatifs, comme l’explique Jordan, livreur et syndiqué depuis près de 2 ans : « Ce serait évidemment quelque chose de bien dans le sens où l’on serait davantage protégés. Mais il existe certaines zones d’ombre, notamment pour ceux qui, comme moi, sont livreurs uniquement en complément d’un autre job. On ne pourrait plus choisir nos horaires, et on devrait surement abandonné cet appoint Â». Si la France souhaite prendre exemple sur son voisin transalpin, et réguler l’embauche des livreurs, elle devra distinguer les travailleurs à plein temps, et les travailleurs d’appoint, afin de ne laisser personne sur le carreau.

Ce vendredi après-midi, un jeune garçon a balancé aux policiers pontissaliens que l'un de ses parents cultivaient des plants de cannabis dans sa chambre. Il avait quitté le domicile familial dans la journée car il dit subir des violences.

Concernant ce dernier point, une enquête est en cours. La jeune femme, âgée d'une trentaine d'années, devra s'expliquer le 27 mai prochain devant la justice. Les douze plants de cannabis ont été détruits.

Cela fait un an que le Pôle Investigation et Innovation Chirurgicales du CHU de Besançon s’est doté d’un nouvel outil innovant : une plateforme médicale de modélisation, de planification et d’impression 3D. L’établissement est l’un des premiers hôpitaux français à avoir mis en place ce type de structuration. Cette plateforme pluridisciplinaire répond à un double objectif : anticiper et préparer les interventions chirurgicales et optimiser la prise en charge des patients.

Ces outils permettent au chirurgien d’opérer « virtuellement » le patient en amont, de visualiser les différentes étapes de l’intervention, de modifier le planning opératoire le cas échéant et d’avoir une meilleure prédictibilité et une plus grande précision du geste chirurgical. Le confort opératoire du patient est ainsi amélioré : diminution du temps de l’intervention et de l’anesthésie, moins de saignements, réduction du risque d’infection.

L’état sanitaire en forêt communale de Besançon a conduit à l’exploitation d’arbres dépérissants et à la production importante de bois de qualité chauffage. Dans ce contexte, le conseil municipal a souhaité recourir à l’affouage afin de valoriser ce bois de chauffage et de permettre aux bénéficiaires de satisfaire leurs besoins domestiques. Le prix est fixé à 20 euros le stère (bois abattu, débardé et déposé en bord de route), chaque lot étant composé d’environ 10 à 15 stères.

Les foyers intéressés peuvent s’inscrire du 1er au 19 mars (une inscription par foyer bisontin) après avoir téléchargé et complété les pièces du dossier, disponibles sur le site de la Ville de Besançon.

Le dossier devra être accompagné :

- Du règlement d’affouage signé 

- Des coordonnées du demandeur 

- D’un justificatif de domicile de moins de trois mois 

- D’une attestation de responsabilité civile 

- D’un justificatif de détention des équipements de protection individuelle requis.

Le dépôt du dossier complet devra se faire avant le vendredi 19 mars, soit Ã  l’accueil de la mairie de Besançon ou par courrier. Le tirage au sort aura lieu le lundi 22 mars et l’approbation de la liste des affouagistes lors du Conseil municipal du mercredi 31 mars. La récupération du lot se fera quant à elle à partir du 19 avril, après avoir assisté à une réunion d’information. 

La région Bourgogne-Franche-Comté est touchée depuis quelques jours par une hausse significative des niveaux de particules PM10 dans l'atmosphère. Les quatre départements francs-comtois sont concernés.

L'origine de cette situation est multiple : Le chauffage et les activités liées au secteur agricole, mais aussi un apport conséquent de poussières sahariennes.

De fait, le seuil d'alerte a été franchi jeudi. Pour ce samedi, la procédure d'alerte sur persistance est maintenue, malgré des conditions météorologiques plus favorables à la dispersion des polluants.

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