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D’ici le mois de février prochain, la Ville de Besançon va implanter 10 écrans numériques sur son territoire. Ces nouveaux mobiliers, répartis de manière homogène dans la ville, permettront une communication en temps réel, contextualisée et géolocalisée grâce à des contenus dynamiques et animés.

Ces écrans sont asservis en fonction de la lumière ambiante, afin de garantir un bon rendu lumineux par tout temps, de jour comme de nuit et de minimiser la consommation électrique.

Comme chaque année, la Ville de Besançon va procéder à la dératisation de son réseau d’égouts. Une opération qui a été confiée à une entreprise spécialisée. Cette action, qui aura lieu du 26 novembre au 7 décembre, a pour but de contenir la prolifération des rats au sein du réseau d’égouts de la ville.

Les techniciens, accompagnés par des égoutiers municipaux, procéderont à la dératisation du réseau d’égout et de certains lieux particuliers, station d’épuration, zoo de la Citadelle, berges du Doubs et marché des Beaux-Arts.

Ce midi les sapeurs-pompiers du Doubs ont été appelés pour un feu sur une grue de chantier sur la RN57 à hauteur de Miserey Salines.

Le camion grue avait été partiellement éteint par les salariés avant l’arrivée des secours. Les causes et circonstances de ce feu sont inconnues.

L’intervention a causé un fort ralentissement dans cette zone de travaux.

Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus cet après-midi après 16h pour un incendie à Besançon.

Le feu s’est déclaré sur un tapis de tri de recyclage du pôle de réalisation des déchets du SYBERT.

Les employés ont commencé à éteindre l’incendie avant l’arrivée des secours. L’entreprise a été évacuée.

Aucune victime n’est à déplorer.

A Besançon, comme à Pontarlier, les gilets jaunes ne désarment pas. Alors que dans le Haut-Doubs, les manifestants se sont rendus devant le centre des impôts ce jeudi matin, qui était exceptionnellement fermé, avant de rejoindre le rond-point de Doubs, dans la capitale comtoise, leurs homologues se sont rendus au centre-ville pour rencontrer la population et notamment les commerçants. Les gilets jaunes bisontins regrettent la mauvaise publicité qui est faite autour de leur mouvement par les organes de presse nationaux et veulent casser cette image parfois négative qui leur colle à la peau. « Il faut être dans la rue avec nous pour comprendre ce que l’on vit. On reçoit de nombreux gestes de soutien. C’est ça notre quotidien. La générosité est là. Les gens nous soutiennent, même s’ils n’ont pas d’autre choix que d’aller au boulot » explique Jonathan.

Depuis le début de la semaine, ces manifestants ont décidé de s’attaquer à la grande distribution. C’est la raison pour laquelle ils ont bloqué les entrepôts Easydis, rue de Dole à Besançon, et les entrées des hypermarchés de grandes enseignes. Le collectif dit « privilégier les petits artisans Â». Des Francs-Comtois iront sans doute manifester à Paris ce samedi. D’autres, comme Jonathan et ses amis, resteront à Besançon pour poursuivre les actions. Quant à la suite qu’ils entendent donner au mouvement, les gilets jaunes bisontins ne s’étendent pas sur la question. « On attend samedi et les décisions du gouvernement. On vit au jour le jour. On voit ce qui se passe. Si on n’est pas entendu dans le week-end, il y aura des actions qui seront organisées ensuite Â» explique Jonathan, qui admet qu’il sera compliqué « de calmer certains esprits Â», si rien de concret ne se dessine. « On essaie de structurer un peu le mouvement, mais on ne peut pas retenir tout le monde. Si la France veut que l’on en arrive là, le Président de la République est sur la bonne voie Â».

Par ailleurs, les gilets jaunes pontissaliens font savoir que le surplus de nourriture qui leur est apportée par leurs nombreux soutiens sera donné au restaurant du cœur.

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