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Nordahl Lelandais principal suspect du meurtre de la petite Maëlys a de nouveau été mis en examen aujourd’hui. 

L’individu était interrogé ce matin par le parquet de Grenoble, au sujet d’une vidéo montrant des attouchements sur sa petite-cousine âgée de 4 ans au moment des faits.
A cette occasion, les enquêteurs ont révélé avoir trouvé une nouvelle vidéo d’agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans cette fois-ci dans les téléphones portables de Nordahl Lelandais.

Le parquet grenoblois n’a pas fourni plus de précisions. 

Le maire de Pontarlier, Patrick Genre a tenu à relayer le message national de l’Association des Maires de France. Il « appelle au calme, au dialogue et à l’arrêt des violences Â». 

Il demande également le « respect des lois de la République qui permettent l’expression libre des revendications […] Le temps du dialogue et de l’échange est venu. Tout le monde doit y prendre sa part Â».

Lors de sa séance du 21 novembre dernier à la DDT du Doubs, les membres de la formation spécialisée "nuisibles" ont décidé à l’unanimité, moins la voix de FNE au titre des associations de protection de la nature, de proposer au Préfet de réinscrire le renard dans la catégorie des animaux susceptibles d'occasionner des dégâts c'est-à-dire des animaux nuisibles.

"Mais cette décision devra s'accompagner de l'obligation réglementaire de mettre en place une gestion adaptative du renard à l'échelle communale qui tiendra compte de l'abondance des campagnol" explique le collectif Doubs Renards.

Cette mesure, dont les modalités précises restent à définir, sera mise en place sous la responsabilité de l'administration préfectorale avec la participation des membres de la formation spécialisée, mais également de la FREDON et des services départementaux de la santé.

"La destruction gratuite des renards ne sera ainsi plus possible et on s’oriente vers une « gestion », décidée chaque année à l’échelle communale, en fonction des niveaux de populations de rongeurs prairiaux".

Ce jeudi, Mme Quelet, professeur de Lettres-Histoire au lycée Saint Bénigne de Pontarlier, a visité plusieurs sites culturels bisontins avec ces élèves. Les deux classes chanceuses, composées de jeunes scolarisés en seconde et terminale métiers de la sécurité, se sont rendues aux musées du Temps et Victor Hugo, mais aussi au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie, qui vient d’être entièrement rénové et dont l’inauguration a eu lieu il y a quelques semaines seulement.

Rappelons que par la richesse et le nombre d’œuvres qu’il présente, ce dernier fait partie des plus grands musées de France. Mme Quelet l’admet bien volontiers, il n’est pas facile d’intéresser ces grands ados à la culture, mais avec conviction et passion l’enseignante y parvient. Les jeunes reconnaissent qu’ils ne franchiraient pas la porte par eux-mêmes, mais ils y trouvent néanmoins un intérêt. Chacun en fonction de sa personnalité, de son éducation et de sa curiosité a découvert et apprécié les lieux et les expositions différemment.

Les avis divergent. Paul s’est plutôt intéressé aux dessins et aux esquisses, alors qu’Enzo a porté son intérêt sur la partie historique et antique du musée. Paul regrette la modernité des lieux. Selon lui, c’est faire ombrage aux chefs d’œuvre présentés que de les avoir exposés sur « des murs en béton Â». Il y trouve « un manque de respect Â». Maëlle a été captivée par les nombreux tableaux. « La précision et le talent de leurs auteurs Â» a plu à cette toute jeune lycéenne. Elle a également apprécié la proximité avec les Å“uvres. Chez les garçons, on trouve que le musée est « trop riche Â». « Ce qui ne permet pas toujours de se concentrer car on est tenté de toujours aller voir ailleurs Â».

Le Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie mérite vraiment le coup d’œil. Une sortie familiale a peut-être programmé durant les prochaines vacances de Noël.

La manifestation lycéenne de ce matin au lycée Jules Haag à Besançon a mal tourné. Alors que des jeunes d’autres établissements scolaires sont venus rejoindre leurs collègues manifestants des œufs et des pétards ont été lancés.

La façade de l'établissement en porte encore les stigmates. Des barrières ont également été installées pour interdire l'entrée au lycée et des poubelles ont été incendiées. A la mi-journée, le calme était revenu.

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