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Ce lundi soir, Emmanuel Macron a pris la parole. Il a annoncé la hausse du SMIC de 100 euros par mois dès janvier, la suppression de la CSG pour les retraites inférieures à 2.000 euros par mois et la défiscalisation des heures supplémentaires dès janvier.

Chez les Gilets jaunes tous n’ont pas pu écouter le chef de l’état, mais ils ont quand même été informés des décisions prises. Aux Mercureaux, en même temps que l’on s’apprêtait à quitter les lieux, non pas pour mettre un terme à l’ action, mais pour s’installer dans un endroit plus sécurisé, les manifestants indiquent que le compte n’y est pas. On regrette notamment la mise en touche d’une initiative à laquelle les Gilets jaunes comptent énormément, à savoir le Référendum d’initiative citoyenne, qui vise à impliquer les Français dans les décisions qui les concernent.

Les Gilets jaunes restent méfiants et ne voudraient pas « se faire avoir Â» par le Président de la République. Ils ont peur que certaines décisions annoncées ne soient que provisoires et qu’il faudra payer encore plus en 2020 par exemple. « Le compte n’y est pas Â» explique Eric, l’un d’eux. La prise de parole tardive d’Emmanuel Macron reste encore à travers les gorges. On aurait aimé également entendre des propositions pour améliorer le quotidien des étudiants.

A Pontarlier, jeudi après-midi, deux jeunes mineurs ont été placés en garde à vue pour transaction de stupéfiants.

Ils possédaient de l’argent liquide sur eux dont ils n’étaient pas en mesure de justifier la provenance. Ils devront s’expliquer prochainement devant un juge des enfants.

Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus aujourd'hui à Mandeure pour secourir un parapentiste. 

Le parapentiste âgé de 64 ans, il a raté son décollage et il est resté bloqué dans un arbre à 6 mètres de haut. Il a été dégagé par l'équipe du GRIMP sans avoir été blessé. 

Les communes de Fontain et d’Arguel dans le Grand Besançon n’en formeront bientôt plus qu’une. Les conseils municipaux des deux collectivités ont trouvé un accord sur ce point. Reste désormais à attendre l’arrêté préfectoral qui autorisera ou pas cette fusion. La réponse doit normalement parvenir aux maires des deux villages cette semaine, pour une décision entérinée en 2019.

A Arguel, cette décision politique est diversement appréciée. Alors que quatre conseillers municipaux claquaient la porte de la mairie en juin dernier pour s’opposer à une décision du Maire de la commune qui a retiré une délégation à l’un de ses adjoints, « qui s’était opposé à l’édile lors d’un vote Â» explique l’un d’eux, deux démissionnaires, messieurs Eglin et Marchal, décidèrent de lancer, quasiment dans la foulée, une pétition en ligne pour pointer l’absence de consultation démocratique sur ce projet de fusion. Une trentaine de villageois l’a signée.

Les deux auteurs s’interrogent sur les raisons, le pourquoi, les motivations, les projets et les conséquences de cette fusion. Pour l’heure, leurs nombreuses interrogations sont restées sans réponse, regrettent-ils.

Samedi soir, toujours à Pontarlier, police secours a été informée qu’un homme dormait au volant de son véhicule, moteur allumé à un STOP.  Une fois sur place, les forces de l'ordre ont constaté que l'individu était ivre et qu'il avait à ses pieds des stupéfiants. 

Le jeune homme, âgé de 22 ans, a été placé en garde à vue. Il a été entendu et a reconnu les faits.  Il sera convoqué prochainement devant la justice pour défaut d'assurance, conduite malgré une suspension de permis et en état d'ébriété et détention de stupéfiants. 

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