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En Franche-Comté, comme dans d'autres territoires en France, les intermittents du spectacle se mobilisent. A Besançon, ils occupent les locaux du Cendre Dramatique National. Jeudi, une délégation de la CIP, la coordination des intermittents et précaires, s'est rendue à Lons-le-Saunier pour apporter son soutien aux collègues jurassiens.

Dans le cadre de cette lutte et d'un appel national, un rassemblement se tiendra ce dimanche, à partir de 11h, à la Cité des Arts. En partenariat avec les structures régionales, les manifestants entendent « mettre en lumière les problématiques auxquelles les acteurs culturels sont confrontés. Au programme : performances et activités artistiques.

Ce samedi 20 janvier, veille de printemps, une nouvelle mobilisation pour dénoncer la loi sécurité globale se tiendra à Besançon. Le rendez-vous est fixé à 14h sur la place de la Révolution. Il est à l'initiative d'organisations politiques, syndicales, associatives, de citoyens, d'artistes et musiciens. Les organisateurs ont calculé, cela fera 140 jours le 20 mars prochain que les Bisontins sont confinés ou sous couvre-feu.

« Nous voulons retrouver nos vies » explique le collectif. Il parle de mesures liberticides, « visant à pallier les défaillances du système hospitalier et mater les opposants ». Il refuse de voir s'appliquer sur le territoire national le triptyque : « travaille, consomme et tais-toi ».

Le 17 mars dernier, vers 18h15, à Besançon, les policiers de la BAC sont intervenus sur un parking de la rue Delavelle pour un individu qui aurait exhibé un couteau de cuisine et menacé de crever les pneus des véhicules des victimes.

Le couteau a été récupéré par les forces de l'ordre. Un homme, dont le contrôle judiciaire lui interdisait de porter une arme, a été interpellé et placé en garde à vue. Agé d'une vingtaine d'année, il sera présenté ce vendredi devant la justice.

Ce vendredi marque la fin de l'opération « les 24h dans le supérieur » initiée par le Rectorat de Besançon er l'ONISEP Franche-Comté. Cette année, situation sanitaire oblige, ce rendez-vous consacré à l'orientation, s'est déroulée en distanciel. Grâce à la mobilisation des organisateurs et de leurs étudiants, les lycéens en classe de seconde et première ont néanmoins pu découvrir la formation et la voie professionnelle qu'ils aimeraient rejoindre. Précisons que cette initiative, unique en France, s'inscrit dans le cadre du printemps de l'orientation.

Les participants ont ainsi pu mieux se projeter et consolider leurs réflexions concernant leurs futurs choix d'études. Au programme : présentation des formations et des départements, cours et TD dans diverses matières, échanges avec des enseignants et des étudiants et visite virtuelle des locaux. « C'est une volonté d'informer et de faire découvrir » explique Karin Monnier-Jobé, directrice du Service Orientation Stage Emploi de l'université de Franche-Comté.

Et de poursuivre : « Nombreux sont les jeunes à cet âge là qui ne se projettent pas pour demain. Nous voulons que ces futurs étudiants puissent construire un projet qui leur ressemble. Les accompagner, les immerger dans notre monde afin qu'ils puissent faire une corrélation entre une formation, la réalité du terrain et leurs envies ».

En début de nuit, le 5 mars dernier, un policier bisontin a dû faire usage de son arme de service à hauteur du parking du Fort de Beauregard. Un véhicule, dont les auteurs étaient impliqués dans une affaire d'agression sur les occupants de deux camping-cars, stationnés à cet endroit, leur fonçait dessus. Parvenant ainsi à prendre la fuite.

L'enquête menée par la sûreté départementale a permis de retrouver le véhicule incriminé et d'interpeller quatre individus dont deux femmes, avec l'assistance du RAID, le 17 mars dernier aux aurores. À l'issue des gardes à vue, les deux femmes ont été laissées libres. Quant aux deux hommes, ils ont été présentés ce jeudi après-midi à la justice dans le cadre d'une ouverture d'information.

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