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Des travaux de réfection de la rue Péclet et de requalification de la place Jean Gigoux vont débuter le mercredi 4 septembre à Besançon. Une première opération de désamiantage de la chaussée sera nécessaire, puis GRDF entamera ses travaux de terrassement, de renouvellement des canalisations et de branchements. Grand Besançon Métropole interviendra sur les réfections de chaussée et aménagements divers dès lors que les travaux de réseaux seront terminés.

À compter du 4 septembre et jusqu’au 31 octobre, des mesures de circulation seront appliquées. La circulation sera interdite rue Péclet. Le sens de circulation sera inversé rue de Pontarlier entre la rue Rivotte et la rue Sarrail. Un double sens de circulation sera instauré entre la rue Sarrail et la place Jean Cornet. Les véhicules sortant de la DIRECCTE place Jean cornet, auront l’interdiction de tourner à gauche et devront emprunter la déviation par la rue de la Bibliothèque et la rue des Martelots.

A noter, du 4 au 9 septembre, l’accès au square Castan se fera uniquement par la rue de la Convention et la voie haute du square mise à double sens avec un alternat.

Consciente des désagréments occasionnés par ceux-ci, la Ville de Besançon est joignable pour les usagers du secteur au 03 81 87 89 99.

Une bonne nouvelle pour la jeunesse pontissalienne. Le nouveau skate parc sera livré le 18 octobre prochain, après quatre mois de travaux. Le montant des dépenses s’élève à 185.000 euros. La Ville (63.250 euros), l’état (55.000 euros), la région Bourgogne Franche-Comté (20.000 euros) et le département (46.250 euros) ont permis cette réalisation.

Il est toujours installé au parc des Ouillons. Son accès sera libre. Il permettra toutes les pratiques : skate, BMX, roller, trottinette. La Ville assure que chacun pourra pratiquer sa discipline en toute sécurité. Autres points importants, face aux conditions climatiques du Haut-Doubs, la cité a opté pour des matériaux résistants, nécessitant peu d’entretien.

C’est à une entreprise spécialisée dans la construction de telles infrastructures que le chantier a été confié. Le nouvel équipement sera composé d’une partie « street Â», alliant différents modules de différents niveaux et une surface proposant un relief variable, et d’une partie « bowl Â». Le skate parc pontissalien sera ouvert à tous les publics.

Le club de foot jurassien, qui s’entrainait il y a peu avec un effectif incomplet, voit ce dernier s’étoffer avec deux nouvelles recrues.

Claudy MBUYI, 20 ans, a rejoint les Marines fin juillet quittant le stade Lavallois qui l’a formé. Il était donc là lors de la victoire du club contre Grasse lors de la première journée du championnat à domicile, au poste d’attaquant.

Rémi ESTIVAL quant à lui est arrivé tout juste cette semaine et devient la doublure du gardien jurassudiste Stephan MOUSSIMA après une saison à l’AS Cherbourg.

En parallèle de sa titularisation, Rémi ESTIVAL entamera une formation au Haut Jura Sport Formation dès la rentrée.

La réforme du lycée, la scolarisation des enfants dès l’âge de trois ans, le développement durable, avec une implication des lycéens, la scolarisation des enfants en situation de handicap, la rémunération des enseignants, … autant de sujets qui animent cette rentrée des classes 2019/2020. Ce sont 213.496 écoliers, collégiens et lycéens qui reprendront le chemin de l’école ce lundi dans l’académie de Besançon. Globalement, les effectifs sont stables (-0,6%). La baisse est de 1,3% dans le premier degré. Les effectifs progressent de 0,3% dans le second degré. Cette année, l’académie de Besançon compte 14.159 enseignants.

Un recteur « serein Â»

Pour sa cinquième rentrée à la tête de l’académie de Besançon, le Recteur Jean-François Chanet se dit heureux de pouvoir assister aux premiers effets des choix qui ont été appliqués dans l’académie et dans l’Hexagone depuis 2015. Après la réforme du collège, place désormais à la réforme du lycée général et professionnel. « Ces choix visent à faire réussir mieux et créer les conditions de réussite de chaque élève Â» explique Mr Chanet. Pour le représentant de l’état, la réforme du lycée général va gommer « les inégalités Â» qu’imposaient l’organisation en filière. Le Recteur évoque « un parcours qui va permettre aux jeunes de se réaliser Â». Chiffre à l’appui, il indique que 48% des élèves de seconde, qui débuteront un cursus en première la semaine prochaine, ont fait des choix de spécialités qu’ils n’auraient pas pu faire auparavant. « On valorise la pluralité des excellences, et non pas un modèle d’excellence Â» explique-t-il, faisant notamment allusion à la suprématie de la filière scientifique. Jean-François Chanet s’attend à de nouvelles contestations syndicales, mais il assure que la discussion « n’est pas rompue Â». Il rappelle aux syndicats que l’ambition de l’éducation nationale est aussi «  l’égalisation des chances pour tous les élèves et l’égale dignité pour toutes les formations Â». Et ce quelque soit le territoire où le jeune apprend.

Parcoursup

Pour l’heure, le rectorat de Besançon ne communique aucun chiffre sur Parcoursup et le nombre de jeunes qui sont encore sur la touche. Maurice Dvorsak, le chef du service académique information et orientation à l’académie de Besançon, assure que tous les élèves de terminale se sont vus communiquer au moins une proposition de poursuite d’étude. La commission d’accès aux études supérieures continue d’œuvrer pour accompagner les jeunes encore dans l’incertitude. Cette année, un nouveau public a fait son apparition sur la plateforme. Des jeunes gens, âgés parfois d’une trentaine d’années, qui ont choisi de s’inscrire sur Parcoursup pour reprendre des études. C’est le cas notamment pour celles et ceux qui souhaitent travailler dans le domaine sanitaire et social, en suivant une formation dans les IFSI, qui préparent aux concours d’infirmier et d’aide-soignante. Jean-François Chanet y voit une dynamique positive qui répond à l’ambition gouvernementale de permettre à tout un chacun de pouvoir se former tout au long de la vie.

Une jeune femme a déposé plainte à Pontarlier après avoir reçu de nombreux mails et messages insistants. L'expéditeur de ces messages demandait à avoir une relation avec cette femme après avoir eu un coup de cÅ“ur sur les réseaux. 

Convoqué et entendu au commissariat de police, il a reconnu les faits. Il sera convoqué ultérieurement devant le délégué du procureur.

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