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Pour cette nouvelle rentrée scolaire, Près de 9000 enfants de maternelle et de primaire sont accueillis dans les écoles bisontines. Jean-Louis Fousseret, le maire de la cité comtoise, annonce des effectifs stables. Pour l’heure, la carte scolaire bisontine n’est pas encore finalisée puisque des fermetures de classe peuvent encore être prononcées. Cela concerne les écoles élémentaires Tristan Bernard, Bourgogne, Helvétie et Île de France.

Le problème de la restauration scolaire

L’accueil périscolaire, notamment durant la pause méridienne, est un souci récurrent à Besançon. En cette rentrée, des parents ont encore saisi la justice car ils se sont vus refuser une place à la cantine. Pourtant, la loi « Ã©galité et citoyenneté Â» impose clairement aux municipalités d’accueillir tous les enfants. Cette année, faute de place, 500 enfants n’ont pas pu accéder à ce service. Jean-Louis Fousseret reconnaît ces difficultés, tout en avouant que, pour l’heure, la Ville ne dispose pas de la capacité d’accueil et des moyens de production nécessaires pour satisfaire toutes ces demandes. C’est la raison pour laquelle le conseil municipal a décidé de lancer une étude à ce sujet. Les résultats devraient être connus au tout début de l’année 2020. En attendant, la municipalité explique qu’elle a déjà pris des mesures pour accroître la capacité de l’accueil périscolaire du midi en créant 350 places supplémentaires.

Pour information, la moitié des 9000 élèves des écoles publiques bisontines fréquentent un ou plusieurs services périscolaires. 4400 sont pris en charge durant la pause méridienne.

A l’école maternelle Cologne, dans le quartier Planoise, à Besançon, des ateliers d’aide à la parentalité sont organisés pour des parents d’élèves d’enfants de 2 à 3 ans, scolarisés en classe de toute petite section ou petite section. Ils visent à accompagner les parents dans leur mission éducative et renforcer le lien entre les parents et l’école. Ces rendez-vous sont à l’initiative de la Ville de Besançon, soutenue par l’éducation nationale et les professionnels de la petite enfance de la cité.

Ces ateliers sont animés par un psychologue de l’antenne petite enfance. Dix ateliers sont prévus par classe. Ces moments collectifs se déroulent en dehors de la présence des enfants, qui sont alors encadrés par un enseignant remplaçant.

Les parents apprécient ces initiatives. Elles leur permettent de confronter leurs difficultés et d’obtenir des réponses émanant de professionnels. « Ca nous rassure beaucoup. On se rend compte que malgré nos origines diverses, nous savons tous les mêmes préoccupations Â» explique cette maman.

En cette rentrée scolaire, les élus bisontins ont décidé de décliner ces ateliers dans les neuf classes de toute petite section de la ville.

Naissances : 

23/08/19 – Yamin de Yassine BOUFRAYOUA, cariste et de Fanny MARECHAL, coiffeuse.

24/08/19 – Romy de Willy PONARD, animateur qualité et de Lauren COSTA, infirmière.

25/08/19 – Cloé de Dylan DHAILLE, ouvrier en bâtiment et de Elodie PASTEUR, poissonnière.

25/08/19 – Lily-Rose de Kevin SERRALHEIRO-RODRIGUES, couvreur zingueur et de Annabelle MALAVILLE, sans profession.

25/08/19 – Ibrahim de Mohamedy KANE, aide à domicile et de Victoria NELLINGER, sans profession.

26/08/19 – Noé de Galaad LE CORRE, ingénieur et de Clémentine BARBON, professeur de mathématiques.

27/08/19 – Esio de Gaëtan DAYET, calorifugeur et de Mélanie PROVENS, aide-soignante.

27/08/19 – Anna de Carl ARVIDSSON, architecte et de Marlène CHAUVET, autoentrepreneur.

27/08/19 – Noëlie de Romain DUFRÉNOY, directeur de magasin et de Clémence LOUVRIER, assistante sociale.

27/08/19 – Louis de Benoit PAHIN, magasinier et de Manon GENRE-JAZELET directrice de périscolaire.

27/08/19 – Louis de Romain DALLOZ, décolleteur et de Coralie BOURGEOIS, éducatrice de jeunes enfants.

27/08/19 – Naïa de Brice GIRARDET, maçon et de Scherazade SALIMI, esthéticienne.

27/08/19 – Angélina de Alexandre SALVI, moniteur de ski – paysagiste et de Lorédane VIEILLE, ingénieur biomédical.

29/08/19 – Trévor de Tenessy ROLLOT, conducteur d’engins et de Solène SEGUIN, coiffeuse.

29/08/19 – Lorine de David FUMEY, mécanicien et de Adeline ROUX, opticienne.

29/08/19 – Nina de Francis ROSSIGNOL, horloger et de Jessica BRACCO, avocate.

29/08/19 – Ömer de Adem ÇINAR, opérateur de production et de Esra IHTIYAR, technicienne agroalimentaire.

29/08/19 – Charly de Antony SAUVAGE, horticulteur et de Laura THIBERT, aidesoignante.

29/08/19 – Leïa de Nicolas BILLOD, cuisinier et de Morgane BOULCOURT, serveuse.

C’est l’une des initiatives de la rentrée. La « loi pour l’école de la confiance Â» rend la scolarité obligatoire dès l’âge de trois ans, contre 6 ans jusqu'à présent  en France. Cette mesure vise à faciliter la socialisation de l’enfant, mais aussi, d’un point de vue intellectuel, favoriser la maîtrise des savoirs fondamentaux pour lutter contre les inégalités, notamment celle de la maîtrise de la langue. Dans l’académie de Besançon, cette mesure permet à 384 enfants supplémentaires d’être scolarisés en cette rentrée des classes. Sur le territoire national, cela ne concerne que 25.000 enfants

Ce matin, à l’école maternelle Cologne, dans le quartier Planoise, Jean-Louis Fousseret, le Maire bisontin, et Jean-François Chanet, le recteur de l’académie de Besançon, ont tenu une conférence de presse commune. Ils ont échangé avec des parents d’élèves sur la scolarisation des enfants dès le plus jeune âge. Parents, enseignants, responsables de l’éducation nationale et associatifs sont convaincus du bienfondé de cette décision. Patrice Durant, nouvel inspecteur académique du Doubs, évoque une action éducative spécifique, avec un programme scolaire établi en direction de cette classe d’âge. « C’est très tôt que l’on doit apprendre les règles de vie ensemble et les savoirs fondamentaux » explique Mr Durant.

En cette rentrée scolaire, ce sont 130 enfants supplémentaires du quartier Planoise qui vont pouvoir bénéficier de cet accompagnement pédagogique. Ce matin, à l’école Cologne, ces nouveaux petits élèves ont fait leur rentrée, accompagnés de leurs parents. Des enfants sereins . Rares étaient les pleurs, mais il convient de saluer tout le savoir-faire de l’équipe éducative en place.

Cela fait une semaine que Guillaume Mattarelli, un jeune bisontin de 27 ans, n’a plus donné signe de vie. La semaine dernière, dans la nuit de lundi à mardi, le jeune homme a disparu en Grèce, alors qu’il participait au Free Earth Festival à Halkidiki dans le nord du pays.

Sa famille s’est immédiatement rendue sur place pour effectuer des recherches dans l’espoir de retrouver le jeune homme. Les amis du jeune, ont quant à eux mis en ligne une cagnotte pour aider la famille dans ses recherches en Grèce. La cagnotte a été clôturée depuis.

La disparition du jeune homme a été confirmée par le Parquet bisontin. Le consulat de France à Thessalonique a publié l’avis de recherche sur son compte Twitter. Le dossier a été confié au Quai d’Orsay.

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