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Samedi soir à Pontarlier, un jeune homme de 25 ans a fait beaucoup de grabuges au sein de la boîte de nuit La Première. De ce fait, les vigiles ont mis dehors l’individu, qui visiblement énervé et sous l’effet de l’alcool a décidé de ne pas en rester là.

Le jeune pontissalien est revenu avec une arme et a menacé les membres de la sécurité qui se sont défendus. Il s’est avéré que l’arme était une réplique d’air soft.

Le responsable de la boîte a déposé plainte.

Le jeune homme sera convoqué ultérieurement par la justice pour répondre de ses actes, conduite sous l’emprise de l’alcool, conduite sans permis, récidive et violences avec menace d’une arme.

Une voiture et une ambulance des pompiers sont entrées en collision aujourd’hui à 15h à Montbéliard.

La conductrice de la voiture, âgée de 43 ans légèrement blessée a été examinée sur place. Quant aux trois sapeurs-pompiers, ils n'ont pas été blessés. 

Pour la saison 2019/2020, l’ESBF a choisi de faire appel à un artiste local pour dessiner les nouveaux maillots de l’équipe. 

Dessinés par Emmanuel Dumont, ces maillot sont inspirés du mouvement « Razzle Dazzle Â». Pour rappel, cette technique de camouflage était utilisée au cours de la première guerre mondiale sur les navires de guerre pour tromper l’adversaire en l’empêchant d’estimer la position précise du navire.

Pour les filles de l’ESBF, Emmanuel Dumont a décidé de créer des contrastes de formes et de couleurs en s’inspirant de cette technique. Aidé par les joueuses elles-mêmes, ces nouveaux maillots « sont en rupture avec les précédents Â».

Les filles arboreront le rouge à domicile, le noir pour les matchs à l’extérieur, et les gardiennes le maillot jaune.

Face au silence de Christophe Castaner, Ministre de l’Intérieur, après le courrier de Maître Randall Schwerdorffer lui demandant audience, Giovanni Varlet, le frère d’Aurélia Varlet tuée à la Rivière Drugeon par son ex-compagnon en août 2013, a décidé d’entamer une grève de la faim à Paris, ce mardi, à l’occasion du Grenelle sur les violences conjugales. La famille s’interroge sur le soutien qu’a obtenu le meurtrier présumé de la part d’un policier et d’un gendarme du Haut-Doubs. L’enquête de l’IGPN s’est conclue en mars dernier, mais la famille reste dans l’inconnue la plus totale.

Patrick Varlet, le père de la victime et de Giovanni, lance « un SOS Â» et regrette que « (son) fils soit obligé d’agir ainsi pour espérer obtenir la vérité Â». Et de poursuivre : « Giovanni fait quelque chose d’unique. Il est déterminé. En tant que citoyen français, je n’arrive pas à comprendre que l’on soit obligé de subir des choses aussi atroces pour se faire entendre Â». Même s’il craint pour la santé de son fils, Patrick Varlet dit l’encourager et le félicite « de tout son cÅ“ur Â».