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Le jeune homme soupçonné d’avoir volontairement noyé le chien qui lui était confié à Besançon sera jugé pour acte de cruauté animale. 

Rappelons que l’individu avait la garde du chien d’une amie. L’animal a été retrouvé mort à proximité de la passerelle Mazagran.

L’homme sera convoqué par la justice en février, il risque deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.

Encore beaucoup d’interrogations pour les parents de Lucas RENOUD, 2 mois après sa mort. C'est en ce sens qu'ils ont décidé de porter plainte contre X pour non assistance en personne en danger. Cette décision fait suite à une pétition lancée il y a deux semaines et comptant près de 1300 signatures.

En randonnée à la découverte des Cascades du Hérisson (Jura) en juin dernier, Lucas ne donne plus signe de vie sur le chemin du retour. Après plusieurs jours de recherches, c’est finalement une randonneuse qui tombe sur le corps. Recherches qui, pour les parents, ont été « bâclées Â».

Un sentiment d’abandon

Après une autopsie avançant la thèse accidentelle (aucun signe d’AVC, de crise cardiaque ou de coups n’a été retrouvé), les parents restent sans nouvelle du procureur de la République de Lons-le-Saunier. Et ce malgré les nombreuses lettres envoyées au parquet.

Dans une publication Facebook postée en juillet dernier, la mère de Lucas insistait sur la légèreté avec laquelle les secours ont pris l’appel de son fils : « Tu as fait le 112 vers 22 h 20 pour dire que tu étais perdu. Ils n’ont même pas pris la peine de te retrouver ». Et à ce sentiment se rajoutent des questions que rappelle la pétition : « Pourquoi les gendarmes ont arrêté les recherches 1,5 jours après sa disparition ? Pourquoi la gendarmerie a refusé l'intervention de l'équipe cynophile [qui avait proposé son aide aux enquêteurs, ndlr] ? Pourquoi l'interlocuteur du 112 n'a pas demandé à Lucas de rester là où il se trouvait afin d'envoyer quelqu'un le chercher ? Â»

 

Isérois d’origine, Lucas était en stage dans la région au parc polaire de Chaux-Neuve dans le Doubs. Il avait pour ambition de devenir soigneur animalier.

Le commissariat de police de Pontarlier lance un appel à la vigilance. Depuis plusieurs jours, des Pontissaliens, notamment des personnes âgées, ont été contactés par téléphone par des escrocs se faisant passer pour des policiers.

Ces individus expliquent à leurs victimes  qu’elles ont été la cible  d’une arnaque et qu’ils ont besoin de leur numéro de carte bancaire. Le capitaine Debaene rappelle qu’il ne faut jamais communiquer ces informations par téléphone, qu’il convient de prendre des précisions sur l’interlocuteur au téléphone et de se rapprocher de sa banque pour vérifier ses comptes. N’hésitez pas à composer le 17 si vous êtes victime d’un appel malveillant.

La situation est très tendue au centre de soins et de réadaptation des Tilleroyes à Besançon. Selon nos informations, depuis deux semaines environ un service de gérontologie clinique de 30 lits et une quinzaine de lits d’un autre sont fermés. Ce qui n’est pas sans poser problème pour l’accueil des personnes âgées convalescentes, qui doivent être prises en charge après une hospitalisation au CHU.

Cette décision fait suite à la multiplication des arrêts de travail. Selon nos informations, sur les huit médecins que compte l’établissement, quatre exercent encore. A compter d’octobre prochain, deux d’entre eux quitteront le navire. Cette situation est la conséquence de départs et arrêts maladies.

Dans cet établissement, les personnels, qu’il s’agisse de médecins, d’infirmières et autres agents dénoncent leurs conditions de travail. Ils pointent les méthodes managériales de la nouvelle direction. A la demande des syndicats CGT et CFDT, le CHSCT de juin dernier a validé une expertise pour « risque grave Â», portant sur les conséquences du management sur le bon fonctionnement de l’établissement. Les conclusions des experts, agrées par le ministère du travail, devraient être connues d’ici le mois d’octobre. Face à cette situation, les personnels ne cachent pas leurs inquiétudes.

Le quartier Planoise décrochera-t-il le label « cité éducative Â». La réponse est attendue ce jeudi. 80 territoires éligibles ont été sélectionnés. Rappelons que ce dispositif vise à intensifier les prises en charges éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu’à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire.

L’objectif est de mettre en cohérence l’offre éducative des différents partenaires d’un territoire. L’état a prévu une enveloppe budgétaire de 100 millions d’euros sur les trois prochaines années.

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