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Ce jeudi 7 novembre, de 7h00 à 18h00 ainsi que durant trois jours (24 h/24, hors week-ends) dans la période du mardi 12 au vendredi 22 novembre, la direction interdépartementale des Routes de l’Est (DIR Est) va procéder à des travaux de purges de filets de protection de falaises, sur la RN57, aux lieux-dits « La Gauffre Â» et « La Combe Â», sur la commune de La Cluse-et-Mijoux (25).

Durant ces deux phases, la RN57 sera totalement fermée à la circulation. Des déviations seront mises en place :

Pour les véhicules légers, par les RD437, RD9 et RD45, via les communes de Oye-et-Pallet, Chaon, Chaudron, Malbuisson, Labergement-Ste-Marie et St Antoine.

Pour les poids lourds, par les RD 72, RD 471, RD 9 et RD 45, via les communes de Houtaud, Frasne, Bonnevaux, Vaux-et-Chantegrue, Labergement-Ste-Marie et St Antoine.

Les usagers en provenance des « Verrières-de-Joux – Neuchâtel (CH) Â» par la RD67B ainsi que ceux venant « des Fourgs Â» par la RD6, souhaitant rejoindre Pontarlier et/ou Vallorbe (CH) seront également redirigés.

L'annonce est tombée hier soir. Le parquet général de la Cour d'appel de Grenoble a annoncé se pourvoir en cassation afin que des poursuites pour "viol" soient engagées contre le Nordahl Lelandais. Même si la chambre d'instruction a refusé de supprimer le témoignage d'un codétenu l'accablant, elle a dans un même temps rejeté le réquisitoire supplétif du parquet visant des faits de meurtre "précédés, accompagnés ou suivis d'un viol".

Cette demande fait suite aux accusations d'un codétenu affirmant que ce dernier lui avait avoué avoir violé la jeune Maëlys avant de la tuer. L'avocat de l'Isérois, Maitre Alain Jakubowicz, souhaitait faire disparaitre ce témoignage du dossier.

Quant aux parents de la fillette, ils demandent la requalification des faits en "assassinat" et "viol".

La 19è édition du Festival « Lumières d’Afrique Â» se déroulera du 9 au 17 novembre à Besançon. Au programme des longs métrages, des courts métrages de fiction, des documentaires, des expositions, des conférences, des rencontres et une programmation « jeune public Â». Comme tous les festivals qui se respectent, « Lumières d’Afrique Â» aura, lui aussi, son palmarès. Pour de plus amples informations : lumieresdafrique.com

Ce samedi 9 novembre, le local boxe club organise se première réunion de la saison au grand Kursaal de Besançon. Elle se déclinera en un plateau de boxe anglaise composé de 10 combats dont 2 professionnels.

Une soirée durant laquelle nous verrons à l'oeuvre Guiram Tamonyan et Féhiçal Radouan, deux boxeurs qui concourent dans la catégorie des moyens (70kg) ainsi que huit combats amateurs parmi lesquels se dérouleront les demi-finale de championnats de région dans la catégorie des -69kg.

Tarifs billetterie :

- places ring 25€,

- places balcon 1er étage 15€,

- places balcon 2ème étage 10€.

Pour assister à cette soirée : www.localboxeclub.fr

Après le report de sa venue, Patrick Pelloux a bel et bien tenu une conférence à l'hôpital de Lons-le-Saunier ce lundi 4 novembre. Eric Loupiac, délégué jurassien de l'Association des médecins urgentistes de France (AMUF), nous fait le bilan des sujets abordés.

 

Des urgences sous pression

Dans un premier temps, les problèmes liés à l’exercice du droit de grève ont été mis sur la table. Patrick Pelloux aurait alors dénoncé des "pressions" subies par le personnel en montrant du doigts "des infirmières rétrogradées qui n’ont plus le droit de travailler en SMUR sous prétexte qu’elles sont en grève Â», rapporte Eric Loupiac. Toujours d'après lui, la direction reprocherait aux soignants urgentistes "de porter des marques de grèves car cela ne correspondrait pas aux tenues réglementaires"

 

Des coûts supplémentaires

Patrick Pelloux aurait également également exprimé le souhait d'un retour du SMUR 2, supprimé pour l'instant la nuit comme nous le précisait Yves Duffait lors de l'annonce de son départ. Pour appuyer ses propos, le président de l'AMUF aurait relevé le coût "exorbitant" du déploiement d'un hélicoptère ainsi que la dangerosité d'un tel moyen.

Dans les procédés coûteux que pourrait encore s'infliger l'hôpital, Eric Loupiac rajoute l'embauche de médecins par intérim. "Rien que pour un médecin, sans mentionner les frais gravitant autour, on parle de 1500 voire 2000€ la journée. Et dans un hôpital comme celui de Lons-le-Saunier où la situation est mauvaise, on s'approche plutôt des 2000€". Le délégué l'affirme : "il est dans l'intérêt de l'hôpital de titulariser de nouveaux médecins". La direction, contactée il y a quelques semaines, nous avait confirmé le recrutement en cours de nouveaux urgentistes.

Ces coûts, hors de question pour l'AMUF de les rembourser avec les 750 millions d'euros promis à la rentrée par la Ministre de la santé Agnès Buzyn. "Nous avons annoncé refuser les 750 millions d'euros de Madame Buzyn, relate Eric Loupiac. Nous trouvons anormal de les prendre car nous allons les prendre ailleurs, dans d'autres services comme la gériatrie. Nous ne sommes pas les seuls qui souffrons".

 

Manque de personnel et de lits : un sujet récurrent

De nouveaux urgentistes à l'horizon d'après la direction, qui viendrait combler le manque du service d'urgence. L'année dernière à la même période, il compait trois médecins diplômés en tant qu'urgentistes et deux internes. À l'heure actuelle, l'un d'eux n'est pas spécialisé. La nuit, on ne compte plus que deux médecins et un interne. 

Un nouveau personnel qui serait donc le bienvenu, composé d'urgentistes chargés de la gestion des lits selon nos informations. Une décision qui amuse le délégué de l'AMUF. "Je ne pense pas que cela serve à quelque chose. Ce matin, 12 patients ont passé la nuit dans le couloir des urgences. Certains d'entre eux étaient là depuis deux jours ». Des lits souvent placés dans des endroits inadéquats, comme des salles de bains ou bureaux, parfois sans paravents selon les dires de l'urgentiste.

Patrick Pelloux l'a confirmé lors de sa venue : l'AMUF continuera a faire grève et appelle à la mobilisation le 14 novembre prochain. Pour l'heure, elle est dans l'attente d'une réaction de l'administration. En effet, le Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de l'hôpital a été saisi dernièrement pour Danger Grave et Imminent. Elle a alors rendu son bilan et soumis une listes de treize propositions afin d'améliorer la situation.

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