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Mardi soir à Pontarlier, alors que les forces de l’ordre patrouillent au sein du quartier Berlioz, ils aperçoivent un individu au volant d’un véhicule. L’homme défavorablement connu des policiers a la fâcheuse tendance à conduire sans permis.

Les policiers ont donc voulu le contrôler mais il a tenté d’échapper à la patrouille. Il a finalement été interpellé et placé en garde à vue. En plus de conduire sans permis, il conduisait alors qu’il avait consommé de l’alcool et des stupéfiants et avait en sa possession un coup de poing américain qui a été saisi par les forces de l’ordre. 

Dans la voiture se trouvait avec lui un jeune homme mineur sous contrôle judiciaire qui avait interdiction de quitter son domicile le soir et la nuit. Il a donc été placé en détention et sera convoqué par le juge des enfants.
Quant au conducteur, l’enquête est en cours.

C’est officiel : le cabinet médical éphémère fermera bien ses portes le 31 décembre prochain. C'est ce que redoutaient bon nombre de Pontissaliens, au regard de la pétition lancée il y a quelques semaines. Chose qui était prévue depuis le départ, puisqu’une convention avait été signée avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) mentionnant la fermeture du cabinet au moment de l’ouverture de la maison médicale. Depuis octobre, la ville supporte seule la charge du cabinet.

 

Rien ne se perd, tout se transforme

Mais Patrick Genre, maire de Pontarlier, se veut rassurant. « Il n’était pas question pour nous de supprimer cette offre médicale. Nous avons donc travaillé avec des médecins dont un en particulier Â». Ainsi, la notion « d’éphémère Â» est remplacée par celle de « relais Â». Le principe reste le même si ce n’est que le cabinet se veut plus durable grâce à la signature d’un bail avec un médecin généraliste la semaine dernière. En activité secondaire, il sera là pour accueillir les patients du lundi au vendredi dès la mi-janvier. Ces derniers pourront même le choisir en tant que médecin traitant. En parallèle, d’autres médecins viendront compléter le cabinet en faisant des vacations d’une demi-journée ou journée complète chaque semaine. Patrick Genre parle de médecine généraliste dans un premier temps mais espère attirer de nouveaux spécialistes plus tard. « On a déjà la certitude que des ophtalmologistes vont s’installer à Pontarlier. On a d’autres contacts mais c’est trop tôt pour en parler Â».

En plus des trois médecins installés à la maison médicale fraîchement ouverte, cette solution permettrait de garantir une certaine pérennité du service médical à Pontarlier. « Même si elle ne règle pas tout, si nous n’avions pas cette maison médicale, des médecins seraient partis. Ils cherchent une activité collective et ne souhaitent plus forcément être seuls », conclut le maire.

Peut-être une bonne nouvelle pour les clubs de foot bisontin.

Avant la trêve des confiseurs, le Racing Besançon et le Besançon football pourraient retrouver le stade Léo Lagrange et sa nouvelle pelouse.
Le derby bisontin du 14 décembre pourrait s'y disputer.

Rappelons que les conditions météo du printemps et de l’été derniers ont donné du fil à retordre à la ville et ses jardiniers, obligeant les clubs phares à disputer leurs matches à domicile au Rosemont.

Les produits locaux ont la côte chez les consommateurs actuellement, que ce soit pour des valeurs écologiques ou gustatives. Ce vendredi 8 novembre, un marché des producteurs locaux est organisé à Pontarlier à partir de 17h salle Toussaint Louverture. 

Organisé par Haut-Doubs Ecologie, l’idée est de fêter l’automne autour de légumes de saison, de produits à base de plantes, de fromages, de viande, ou encore d’Absinthe.

Rendez-vous donc vendredi soir salle Toussaint Louverture.

Tout au long de ce mois de novembre se déroule l’opération « Movember Â», dédiée à la lutte contre les cancers masculins, tels que le cancer de la prostate. En France, chaque année, 8500 personnes, victimes de ce mal, perdent la vie. Le cancer de la prostate touche majoritairement les hommes de plus de 60 ans. C’est le premier cancer chez l’homme. Il peut prendre différentes formes. Certaines sont peu agressives, alors que d’autres sont mortelles. Les médecins constatent une évolution de cette maladie. Aujourd’hui, grâce aux nouvelles connaissances en la matière, des nouvelles techniques d’intervention et des médicaments sont apparus et permettent une meilleure prise en charge des patients et une guérison définitive.

Les symptômes ?

Pas facile d’évaluer cette maladie. Le plus souvent, elle se développe sans provoquer de symptômes. Seuls une prise de sang ou un examen de routine de la prostate permettent de poser un diagnostic et d’envisager son évolution dans le temps.

Un centre du cancer de la prostate à Besançon

Il y a un peu moins d’un an, le CHU de Besançon s’est doté d’un centre du cancer de la prostate, qui regroupe l’ensemble des professionnels experts dans le diagnostic, le traitement et le suivi de cette maladie.

Une journée thématique

Dans le cadre de Movember, le CHU de Besançon organise une journée thématique ce jeudi 7 novembre, avec la présence du Prostate Tour, de 10h à 17h, structure gonflable géante qui sera installée dans le hall de l’hôpital. La  pièce de théâtre « l’Ablation Â» sera jouée, à 20h, au Scénacle. Elle sera suivie d’un échange avec le Professeur François Kleinclauss, chef du service urologie et andrologie du centre hospitalier Minjoz. Deux mini-conférences seront également organisées à la bibliothèque de l’hôpital. La première, programmée à 13h30, concernera l’actualité liée au cancer de la prostate. La seconde, à 15h30, s’intéressera à la sexualité et au cancer de la prostate.

Pour la pièce de théâtre, pensez à réserver votre place sur www.chu-besancon.fr (rubrique actualités) ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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