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Le 13 novembre dernier, des spéléologues sont tombés sur des ossements pendant leur excursion dans le gouffre du Prévalot à Fontenu. Après cette découverte, les théories penchaient vers des restes de chat ou de chien. Mais le Comité départemental de spéléologie du Jura a établi un rapport, mentionnant les canines dont la forme et la taille font penser à celles d'un carnassier d'assez grand gabarit. Une description ressemblant à celle d'un lynx. Plusieurs blessures ont été relevées, telles qu'une canine et des cloisons osseuses internes du crâne cassées et désaxées pour ces dernières.

Et pour Gilles Moyne, directeur du centre Athénas, "il ne fait aucun doute" qu'il s'agisse de cet espèce. "La question est : comment est-il arrivé là ?". Une interrogation dont le spécialiste des lynx pense avoir la réponse... "Quand on trouve des animaux dans des gouffres, c'est principalement dû a un abandon pour des raisons financières ou peu accommodables".

 

Un problème assez fréquent

Gilles Moyne a eu le rapport dans les mains. "Quand je vois que l'arrière du crâne est manquant mais que tout le reste du corps est intact, c'est assez parlant !" analyse-t-il, tristement habitué à ce genre de faits, assez fréquents dans la région. Le braconnage pourrait donc être la cause de la mort de l'animal. "On est tristes mais pas surpris" rajoute-t-il. "On essaye d'alerter les pouvoirs publics sur la situation mais ils ne veulent pas avoir à gérer le problème des braconniers". Pour illustrer ses propos, le directeur rapporte une affaire qui portait sur une destruction de lynx, l'an dernier dans le Doubs. Même si le signalement n'était pas anonyme, le dossier a tout de même été classé sans suite. Alors, l'association se montre peu optimiste quant à l'enquête ouverte par l'Office national de la chasse et de la faune sauvage après la découverte. "Peut-être pourra-t-on déterminer les causes de la mort, mais ensuite ?".

Une façon de « dédramatiser et de rendre plus ludique un moment qui peut être chargé en tension Â». Voilà l’objectif de cette petite voiturette, réceptionnée en début de semaine par l’hôpital de Lons-le-Saunier. Isabelle Rousseau, cadre supérieur du pôle chirurgie anesthésie au centre hospitalier, explique la genèse du projet : « Nous avons été contactés par une concession automobile de Lons-le-Saunier il y a quelques semaines. Elle nous a fait part de leur volonté de nous mettre à disposition une petite voiture électrique, qui permettrait aux enfants de se rendre au bloc opératoire depuis le service d’hospitalisation Â».

Et l’homme derrière cette initiative n’est autre que le directeur de cette même concession, Hugo Bourny. « J’ai vécu cette expérience à titre personnel, lorsque ma fille a été opérée à Lyon. À l’époque, j’avais pu voir un dispositif assez similaire avec des voiturettes à pédales Â» témoigne-t-il. Alors, la lecture d’un article mentionnant la même démarche de la part d’un autre concessionnaire n’a fait qu’alimenter cette envie. « L’initiative a été accueillie d’une très belle manière Ã  l’hôpital ».

 

« Apporter un peu de réconfort Â»

La voiturette a pu être testée le matin même, par deux enfants qui étaient prévus pour des chirurgies ORL. Le garçon est parti assez stressé quand la fille, elle, pilotait presque parfaitement et le sourire aux lèvres, d’après Isabelle Rousseau. Et ce sourire, Hugo Bourny n’a pas manqué de le remarquer. « Ã‡a fait plaisir de voir qu’on peut apporter un peu de réconfort dans ces moments qui ne sont jamais vraiment bien faciles pour les enfants Â». La voiturette sera à disposition des enfants de n'importe quel service, jusqu’à environ 8 ans, même s'il surtout question de gabarit. Pour ceux ayant du mal à piloter le petit véhicule, pas de panique : il peut être contrôlé par un soignant grâce à une télécommande.

Pour l’instant, une seule voiture devrait suffire, le véhicule pouvant servir à plusieurs enfants dans la même journée puisque rapidement récupérée après le trajet. Mais l’hôpital ne se montre pas fermé au rajout d’une deuxième si besoin dans le futur. Et Hugo Bourny non plus, surtout au vu des réactions. « Un couple de parents sur place ont salué l’initiative et nous ont remercié Â».

Hier soir à Besançon, les forces de l’ordre sont intervenues dans un immeuble rue de Vesoul pour secourir trois enfants qui auraient subi des violences. 

Les enfants étaient hébergés chez leur oncle le temps de l’absence de leur maman. Cet homme de 25 ans a voulu échapper aux forces de l’ordre en quittant l’immeuble par la fenêtre du deuxième étage. A ce moment-là, les policiers tentent de le rattraper, mais le jeune homme sort un couteau et vient donner un coup, dans le cou de l’un des policiers, qui s’en est sorti indemne.

Après plusieurs heures de fuite, l’homme a finalement été interpellé et placé en garde à vue. L’individu est soupçonné de violences volontaires avec arme sur personne dépositaire de l’autorité publique, détention de stupéfiants et violences sur mineur par une personne ayant autorité.

Un important accident de la route s’est produit ce matin peu avant 8h à Besançon. Quatre voitures se sont percutées au niveau de l’échangeur Saint-Claude sur la RN57.

Les secours font état de six victimes dont une personne légèrement blessée. Un véhicule de police a également été percuté le temps de l’intervention.

La circulation a été fortement perturbée dans le secteur.

Une bonne nouvelle pour le FC Sochaux Montbéliard, le gardien de but, et capitaine du FC Sochaux Montbéliard, Maxence Prévot, vient de prolonger son contrat avec son club formateur. Il vient de s’engager jusqu’en 2023.

Maxence Prévot, âgé de 22 ans et international Espoirs français, a joué douze matches de championnat cette saison pour seulement six buts encaissés.

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