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Ils l’ont fait. Les footballeurs de l’ASM Belfort (national 2) ont décroché leur billet pour les 8ès de finale de la Coupe de France ce samedi après-midi au stade Serzian. Les Belfortains ont créé la surprise en s’imposant sur le score de 3 buts à 1 contre l’AS Nancy Lorraine, qui évolue en Ligue 2.

Les conscrits d’Amancey vous souhaitent une bonne et heureuse année 2020. N’hésitez pas à nous envoyer vos plus belles photos de conscrits à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Ce samedi matin, à Pontarlier, dans un contexte assez particulier, avec une incertitude sur la situation politique locale et le maintien du candidat de la République-en-Marche dans ce scrutin, Patrick Genre, qui, pour le moment semble faire cavalier seul, a présenté ses 32 colistiers. Ces hommes et ces femmes qui composent la liste « Pontarlier, territoire d’avenir Â». Le collectif, renouvelé à 58%, est composé de personnes, issues de tous les quartiers de la ville et de toutes les catégories socio-professionnelles. La benjamine est âgée de 21 ans. L’aîné, Daniel Defrasne, élu depuis 1995, a 73 ans. Tous occupent des fonctions professionnels ou personnels dans la vie économique ou associative de la cité du Haut-Doubs. La moyenne d’âge est de 47 ans.

Rappelons que Bénédicte Herard (52 ans) s’est vue confier le poste de première adjointe. Elle conserve sa responsabilité dans le domaine du social. « Par souci de transparence Â», Patrick Genre (57 ans) a d’ores et déjà nommé ses adjoints, en cas d’élection en mars prochain : Philippe Besson (52 ans - sport), Didier Chauvin ( 61 ans - urbanisme et aménagement du territoire), Daniel Defrasne (73 ans - eau, assainissement, forêt), Jean-Marc Grosjean (37 ans - transition énergétique, développement durable, transports), Bertrand Guinchard ( 43 ans - économie, artisanat, agriculture), Olivia Guyon (44 ans - éducation et enseignement), Alexandra Leroux (26 ans - relation publique et communication) et Daniela Thiebaud-Fonck ( 67 ans - culture et tourisme). On notera également la présence de trois conseillers délégués : Jacques Prince (72 ans - sécurité), Anne-Lise Ballyet (36 ans - jeunesse ) et Romuald Vivot (38 ans - relations sociales internes et gestion des services).

"Je quitte mes fonctions professionnelles"

Le Maire sortant l’a annoncé au cours de cette conférence de presse : « il arrêtera dans les prochains jours son activité professionnelle Â» à la poste. « Ce qui lui permettra de se consacrer pleinement à sa fonction d’élu pour défendre sa ville, l’aménagement du territoire, les communes et la santé Â». Ce samedi après-midi, Patrick Genre ouvre sa permanence de campagne, implantée au 91 de la rue de la République. Elle sera ouverte de 10h à 12h et de 14h à 18h. Comme il l’avait précisé, Mr Genre continue de décliner le calendrier fixé. Parmi les grandes échéances à venir, celle qui consistera à présenter le programme. Le rendez-vous est fixé au 11 février. En attendant, les habitants peuvent toujours donner leur avis sur le projet du programme via les outils mis en place ( permanence, réseaux sociaux, site internet, … ).

Ce samedi, Micropolis Besançon accueillait le salon du lycéen et de l’étudiant. Un nouveau rendez-vous de l’orientation très plébiscité par les jeunes et leurs familles. Pour cette nouvelle édition en terre bisontine, plus de 3000 personnes étaient attendues. Sur place, les visiteurs ont pu rencontrer une soixantaine d’intervenants issus d’écoles et d’organismes de formation : BTS, DUT, Classes préparatoires, universités, grandes écoles, écoles spécialisées, … les propositions ne manquent. Reste néanmoins à trouver la voie qui correspond le mieux à ses attentes, ses envies et ses possibilités. Précisons que l’organisation de ce rendez-vous tombe à point nommé dans une période où les écoles de la région organisent leur journée portes ouvertes. A l’université de Franche-Comté, elle aura lieu le 1er février prochain.

Réforme du lycée et du baccalauréat oblige, le constat est sans appel, « les jeunes s’intéressent de plus en plus tôt à leur orientation Â». Dès l’année de 3è, certains adolescents franchissent le pas, mais majoritairement, c’est lors de leur première année au lycée que les jeunes y réfléchissent plus sérieusement. L’obligation de choisir trois spécialités pour la classe de première oblige parents et enfants à se poser les bonnes questions. Les jeunes visiteurs l’admettent, « cette période importante est angoissante Â». « La première question qu’ils nous posent porte le plus fréquemment sur les options à conserver en terminale pour espérer rejoindre l’établissement souhaité » explique ce professeur. Des interlocuteurs le plus souvent démunis et très hésitants. « C’est compliqué de répondre. On nous vend une réforme qui ouvre des portes et offre de nombreuses possibilités de formation, mais c’est tout le contraire» lance-t-il.

Ce samedi, Micropolis Besançon a accueilli de nombreux lycéens, mais également des étudiants en réorientation ou à la recherche d’une poursuite d’études. Les jeunes le reconnaissent ces initiatives sont très appréciables. « Elles permettent de poser toutes les questions que l’on a en tête et de rencontrer les bonnes personnes Â». Néanmoins, tous n’y trouvent pas leur compte, comme Mathis, venu chercher des informations pour organiser l’année de césure qu’il souhaite faire à la fin de l’année. « On pense pas assez aux jeunes qui ne veulent pas suivre la voie conventionnelle Â» conclut-il.

Dans l’affaire du meurtre de Mamadou Diedhiou, en avril 20017, devant le Styl, la discothèque bisontine pour laquelle il assurait la sécurité, l’auteur du coup de couteau Hichem Djebaïli (26 ans) a été condamné à 15 ans de prison. Les cinq autres agresseurs, reconnus coupables de « complicité de meurtre Â», écopent de peines allant de 3 à 10 ans de réclusion.

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