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La Ville de Pontarlier vient de réactualiser son guide de la petite enfance. A l'intérieur, les futurs parents ou les jeunes parents retrouveront toutes les infos nécessaires en matière de démarches administratives, d'accueil collectif ou familial, de santé, de scolarisation, de loisirs,... .

Pour télécharger et découvrir ce document : https://www.ville-pontarlier.fr/uploads/documents_pdfs/6be642e853d39c92c8921ce2f409c4f3.pdf

 

Dans un communiqué, L'union syndicale CGT de Besançon fait savoir que l'inspection du travail a rendu sa décision dans l'affaire qui oppose Paul, dit Toufik-de-Planoise, un salarié, à l'enseigne Subway de Besançon.

L'administration vient de refuser le licenciement pris par l'enseigne à son encontre. « Les accusations de la direction de l'établissement ont finalement toutes été démontées » explique l'écrit syndical. Il est notamment expliqué « qu'il n'est pas constaté en l'espèce un manquement à ses obligations professionnelles qui serait sanctionnable ». Il fait état d'un engagement syndical.

L'union syndicale CGT de Besançon salue « une victoire pour les droits des travailleuses et des travailleurs de la restauration rapide ».

Pole Emploi vient de publier les nouveaux chiffres du chômage. En Bourgogne Franche-Comté, au premier trimestre 2021, le nombre de demandeurs d'emploi tenus de rechercher un emploi et sans activité (catégorie A) s'établit en moyenne sur le trimestre à 123 500. L'augmentation est de 0,5 % sur cette période (soit +650 personnes) et de 4,2 % sur un an.

Dans le département du Doubs, la hausse est de 1,5% sur le trimestre (+8,6% en un an). Le Jura enregistre une hausse de 4,4% en un an. La situation est stable sur ce trimestre

Actuellement, un chantier est mené à hauteur du passage à niveau d'Etalans, situé sur la départementale 461. De ce fait, des perturbations sont à prévoir sur ce secteur. Cette opération s'effectue dans le cadre des travaux menés sur la ligne des Horlogers, entre Besançon et Morteau. Précisons qu'une déviation a été mise en place par la départementale 50 et la nationale 57.

Les travaux sur la ligne des Horlogers ont débuté le 1er mars dernier. Ils se termineront le 31 octobre . Le budget prévisionnel, financé par l'Etat, la Région, et la SNCF, s'élève à 55,5 millions d'euros. Ce grand chantier de modernisation nécessite une interruption totale des circulations durant les 8 mois de travaux. Une durée pendant laquelle des autocars de substitution sont mis en place pour les voyageurs.

C’est officiel depuis une semaine, la judokate franc-comtoise Margaux Pinot ira à Tokyo cet été pour participer aux Jeux Olympiques. Sélectionnée dans la catégorie des -70kg, la montbéliardaise ne vise qu’une chose : la médaille d’or

Le rêve deviendra réalité. Dans un peu plus de deux mois, la montbéliarde Margaux Pinot représentera la France aux Jeux Olympiques. En ballotage depuis de longues semaines avec sa compatriote Marie-Ève Gahié, la franc-comtoise a finalement obtenu les faveurs de la fédération après des performances récentes plus abouties. Un choix qui ravit forcément la principale intéressée : « Je n’étais pas sûre que j’irai aux JO. J’ai attendu jusqu’au dernier moment la sélection officielle. Je savais que j’avais une chance d’y aller mais c’était loin d’être fait Â». Une récompense méritée pour la deuxième mondiale, qui vient de terminer deuxième des derniers championnats d’Europe, quand dans le même temps, Marie-Ève Gahié, première mondiale, sortait dès son entrée en lice.

Un système perfectible ?

Avec deux françaises aux deux meilleures places mondiales, c’est un choix de riche que devait prendre Larbi Benboudaoud, directeur de la haute-performance à la Fédération Française de Judo. Un choix qui pose certaines questions également sur le système mis en place par le comité olympique. Est-il juste qu’une des deux meilleures judokates du monde soit privée de la plus belle des compétitions ? Sur le sujet, Margaux Pinot reste mitigée : « D’un côté, c’est évidemment dommage pour les nations fortes, mais de l’autre, c’est quelque chose qui rajoute du challenge. Il faut se battre pour aller chercher sa qualification pour une épreuve qui n’arrive que tous les 4 ans Â». Si le système défavorise les nations fortes, il reste tout de même un moyen de respecter l’esprit des Jeux Olympiques, en permettant à des athlètes peut être moins bons, de représenter leur pays dans cette fête mondiale du sport. Marie-Éve Gahié pourra en tout cas se consoler en tentant de défendre son titre de championne du monde en juin prochain, en Hongrie.

Des JO particuliers…

Pour sa première participation aux Jeux Olympiques, Margaux Pinot va vivre une expérience pour le moins particulière. En raison de la crise sanitaire, les supporters étrangers ne devraient pas être autorisés à se rendre à Tokyo. Même avec 100% de supporters japonais, une jauge devrait être mise en place dans stades et salles d'événements sportifs. Une configuration peu ordinaire qui ne semble pas perturber plus que ça la judokate montbéliarde : « Ã‡a reste les Jeux Olympiques. On est là pour la compétition, même si c’est dans une ambiance spéciale. Pour nous, judokas, faire les JO au Japon, pays du judo, c’est quelque chose de magnifique Â». Rien ne semble donc gêner la française, qui ne vise désormais qu’une chose : revenir de Tokyo avec la plus belle des médailles.

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