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Le 9 juin dernier, les policiers pontissaliens ont eu à gérer une affaire de violence conjugale. C’est suite à un appel de l’association d’aide aux victimes et au placement d’une femme de 35 ans en hébergement d’urgence que les forces de l’ordre ont été informées.

La trentenaire s’est vue prescrire 2 jours d’ITT. Le mari a été placé en garde à vue. Ce dernier nie les faits. Pourtant la jeune femme a expliqué que cela faisait trois ans qu’elle subissait des violences. L’homme a été remis en liberté. Des investigations complémentaires vont être menées avant de transmettre le dossier au parquet.

Ce jeudi 11 juin, Anne Vignot, cheffe de file de la liste “Besançon par nature”, présentait son programme pour les quartiers de la cité comtoise. La candidate, arrivée en tête au soir du premier tour des élections le 15 mars avec 31,2% des suffrages, a choisi de s’exprimer devant la maison de quartier de Montrapon Fontaine-Écu. Une des priorités d’Anne Vignot est de faire vivre la démocratie et la participation citoyenne. Le programme de l’écologiste prévoit plusieurs actions dans de nombreux domaines :

L’éducation :

Un programme de rénovation des écoles, avec la multiplication par trois du budget investi chaque année.

Un soutien aux maisons et comités de quartier pour l’accompagnement à la parentalité.

La citoyenneté :

Des rencontres-forum tous les six mois entre élus et citoyens.

Une Assemblée citoyenne permanente concernant les grands chantiers et les politiques de la ville.

L’habitat :

Des constructions d’immeubles collectifs à proximité de lignes de transport en commun.

Un plan de logement adapté aux seniors et aux personnes en situation de handicap. 

Des programmes de réhabilitation et de rénovation afin d’atteindre les 3000 logements par an sur l’agglomération.

Une construction et une rénovation à basse consommation énergétique. 

Tranquillité publique :

La création d’un nouveau commissariat sur l’est bisontin.

Une présence de la police municipale pour lutter contre les incivilités.

Des rencontres entre la police et la population dans les quartiers en y associant les acteurs de terrain.

Solidarité :

Un réseau d’épiceries sociales soutenu et l’accompagnement de l’ouverture d’une épicerie solidaire sur le quartier de Planoise.

La mise en place d’un centre de santé dans le nord-est bisontin.

Une maison des services publics sur le quartier de Palente-Orchamps.

Réseau de transports :

Un réseau de transports en commun amélioré dans sa capacité et sa desserte du territoire.

Un schéma cyclable consolidé en collaboration avec les usagers.

Un schéma piéton basé sur l’urbanisme de proximité.

Plus d’animations :

Des semaines d’activités “tickets sports culture”.

Le maintien de la gratuité dans les bibliothèques et les médiathèques. 

La pratique amateur et d’éducation populaire soutenue et développée avec les associations sportives et culturelles et de quartier.

Ce jeudi, vers 18h45, les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus à Morbier pour un accident impliquant un véhicule. On déplore un blessé grave qui a été pris en charge par les secours. La victime, âgée de 20 ans, a été transportée à l’hôpital par Dragon 25.

Ce jeudi, pour exprimer leur désaccord avec les derniers propos tenus par Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur, qui a notamment annoncé l'abandon de certaines techniques d’intervention, des policiers se sont réunis devant le commissariat de la Gare d’Eau à Besançon et ont jeté leurs menottes à terre.

Ils menacent de ne plus interpeller les contrevenants. « Comme on ne peut plus utiliser nos techniques d’intervention, nous n’interpellerons plus » explique Emmanuelle Cordier, déléguée départementale unité SGP Police . Et de poursuivre : « Nous continuerons d’assurer le service minimum. C’est-à-dire s’il y a des atteintes aux personnes et des faits graves nous interviendrons, à condition sue l’on puisse le faire ». Ils demandent « la conservation de leurs méthodes d’interpellation et un soutien des politiques ».

« Une intervention n’est jamais sans risques. Néanmoins, les techniques que l’on nous apprend minimisent les risques. Le risque zéro n’existe pas, nous essayons néanmoins de faire attention. Il ne faut pas nous prendre pour des violents et des racistes. On ne le tolère pas » conclut la responsable syndicale.

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