Ce vendredi, le Doubs et le Jura font parti des 13 départements français placés en vigilance orange à la canicule. Avec des températures avoisinant les 40 degrés, ces départements devraient connaitre leur pic annuel de chaleur demain. Samedi et dimanche, le mercure diminuera progressivement pour retrouver des chiffres plus supportables.
Les effets du confinement sur l’activité économique du pays et de la région ne se sont pas fait attendre. La région Bourgogne-Franche-Comté a perdu plus de 20 000 postes au premier trimestre 2020, soit un recul de - 3,1 % par rapport au trimestre précédent (contre - 2,6 % au niveau national). L’ex-région Franche-Comté est davantage impactée (- 3,6 %) comparée à la Bourgogne (- 2,7 %). Les contrats précaires et les intérimaires ont été particulièrement touchés (- 15 740 emplois en région). La baisse est historique pour l’interim, atteignant 40,6% en Bourgogne Franche-Comté.
Dans les autres secteurs, la possibilité de mettre les salariés au chômage partiel atténue pour le moment les effets de la crise. L’emploi permanent suit la même tendance ce trimestre avec des baisses allant de - 1 % dans les services à - 0,5 % dans le commerce. Sur un an, seul le commerce ne perd pas de postes en Bourgogne-Franche-Comté. Ainsi, 19 zones d’emplois sur les 25 enregistrent une baisse de leurs effectifs dès la fin du premier trimestre 2020, dont les plus fortes pour les zones de Saint-Claude et Belfort-Montbéliard-Héricourt en Franche-Comté. La zone de Gray profite encore d’une légère augmentation de ses effectifs permanents. A Besançon, elle est stable.
Ce mercredi soir, l’Assemblée Nationale a de nouveau voté, à 66 voix contre 27, en faveur de la PMA pour toutes les femmes. Jusqu’ici réservée aux couples hétérosexuels, la Procréation Médicalement Assistée sera élargie aux couples de lesbiennes ainsi qu’aux femmes célibataires. Les députés du Doubs Éric Alauzet et Fannette Charvier (LREM) ont voté pour, comme la majorité du parti macroniste. Annie Gennevard (LR), en revanche, a voté contre, suivant également la grande majorité de son parti.
Après plusieurs cas de noyades en France, le gouvernement s’est exprimé. Le secrétaire d'Etat chargé de l'Enfance et des Familles, Adrien Taquet, et la ministre chargée des sports Roxana Marcineanu ont appelé les parents à la vigilance. Dernièrement, en Indre-et-Loire, en moins de 24 heures, trois enfants ont perdu la vie en se baignant.
A Besançon, les règles sont dispensées aux parents dès leur arrivée à la piscine. Les consignes sont claires : les enfants de moins de 8 ans ne doivent pas nager seuls. Ils doivent obligatoirement être accompagnés d’un adulte. Une règle qui est le plus souvent respecté, mais il convient parfois de la rappeler pour la sécurité de tous.
Dans la cité comtoise, les maîtres-nageurs sont concentrés sur cette responsabilité, tandis que la vérification de la bonne application des gestes barrières revient à d’autres agents recrutés sur place. Simon Devaux, le Chef du service des piscines et de la patinoire à la Ville de Besançon, rappelle que les moments de baignade doivent faire l’objet d’une responsabilité partagée.
Une semaine et puis s’en va ! Jirès Kemboi Ekoko ne sera pas conservé par le FC Sochaux-Montbéliard. L’attaquant libre de tout contrat depuis son départ de Bursaspor n’aura pas convaincu les dirigeants sochaliens de lui faire poursuivre l’aventure. L’ancien international espoir n’aura disputé qu’un petit bout de match amical avec le club doubiste vendredi dernier face au SC Lyon.
