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Les gendarmes de la compagnie de gendarmerie de Pontarlier ont procédé à l'interpellation de deux jeunes majeurs, soupçonnés d'être impliqués dans des cambriolages sur le secteur de valdahon. Aucune autre information ne nous a été communiquée pour l’heure.

L’initiative est intéressante et semble bien réussir aux terminales scientifiques du Lycée Viette de Montbéliard. Jusqu’à vendredi, 49 adolescents, hébergés au chalet des PEP à Mouthe, participent à un stage hors-du-commun durant lequel ils préparent leur baccalauréat, tout en s’aérant l’esprit en faisant du ski nordique sur les belles pistes enneigées de la petite station du Haut-Doubs.

Les journées sont très rythmées. Chaque matin, les jeunes passent une épreuve du bac blanc. Au programme : Physiques, Histoire, Sciences de l’Ingénieur, Sciences de la Vie et de la Terre et épreuve de langues vivantes. L’après midi, le groupe chausse les skis et prend du bon temps à l’extérieur. Au retour, place aux révisions et aux cours de soutien avec les enseignants présents. Â« Ce séjour a montré son efficacité Â» explique Jean-Pierre Moutard, l’un des quatre enseignants à avoir fait le déplacement. « Pour les élèves qui auront des mentions « très bien Â» ça ne changera pas grand-chose. En revanche, pour une grosse majorité d’entre eux, c’est un excellent moyen de se rendre compte du travail qu’il reste encore à fournir. Le fait d’être hors du contexte familial leur fait beaucoup de bien Â» explique le professeur d’éducation physique et sportive. Pour l’équipe d’adultes, « le concept est intéressant. Les élèves ont une formation à la vie en groupe, à la vie collective sportive et ils apprennent à vivre des moments difficiles en situation d’examen Â».

Des lycéens studieux

« Ca surprend lorsque l’on dit que l’on va passer le bac blanc au ski. C’est plaisant. Nous sommes dans un cadre différent qu’en cours ou à la maison. On peut travailler le soir et encore un peu plus, si l’on juge nos révisions  insuffisantes Â» explique Nathan. Pour Fanny, « ce n’est que du bonheur. On travaille. On profite bien l’après-midi. L’ambiance est géniale. La cohésion est excellente ». Les règles sont respectées et les jeunes sont convaincus du bienfondé de cette aventure. Si les temps de vie collective font penser à une jolie ambiance de colonie de vacances, les jeunes n’en oublient pas pour autant qu’ils sont là pour leurs études. « Nous savons tous que nous sommes à Mouthe pour le bac blanc. Il n’y a pas de souci de ce côté-là Â» conclut Fanny.

Deux individus, soupçonnés d’être impliqués dans les vols à main armée, commis au préjudice des magasins Aldi à La-Cluse-et-Mijoux et Lidl à Houtaud, en septembre 2012 et 2013, ont été interpellés en janvier et février. Il s’agit d’un homme de 40 ans, originaire de Pontarlier, et d’un individu de 30 ans, domicilié sur la région pontissalienne depuis plusieurs années. Les intéressés ont été mis en examen auprès du pôle d'instruction de Besançon pour les deux faits criminels de vols à main armée.

Le premier a été écroué et se trouve toujours actuellement en détention provisoire. Le second, qui a quitté la région, a été placé sous contrôle judiciaire. Au delà des montants des deux vols à main armée qui s'élèvent à environ 5 300 euros, le préjudice reste surtout moral. Les victimes ayant été très éprouvées. Des investigations complémentaires sont toujours en cours.

Deux fourgons fortement sécurisés, qui effectuaient un transport vers Besançon, ont été attaqués dans la nuit de mardi à mercredi par quinze individus. Les convoyeurs de la société Témis transportaient des bijoux, diamants et objets d'art.

L’attaque a été commise vers minuit au niveau du péage d'Avallon sur l'A6. Les malfaiteurs étaient lourdement armés et cagoulés. Aucun coup de feu n'a été tiré. Aucune victime n’est à déplorer. Les malfrats ont empoché un butin de 9 millions d'euros. Ils sont toujours en fuite. Ils auraient pris la direction de la capitale.

La police de Villers-le-Lac informe la population locale que des personnes, portant un gilet jaune, arrêtent les automobilistes à des ronds-points pour quémander de l’argent.

Ils se font passer pour des représentants d’associations caritatives. En cas de problème, les policiers invitent la population à contacter le commissariat de police ou la brigade de gendarmerie les plus proches.

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