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Les deux hommes, dont un Dolois arrêté vendredi dernier,  soupçonnés d'être en lien avec le djihadiste français Rachid Kassim, membre de l'Etat islamique, ont été mis en examen et écroués. Ces deux individus ont été présentés à un juge antiterroriste à Paris.

Pour les enquêteurs, ces deux Français, âgés de 29 et 39 ans, ont pu avoir, via la messagerie cryptée Telegram, des contacts avec Kassim après son départ vers les terres du Djihad en mai 2015. Ce dernier est soupçonné d’avoir téléguidé des attentats en France depuis la zone irako-syrienne. 

Rachid Kassim pourrait être impliqué  dans les attaques de Magnanville (Yvelines) et de Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime).

À l’initiative conjointe du Département du Doubs et de l’État, une convention, baptisée « Accompagner pour habiter Â», a été signée lors de la dernière assemblée plénière du Plan Départemental d’Action pour le Logement et l’Hébergement des Personnes Défavorisées. Au total, ce sont 18 partenaires qui se sont engagés dans cette opération (Etat, Département, associations spécialisées, bailleurs sociaux, ..).

L’objectif de ce nouveau dispositif est de faciliter l’accès et le maintien au logement des ménages qui rencontrent des difficultés de logement. Cet engagement va permettre de mieux coordonner et de décloisonner les interventions des différents acteurs. Ainsi, la globalité de la situation des usagers est prise en compte et leur accompagnement gagne en cohérence.

Un violent feu dans une cage d'escalier et un appartement est en cours actuellement au 62 Grande Rue à Besançon. Les pompiers sont sur place. . La circulation est compliquée aux abords du centre-ville bisontin. D'autres informations sont à venir.

Ce mercredi marque le lancement officiel de la campagne pour la primaire de la droite et du centre. La liste des candidats sera également dévoilée ce jour. Elle se terminera le 18 novembre. Rappelons que les 20 et 27 novembre prochains, les Français, les militants et les sympathisants seront appelés aux urnes pour élire le candidat qui les représentera à la présidentielle de 2017. Actuellement, les deux favoris du scrutin sont Nicolas Sarkozy et Alain Juppé mais les soutiens de Bruno Le Maire n’ont pas dit leur dernier mot. Ce jeudi soir, à 20h, son comité de soutien dans le Doubs organise une réunion publique à la mairie de Vercel, en présence de Damien Abad, député et Président du Conseil Départemental de l’Ain.

Après un week-end passé à Sète où Bruno Le Maire présentait son programme pour la présidentielle, Jacqueline Cuenot Stalder, conseillère départementale du canton de Morteau, l’un de ses plus fidèles soutiens dans le Doubs, se dit confiante quant à l’issue du scrutin. L’élue du Haut-Doubs motive son enthousiasme en évoquant notamment le travail fourni par l’ancien ministre de l’agriculture dans la rédaction de son projet. « Il a pris le temps d’écouter le terrain. On a la chance d’avoir un élu qui a pris du temps auprès de beaucoup de français pour enrichir sa réflexion. Je l’ai vu Å“uvrer aux Fins » explique Mme Cuenot Stalder.

Pour l’heure, en fonction des sondages, Bruno Le Maire apparaît en troisième ou quatrième position, derrière Nicolas Sarkozy et Alain Juppé. Dans le Doubs, les équipes sont remontées à bloc pour permettre à leur champion de se qualifier pour le 2è tour dans un premier temps et l’emmener ensuite à la victoire. « Il y a une vraie dynamique autour de lui. Nous sommes plus motivés que jamais. Il faudra travailler encore. Nous avons encore du temps devant nous. La campagne que l’on va mener sur le terrain nous permettra de parler de lui davantage. Il va continuer à faire une campagne très active. Il ne tient qu’à nous de l’aider dans son action » conclut l’élue mortuacienne.

La réunion publique du comité de soutien de Bruno Le Maire se tiendra ce jeudi soir à 20h à la mairie de Vercel.

Les chefs d’établissement sont en colère et ils vont le faire savoir ce mercredi devant chaque rectorat de France et d’Outre-Mer. Leur syndicat, le Snpden entend dénoncer « l’entassement Â» de dysfonctionnements, « un harcèlement bureaucratique Â» du ministère de l’Education et « une régression dans le management".

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