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Peu avant 15h aujourd'hui, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus à Bavans pour un incendie. Le feu aurait pris dans la cuisine, et se serait propagé à la maison.

Une femme âgée de 70 ans a été secourue et sortie de la maison mitoyenne.

Le Grand Besançon entend bien poursuivre l’extension de son réseau de pistes cyclables. Actuellement, plus de 200 kilomètres d’itinéraires modes doux existent sur ce territoire. Les élus souhaitent poursuivre les aménagements en ajustant le schéma directeur cyclable qui est en cours de révision et dont le contenu sera dévoilé en début d’année prochaine. Une grande enquête a été effectuée dans les 70 communes concernées et auprès des associations d’usagers.  

Pour le Grand Besançon, il s’agit bien sûr de prévoir de nouveaux itinéraires mais aussi d’améliorer la sécurité et le confort des usagers en réalisant des infrastructures. C’est ainsi que la CAGB a prévu l’installation de nouveaux arceaux à vélos, d’abris à vélos (Bouloie et ZAC des Marnières) ou encore de garages à vélos. Une maison de la mobilité est également envisagée au centre-ville de Besançon, à proximité de la boutique Ginko. Tout est mis en œuvre pour faciliter à l’avenir les déplacements à vélos au quotidien, en tenant compte de certaines pratiques et habitudes liées au travail, aux loisirs ou aux études. L’objectif étant d’accroître la part des déplacements à vélos, pour atteindre une pratique à hauteur de 6%.

Les aménagements prévus

Depuis le début de l’année plusieurs chantiers ont été menés. D’autres sont d’ores et déjà programmés. Les travaux d’aménagement de liaison modes doux reliant les Près de Vaux à la commune de Chalezeule ont été lancés en septembre dernier pour une durée approximative de 6 mois. Son coût est de 625.000 euros. Son ouverture est prévue au printemps 2018. La connexion entre le bourg de Saône et la gare SNCF est également en cours de réalisation. En 2017, plusieurs opérations ont abouti, comme sur la ligne de bus n°3 en site propre, entre Temis et le centre-ville, où des aménagements cyclables ont été créés. On notera également la création d’une piste cyclable sur l’avenue Siffert, qui permet, depuis l’avenue de la Paix, de rejoindre la rue de Dole en toute sécurité ainsi que le centre-ville via les liaisons cyclables existantes. Ces travaux ont été menés en interne par les agents du Grand Besançon. En fonction des situations, une voie verte ou une bande cyclable ont été prévues. Comme l’a souligné Anthony Poulin, élu écologiste de la ville de Besançon et de l’agglomération du Grand Besançon, « la ville doit être aussi pensée pour les vélos et les piétons Â».

Depuis 10h ce matin, des exercices de sécurité sont effectués dans le tunnel routier de la Citadelle à Besançon. Organisé conjointement par la direction Voirie et Déplacements de la Ville de Besançon et les services de secours et de police, l'objectif est de vérifier la pertinence des procédures d'alerte et de mise hors de danger.

Le scénario validé par le SDIS et les services de police met en scène un accident d'un véhicule de 9 places avec des victimes à évacuer. Suite à l'accident, la circulation est coupée sous le tunnel et des déviations sont installées.

Chaque année des exercices de sécurité sont organisés sous le tunnel de la Citadelle.

Samedi soir il était près de 21h à Pontarlier quand les aménagements routiers devant la mairie de Pontarlier, rue de la République ont été endommagés.
Suite à ces dégradations, la mairie a demandé aux forces de l'ordre de consulter les vidéos issues des caméras de vidéosurveillance.

La vidéo a démontré que c'était un camion qui avait embouti l'aménagement urbain.

La société d'où venait le chauffeur s'est excusée et a rempli le constat.

L’info est relatée par le journal « Le Progrès Â». Un employé d’une entreprise de négoce a perdu la vie alors qu’il faisait monter une vache dans une bétaillère chez un agriculteur à Commenailles (39).

La victime, âgée de 61 ans, a reçu un coup de sabot dans la poitrine. Le drame s’est produit lundi en fin d’après-midi.

Les massages cardiaques prodigués par le responsable de l’exploitation et les pompiers n’ont pas permis de le sauver.

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