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La 37è Corrida Vauban, bien connue des sportifs bisontins, se déroulera ce dimanche au centre-ville de Besançon. Cette manifestation, organisée par l’ASPTT athlétisme, devrait rassembler un très large public. En 2016, plus de 500 coureurs avaient répondu présent.

Pour la quatrième année consécutive, les participants s’élanceront de la mairie de Besançon et traverseront la rue Mégevand, le marché de Noël et la place Granvelle, les rues des Martelots et des Granges, la place Pasteur et Chamars. Quatre courses seront proposées. Deux s’adresseront aux enfants. Les ados et les adultes, en fonction de leur motivation, pourront s’inscrire à la course des as, pour les compétiteurs, ou à la populaire, pour ceux qui désirent s’amuser et passer un bon moment. Pour cette dernière, les coureurs déguisés sont les bienvenus. Les plus beaux costumes seront récompensés par les commerçants bisontins. Cette année, l’association Solidarité femmes sera présente pour sensibiliser le public sur les violences faites aux femmes.

Rendez-vous ce dimanche, à partir de 13h, au centre-ville de Besançon. Toutes les infos sur www.besancon.asptt.com

Ce jeudi, de 16h à 19h, le Centre Régional d’Information Jeunesse de Besançon propose un temps d’information sur l’engagement à l’international. Cette rencontre est ouverte à tous et en particulier aux jeunes.

Des intervenants de RéCiDev, de Bourgogne Franche-Comté international et des Céméa de Franche-Comté informeront sur les différents dispositifs existant dans la région. Les formes et les types d’engagement sont multiples et concernent de nombreux domaines. En fonction de son projet, la durée peut également varier. Grâce à cette initiative, les participants seront incollables sur la solidarité en Europe, le service volontaire européen, les volontariats, les chantiers internationaux, le service civique, les différents accompagnements possibles pour monter un projet de départ à l'étranger ....

Pour rendre ce temps d’information le plus convivial possible un world apéro, composé de produits du monde, issus du commerce équitable, est prévu. Rendez ce jeudi, de 16h à 19h, au CRIJ, 27 rue de la République au centre-ville de Besançon.

Dans l'affaire Maëlys, des militaires ont été intérrogés hier dans le cadre de l'enquête pour violation du secret de l'instruction révèle Europe 1. Les gendarmes ont été entendus par la police judiciaire de Lyon au sujet des fuites dans la presse qui avaient eu lieu au début de l'enquête.

Rappelons qu'après trois mois d'enquête, la petite Maëlys reste toujours introuvable.

Ce mercredi matin, les agricultrices et agriculteurs bio de Bourgogne Franche-Comté ont manifesté devant le Conseil Régional de Franche-Comté à Besançon, alors que se tenait le comité de suivi des aides européennes. Ils dénoncent la décision de l’Etat, survenue en septembre dernier, de supprimer l’aide dite « maintien bio Â». Une cinquantaine de manifestants étaient présents.

Pour le collectif, cette décision est injuste. Il souligne que ce dispositif « est une aide importante pour les exploitations issues de ce mode de production Â». Et de poursuivre : « Concrètement, elle est destinée à sécuriser et pérenniser le système bio après la conversion et compense les surcoûts qu’entraînent pour les exploitations ce mode de production Â». La pilule est d’autant plus difficile à avaler que, selon les agriculteurs présents à Besançon ce matin, cette forme d’agriculture est « la seule impactée par cette restriction budgétaire Â». « L’aide au maintien représente 180 millions. C’est juste une goutte d’eau par rapport aux aides agricoles qui représentent 9 milliards d’euros. Pourquoi cibler l’aide au maintien ? Alors que nous rendons des service environnementaux Â» s’insurge l’un des responsables de la mobilisation.

Une délégation devait être reçue ce matin en préfecture et par Patrick Ayache, vice-président de la région Bourgogne Franche-Comté.

L’info est relatée par le journal « Le Progrès Â». Elle ne passe pas chez les policiers de Lons-le-Saunier. Pourtant, le Procureur de la République a reconnu que ces derniers « n’ont pas mené une procédure légale Â» lorsqu’ils ont interpellé deux lycéens en mars 2017.

Durant cette soirée, les forces de l’ordre ont interpellé deux jeunes qui avaient fait le mur de leur établissement scolaire. Ils les soupçonnaient d’être impliqués dans une rixe sur fond de trafic de stupéfiants. L’un d’eux a porté plainte car il dit avoir été étranglé dans une salle du commissariat lors de sa garde à vue. Des traces de phalanges enfoncées dans le cou du lycéen ont été constatées par un médecin.

«  Le chef de brigade aurait également fait usage de son taser Â» explique le quotidien jurassien. Des faits qui ont provoqué en tout cas le placement en geôle de ce policier, qui a décidé de faire appel et de contester les violences sur mineur qui lui sont imputées.

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