L’info est relatée par le journal « Le Progrès ». Elle ne passe pas chez les policiers de Lons-le-Saunier. Pourtant, le Procureur de la République a reconnu que ces derniers « n’ont pas mené une procédure légale » lorsqu’ils ont interpellé deux lycéens en mars 2017.
Durant cette soirée, les forces de l’ordre ont interpellé deux jeunes qui avaient fait le mur de leur établissement scolaire. Ils les soupçonnaient d’être impliqués dans une rixe sur fond de trafic de stupéfiants. L’un d’eux a porté plainte car il dit avoir été étranglé dans une salle du commissariat lors de sa garde à vue. Des traces de phalanges enfoncées dans le cou du lycéen ont été constatées par un médecin.
« Le chef de brigade aurait également fait usage de son taser » explique le quotidien jurassien. Des faits qui ont provoqué en tout cas le placement en geôle de ce policier, qui a décidé de faire appel et de contester les violences sur mineur qui lui sont imputées.































