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Depuis la rentrée scolaire, 85% des collèges de l’académie de Besançon ont mis en place le dispositif « devoirs faits Â».  En présence d’un binôme d’adultes, cette séance accueille des élèves en difficulté scolaire qui n’ont pas à la maison les ressources et l’aide nécessaires pour réaliser leurs devoirs dans les meilleures conditions.

Durant ce laps de temps, avec le soutien d’un professeur, l’élève apprend à travailler et à s’organiser, mais aussi, en fonction des savoirs des adultes, il revoit certaines notions et approfondit ses connaissances. A travers cette action, l’Education nationale espère contribuer à la réduction des inégalités entre les enfants.

Au collège Voltaire, dans le quartier Planoise, ce dispositif a déjà été mis en place les années antérieures, avec un bilan plutôt satisfaisant. Des heures d’aide ont été balisées dans les emplois du temps des jeunes, pas forcément en fin de journée, et ces derniers s’inscrivent en fonction de leurs besoins. Les élèves y voient une roue de secours très intéressante et n’hésitent pas à pousser la porte s’ils en ressentent le besoin. Ce jeune collégien, scolarisé en 4è, reconnaît que ce temps avec les enseignants l’aide beaucoup. « J’éprouve quelques difficultés dans certaines matières. A la maison, je n’arrive pas à travailler. Ici, c’est mieux. On est aidé par des professeurs. Ca me fait réussir. Lors de mon dernier contrôle, j’ai eu une super note. Ca fait plaisir Â» se réjouit cet adolescent.

L’initiative a trouvé son public. Elle se déroule grâce à l’investissement de professeurs volontaires, qui sont prêts à donner un peu de leur temps pour permettre à leurs élèves de réussir et retrouver confiance en eux.

Le maire de Saint-Claude, Jean-Louis Millet s'est exprimé hier lors du congrès des maires de France qui a lieu en ce moment à Paris.

Il a abordé avec émotion le sort réservé à l'hôpital de la commune. "Vous ferez deux heures d'ambulance mais vous serez accueilli par des praticiens beaucoup plus compétents. Ça ne m'intéresse pas si je n'arrive pas vivant " s'est-il exprimé.
Deux services de l'hôpital de St Claude sont en danger, la chirurgie non ambulatoire, et la maternité.

Le samedi 2 décembre une marche de solidarité est organisée par le comité de soutien à l'hôpital qui appelle tous les citoyens à se mobiliser dès 9h dans la cour de l'hôpital.

La ville de Morteau en a assez des déjections canines. Il est rappelé que si un propriétaire de chien est pris en flagrant délit de ne pas ramasser les déjections de son animal, il sera verbalisé par la Police Municipale à hauteur de 68 €.

La cité précise qu’elle a mis en place des distributeurs de sacs destinés à recevoir les déchets canins dans de nombreux endroits de la Ville et des sacs en papier sont également disponibles en mairie et à l'office de tourisme.

Le communiqué de presse ajoute que «  si le chien demeure le meilleur ami de l’homme, il n’en reste pas moins que ses excréments sont, en ville, causes de multiples nuisances. Elles sont dangereuses pour autrui et notamment pour les anciens qui risquent de glisser. Elles sont de plus, néfastes pour l’environnement, coûteuses pour la collectivité et inacceptables en terme d’hygiène publique Â».

Dans le cadre du Festival Les Petites Fugues, les élèves de trois classes de seconde du Lycée Saint Bénigne de Pontarlier ont eu la chance de rencontrer Thomas Bronnec mardi dans leur établissement.

Les élèves ont découvert depuis le mois de juin le nouveau roman de l'auteur "En Pays Conquis". Le livre publié en janvier dernier s'inscrit dans l'actualité politique avec une République paralysée. L’Élysée est à gauche mais l'Assemblée très à droite, pour gouverner les partis doivent s'allier. Tout ceci dans un contexte politique très tendu.

Marilyne Quellet professeur de Lettres et d'Histoire-Géographie a travaillé avec ses élèves dans le cadre de l'étude des personnages de roman. "Pour les élèves rencontrer l'auteur c'est d'autant plus enrichissant, parce que oui les auteurs ne sont pas tous morts" explique Marilyne Quellet. "Les élèves ne sont pas plongés dans l'actualité politique chez eux, la plupart ont des parents qui ne vont pas voter. L'avantage d'avoir étudié ce roman, c'est qu'ils sont devenus citoyens avant l'heure, maintenant ils connaissent les différences entre chaque partis" raconte Mme Quellet.

Pour Thomas Bronnec "c'est émouvant de voir le travail rendu des élèves et de pouvoir échanger avec eux. Romancier c'est un travail solitaire mais ça donne du sens quand on partage". A la question "est-ce-que ce livre était prémonitoire ?", l'auteur répond "Non ça ne l'était pas, je me suis bien évidemment inspiré des rencontres que j'ai pu faire dans mon métier de journaliste et de ce que j'ai pu entendre. La France dans mon livre, est un pays à bout de souffle qui en a assez du chômage, de l'insécurité, c'est un pays prêt à tomber dans les mains de l'extrême droite. Concernant les personnages et certaines histoires, je me suis inspiré des faits réels, mais il faut aussi savoir rester dans le flou pour ne pas décalquer entièrement la vraie vie".

La classe de seconde formée aux métiers de la sécurité aura la chance de se rendre à Paris pour marcher dans les pas des personnages du roman, et pourquoi pas aller visiter Bercy comme leur a conseillé Thomas Bronnec.

Pour la 7è année consécutive le Ministère chargé de la santé organise la semaine de la sécurité des patients. Cette campagne nationale, qui se déroule jusqu’au 24 novembre, a pour objectif de sensibiliser l’ensemble des publics sur les enjeux de la sécurité des soins et de favoriser le dialogue entre patients, usagers et professionnels de santé.

A Besançon, les professionnels du CHU se mobilisent, cette année encore, pour proposer tout au long de la semaine des animations destinées aux professionnels de l’établissement ainsi qu’aux patients et aux visiteurs. Elles portent notamment sur les évènements indésirables liés aux soins, les médicaments, la pharmacovigilance, l’arrêt cardiaque et la néonatalité. Pour aborder ces différents sujets, des jeux, des stands d’information, des tables rondes, des visites guidées, des expositions, … sont proposés.

Ce jeudi, de 16h30 à 17h, les patients et les visiteurs pourront par exemple visiter l’unité de pharmacie clinique et oncologique du CHU. Au programme ce vendredi : un atelier sur la pharmacovigilance dans le hall de l’hôpital de 10h à 12h et un atelier sur l’arrêt cardiaque et les premiers gestes qui sauvent de 14h à 16h30.

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