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Jean-Marie Sermier, le Député du Jura, s’oppose farouchement à la décision du gouvernement d’abaisser la vitesse maximale autorisée de 90 à 80 km/h sur le réseau routier secondaire pour le 1er juillet prochain. Selon le parlementaire jurassien, cette mesure « touchera d’abord les les territoires ruraux car les habitants n’ont pas d’autre choix que de prendre leur voiture pour se déplacer Â».

Il rappelle « que les mesures susceptibles d’améliorer vraiment la sécurité routière ne sont pas forcément celles qui rapportent le plus d’argent Â». Il cite, entre autres, « la lutte contre les addictions, l’amélioration de l’habitacle des véhicules, la recherche sur l’automobile du futur et la protection des professions de l’enseignement de la conduite menacées par la dérégulation Â».

Pour permettre au plus grand nombre de se mobiliser, Jean-Marie Sermier lance une pétition sur le site internet www.change.org. Il invite tous les Jurassiens qui le souhaitent à la signer en quelques clics.

C’est une journée ensoleillée mais très froide qui nous attend ce mardi. Quelques flocons sont annoncés au cours de la soirée et dans la nuit à toutes les altitudes. Comptez des valeurs comprises entre -16 et -4° demain matin et de 0 à 6° demain après-midi.

Après les deux nouvelles médailles d'aujourd'hui, la France est 6è au tableau des médailles de ces Jeux-Olympiques.

Demain les franc-comtoises Anouck Faivre-Picon et Aurore Jean seront de nouveau sur la piste de ski de fond pour le sprint. Les épreuves de qualification sont prévues à 9h30, avant la finale à 12h.

Pas d'autres francs-comtois engagés demain. En revanche les français en ski de fond masculin sont des espoirs de médailles pour les bleus, tout comme Mirabelle Thovex en snowboard halfpipe.

Après avoir reporté les deux premières épreuves de ski alpin à cause de fortes rafales de vent, demain le combiné alpin messieurs devrait avoir lieu. La première épreuve avec la descente est attendue à 3h30 (heure française), le slalom suivra à 7h.

A Besançon, le jeune homme de 17 ans, arrêté après avoir refusé de se soumettre à un contrôle routier, alors qu’il venait de prendre des risques inconsidérés au guidon de son deux roues, a été présenté, ce lundi, à un juge des enfants. Il a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Il nie les faits. Néanmoins, il semblerait que les preuves l’accablent.

C’est lors d’une patrouille que les policiers ont constaté l’imprudence de ce jeune homme qui, en plus d’évoluer sans casque, pratiquait « le rodéo Â» avec son engin. A la vue des policiers, ce dernier a tenté de prendre la fuite. Coincé dans une impasse, il a forcé le passage, blessant légèrement trois policiers. Deux d’entre eux se sont vus prescrire deux jours d’ITT. Six jours pour le troisième policier. Quoiqu’il en soit, le relevé de la plaque d’immatriculation aurait largement permis aux policiers de l’identifier. L’adolescent était déjà connu des services de police pour des faits similaires.

Désormais coordinateur et gestionnaire de ce site connu de tous les habitants du secteur, Stéphane Ayrault fait justement appel à cette proximité afin que les gens se réapproprient le site : « Nous avons beaucoup d’atouts sur place en plus de la nature environnante qui offre de multiples possibilités et du bâtiment lui-même Â» explique-t-il « Ã  nous d’exploiter tout ce potentiel, y compris en dehors de la période touristique qui va d’avril à octobre en impliquant plus encore la population locale ». Car comme il le confie, les dépenses, entre les loyers et les charges, sont lourdes « plus de 75000 € par an Â».

Alors quand l’année est difficile comme en 2017, les comptes sont vite dans le rouge : « Nous avons notamment du annuler des formation faute d’une sécurité suffisante en attendant certains travaux et des intervenants se sont décommandés Â» poursuit le responsable néanmoins optimiste quant à l’avenir.

« A nous de fédérer les différents partenaires et de faire comprendre aux gens que Consolation est un lien unique où ils auront toujours une bonne raison de venir Â». Une première réunion en ce sens a attiré une trentaine de personnes et conforte le responsable dans cette idée. D’autres projets pourraient voir le jour : « On réfléchit à la création d’un musée, à des chantiers participatifs, à organiser des marchés locaux, des concerts, à des sorties découverte de la faune et de la flore… Â»

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