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Suite à l’incendie criminel qui a ravagé la Maison de quartier de la Grette/Butte de Besançon dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, l’association du Collectif Ludique Bisontin organise une collecte pour aider à reconstituer la ludothèque perdue. Rappelons que la ludothèque, la crèche mais aussi la toiture entière du bâtiment ont été endommagées par les flammes. Les pertes sont importantes et de nombreux habitants sont privés de ce lieu de vie et de partage. En attendant, la reconstruction de ces espaces, les activités ont été redéployées dans d’autres lieux de la ville.

Face à cette situation, le collectif a décidé de se mobiliser et organise une grande collecte de jeux. Suite à cet incendie, des centaines de jeux ont été détruits, notamment ceux en direction des adolescents. Ainsi, les dons peuvent se faire de deux façons. Tout d’abord financièrement, via la page www.donnerenligne.fr/collectif-ludique-bisontin/faire-un-don ou en donnant directement des jeux (jeux de société, jeux vidéo, …) en les déposant le samedi 31 mars après-midi au Kursaal, salle Proudhon. A cette occasion, l’association proposera également quelques tables de jeux.

La collecte en ligne sera close le 31 mars prochain également. Grâce à ces dons, des jeux seront achetés pour reconstituer la ludothèque.

Le débat est de plus en plus présent dans la société actuelle : serons-nous encore carnivores demain ? C’est la question que met sur la table le réseau Bio et Paysan qui invite le grand public à échanger sur le thème de la viande, des animaux qui la produisent, des éleveurs qui les chérissent et des consommateurs qui la mangent.

« En compagnie de Stéphane Dinard éleveur en Dordogne de vaches Dexter et cochons Gascons (bio), est pionnier en France dans le combat pour un abattage des animaux de ferme dans la dignité, vous découvrirez ce qui existe déjà en matière d’abattage de proximité et ce qu’il serait possible d’envisager Â» précisent les organisateurs.

Pour cet agriculteur engagé, l’abattage de ses bêtes dans des abattoirs de sa région n’a jamais répondu à ses exigences de respect et de dignité qu’il est nécessaire selon lui de témoigner aux animaux que nous consommons. Aussi il y a quelques années, il a décidé d'aménager au sein de sa ferme, une salle dédiée à l'abattage et de confier l'abattage de ses bêtes à un professionnel, un boucher qui va de fermes en fermes faire ce travail ancestral qui a pratiquement disparu du fait de la création des abattoirs industriels.

La Coordination Rurale du Doubs tient aujourd’hui son assemblée générale à Valdahon. Ce syndicat agricole se bat quotidiennement pour améliorer le quotidien des agriculteurs, « pour toujours plus de transparence et d’honnêteté dans les instances agricoles Â». Un syndicat qui se veut apolitique et prêt à défendre tous les agriculteurs.

« La Coordination Rurale est le seul syndicat agricole représentatif indépendant de toute organisation économique et politique Â» précisent les responsables qui défend tous les agriculteurs. Ses adhérents militent pour contribuer à une agriculture plus juste et mieux régulée et pour une PAC équilibrée, un contrat entre agriculteurs et citoyens, les premiers garantissant la sécurité alimentaire des seconds.

La secrétaire générale du mouvement Véronique Le Floc’h ouvrira les débats qui tourneront autour du thème suivant : "les coopératives laitières ; les enjeux de ces géants de l’industrie face aux éleveurs qui peinent à faire face "

Ce mardi, la fédération commerce et artisanat Grand Pontarlier organisait sa 9è assemblée générale. Un rendez-vous annuel qui a permis à son Président Denis Gérôme de dresser le bilan de l’année qui vient de s’écouler à ses 416 membres. En dix années d’existence, l’association a vu le nombre de ses adhérents grandir. Aujourd’hui, 416 professionnels artisans et commerçants ont choisi de rejoindre le collectif. On fait le point avec son responsable.

Quelle santé pour l’activité commerciale du Grand Pontarlier ?

Globalement, l’année 2017 s’est bien déroulée, mais des difficultés sont néanmoins apparus. « Le domaine du prêt à porter a souffert Â» commente Mr Gérôme. Le Président de la fédération explique cette baisse d’activité par les travaux menés rue Sainte-Anne et rue de la Halle au centre-ville de Pontarlier, aux conditions climatiques, avec des fortes chaleurs, qui ont impacté les ventes, et au positionnement des vacances scolaires de Noël. Avec un démarrage le week-end du 25 décembre, le calendrier a eu des répercussions sur l’activité commerciale.

Une étude pour mieux cibler la clientèle suisse

Selon une étude de la chambre de commerce du Doubs, la clientèle suisse représente 30% des consommateurs recensés sur le territoire pontissalien. Ils viennent de Suisse voisine, mais aussi de Fribourg et du Valais. Malgré ces indications, Denis Gérôme et son équipe veulent en savoir davantage. C’est la raison pour laquelle un travail spécifique sera mené en 2018 pour enrichir les connaissances.

Le succès des chèques cadeaux

Le succès de cette opération commerciale se vérifie chaque année. Aujourd’hui, 230 adhérents y souscrivent. Depuis son lancement, 4 millions d’euros de chèques cadeaux ont été vendus. C’est un chiffre d’affaires de 800.000 euros qui a été réalisé en 2017. 30.000 utilisateurs ont été identifiés. Les chiffres sont éloquents. Les particuliers, les comités d’entreprise, … sont nombreux à en commander.

Plus fort ensemble

Forte de ses 416 adhérents, la fédération n’hésitera pas à monter au créneau pour défendre les causes qu’elle jugera utile. Dernièrement, suite à l’importante panne internet, émanant d’Orange, survenue en décembre dernier, et qui avait complètement paralysé les commerces locaux, le collectif a envoyé un courrier à l’opérateur historique, lui demandant des explications, voire même des dédommagements. Denis Gérôme ne le cache pas, la fédération compte bien prendre position et faire connaître son sentiment et ses propositions dans certains dossiers la concernant.

Le E-commerce

Difficile de passer à côté de ce mode de consommation, qui prend de plus en plus de parts de marché. C’est la raison pour laquelle, une réflexion sera menée sur le sujet. Plusieurs idées sont dans les cartons comme la mise en place de sites internet marchands ou l’implantation d’une centrale de livraison avec une organisation mobile ou fixe à définir.

L’info est relatée par le journal « Le Progrès Â». La chambre régionale des comptes appelle le Grand Dole à la prudence pour son projet de centre nautique dont le montant est estimé à 25 millions d’euros. La réhabilitation de la piscine Barberousse a été actée en juin 2016.

Le quotidien jurassien explique que l’instance estime que le coût de ce chantier est « conséquent au regard des capacités de la collectivité. Le Grand Dole apporterait 12 millions d’euros. Les 13 millions d’euros restant proviendraient de subventions. La version définitive du projet définitif sera présentée ce jeudi 15 mars lors du conseil communautaire.

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