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Alors que la carte scolaire provoque des remous et contestations depuis quelques semaines dans le Doubs notamment, au Russey, on a le sourire. L’école des Gentianes va en effet bénéficier d’un poste en plus, le résultat d’une croissance des effectifs ces dernières années mais aussi de la Loi Montagne comme l’explique le maire Gilles Robert.

« Au regard de leurs caractéristiques montagnardes, de la démographie scolaire, de l’isolement, des conditions d’accès et des temps de transports scolaires Â» précise la loi, les seuils considérés ne sont pas les mêmes que sur le reste du territoire et expliquent cette ouverture.

Pour un peu plus de 200 élèves, l’école publique du Russey pourra donc compter dès septembre sur 9 enseignants au lieu de 8 cette année. 

A Besançon, le service psychiatrie se questionne sur les dépendances, et notamment l’addictologie sans substance.

Dans le cadre de l’étude Blunder qui porte sur les jeux d’argent en ligne, les services psychiatrie et l’équipe d’addictologie recrutent des joueurs de poker en ligne. L’idée est de mesurer par électroencéphalographie haute-résolution l’activité cérébrale pendant deux jeux informatiques.

Les résultats de l’étude permettront d’identifier les biomarqueurs de dépendance aux jeux d’argent en ligne, et ainsi visualiser quels joueurs sont plus susceptibles de devenir dépendant ou non.

Un système de prévention sera donc mis en place à la suite de cette étude.

Des critères stricts pour devenir sujet de la recherche

Pour réaliser l’étude, le CHU recherche 20 joueurs de poker en ligne masculins regroupant six critères.

Il faut être âgé entre 18 et 40 ans, le patient doit être droitier et ne présente aucune pathologie neurologique ou psychiatrique. Il joue exclusivement au poker en ligne et ne participe à aucune autre recherche biomédicale. Pour terminer, il ne consomme actuellement aucune substance psychoactive à l’exception du tabac et de l’alcool occasionnellement

Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter le service psychiatrie du CHU de Besançon.

Le développement durable fait aujourd’hui partie intégrante des préoccupations des collectivités locales qui notamment sont invitées à modifier leur éclairage public. A Damprichard, commune qui compte 300 points lumineux, trois tranches ont été programmées pour changer pas moins de 200 d’entre eux.

« L’éclairage public nous coûte aujourd’hui environ 22000 € par an et l’objectif est de diviser cette facture par deux Â» explique le maire Anthony Mérique qui explique que la seconde tranche de travaux est d’ores-et-déjà en cours. « Au total, ces travaux coûteront 180000€ dont 43% sont subventionnés Â». Un investissement pour l’avenir, à la fois écologique et économique.

Il n’est pas rare de voir les élus réunir les habitants, dans les grandes villes surtout, quartier par quartier, afin d’évoquer les projets qui sont envisagés d’un côté ou souhaités de l’autre. Un exercice auquel vont se livrer jeudi élus maichois et habitants du quartier Sous-Montjoie, un secteur proche du centre-ville où se mêlent un habitat ancien et de nouvelles constructions.

Cette rencontre fait figure de test dans la cadre du projet Request relevant du programme européen Interreg. Ce quartier maichois a été retenu comme quartier pilote afin d’aborder un large panel de questions comme les points forts et faibles, notamment du point de vue du développement durable, l’évolution souhaitée par les habitants ou encore savoir si ceux-ci souhaitent être impliqués dans les décisions et les actions qui pourraient en découler du diagnostic.