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Il y a du football ce mercredi soir. Dans le cadre d’un match en retard en national 3, le CA Pontarlier Football reçoit le SC Clémenceau. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 19h. Même si leur situation est à l’opposé, les deux équipes ont besoin de points.

S’ils veulent garder l’espoir d’une montée en fin de saison, les Capistes doivent se relancer ce soir. Du côté de Clémenceau, le maintien à ce niveau semble bien compromis. C’est la raison pour laquelle une victoire dans le Haut-Doubs serait la bienvenue.

Ce devait être un match tranquille entre deux équipes de nos campagnes franc-comtoises. Clerval-Anteuil recevait Trévillers-Thiébouhans (ESTT) dans le cadre du championnat de 3ème division de district. Loin d’être un match « Ã  risques Â» comme certains peuvent l’être parfois.

Certes l’arbitre désigné par le district ne s’est pas déplacé comme cela arrive souvent à ce niveau et il a fallu le remplacer. Celui du club visiteur étant sur place, en commun accord avec le club hôte, il a pris le sifflet. Puis le match a commencé.

« Pendant la partie, il y a eu des faits de jeu. Notre gardien blessé, un joueur adverse exclu pour un coup de coude, des cartons de part et d’autre mais rien d’anormal ou de violent sur le terrain et à aucun moment il n’y a eu de bagarre entre joueurs Â» tient à préciser Jean-Marie Saulcy, président de l’ESTT.

Tout semble en effet partie des supporters ou plutôt spectateurs locaux en l’occurrence, les haut-doubistes s’étant déplacés seulement avec joueurs et dirigeants.

« On a entendu des choses comme vous n’allez pas rentrer entier et d’autres menaces envers l’arbitre et les membres de notre club Â» déplore le président, propos confirmé par l’entraineur qui, voyant la situation se dégrader a appelé la gendarmerie dès le début de 2ème mi-temps. Ils sont arrivés à deux et ont très vite appelé du renfort avant même les incidents qui vont suivre et sans que leur présence ne calme les énergumènes « alcoolisés et canettes de bière en verre à la main Â» précisent les témoins.

A la 78ème minute, ils sont entrés sur le terrain. « Nos joueurs sont vite rentrés se mettre à l’abri et ne sont ressortis pour quitter les lieux que sous escorte des gendarmes présents Â» déplore le dirigeant encore sous le choc. Entre-temps, les forces de l’ordre ont du utiliser des gaz lacrymogènes pour disperser les individus menaçants…

« Comment tout cela se serait terminé si le coach n’avait pas eu la clairvoyance d’appeler la gendarmerie ? Â» se demande le président qui aujourd’hui, comme son arbitre réfléchit à déposer plainte au nom du club. Tout comme le fera sans doute aussi le district.

Car au-delà des sanctions des autorités du football qui devront entendre les acteurs des deux clubs, la justice pourrait elle aussi être saisie.

L’info est relatée par l’Est Républicain. Le collectif SolMiRé va devoir quitter les locaux du 26 rue d’Arènes qu’il occupe illégalement depuis le 14 octobre dernier. 

A cet endroit, il avait créé un lieu d’accueil de jour pour les migrants. Finalement, le tribunal de grande instance a tranché en faveur de la SAEIMB qui va pouvoir récupérer cet espace.

Le collectif se réunira demain soir pour statuer sur les suites qu’il entend donner à cette affaire.

On l’a appris ce matin. L'ex-petite amie de Nordahl Lelandais avait déposé une plainte à son encontre pour "mise en danger de la vie d'autrui avec risque immédiat de mort" un mois avant la mort de Maëlys, la petite jurassienne tuée par Lelandais.

Ce dernier n’aurait pas accepté que cette jeune femme de 38 ans le quitte. Il aurait alors réagi violemment en la giflant et la menaçant de mort. Cette plainte n’aurait pas eu de suites.

Au lycée professionnel Toussaint Louverture, 4 classes ont reçu dernièrement Guillaume du pavillon des sciences de Montbéliard pour leur présenter des expériences autour de la pile à hydrogène et de l’électricité.

Dans ce cadre là, ces élèves échangent leurs connaissances sur des sujets du quotidien, la consommation d’électricité à la maison, ou encore la voiture électrique.

L’idée est également de les éduquer à une consommation plus durable. « Que devient l’électricité récoltée par les panneaux photovoltaïques quand personne n’est présent pour l’utiliser à la maison ? », voilà une question à laquelle les élèves sont désormais en capacité de répondre.

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