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Récemment encore, au centre hospitalier de Morteau se déroulait une réunion publique au sujet la fin de vie. En France, la loi Claeys-Leonetti aborde le droit des patients en fin de vie, l'obligation de respecter la volonté de la personne et le droit à la sédation profonde. Elle permet aussi la désignation d’une personne de confiance afin de faire respecter ces dernières volontés. Des directives anticipées peuvent également être rédigées les siennes afin de faire survivre l'expression de sa volonté malgré la survenue d'un état d'incapacité. 

A quelques kilomètres seulement de chez nous, en Suisse, le législateur va plus loin avec le droit au suicide assisté au cÅ“ur des débats au niveau mondial ces jours derniers puisqu’un australien âgé de 104 ans, a choisi de mettre un terme à sa vie demain 10 mai dans une clinique proche de Bâle. Bien qu’autorisée très prochainement dans son pays mais uniquement en cas de maladie en phase terminale, l’australien, qui ne souffre d’aucune pathologie de ce type, a donc choisi de se rendre en Suisse où « toute personne en bonne santé mentale et qui a depuis un certain temps exprimé le souhait constant de mettre un terme à sa vie, peut demander ce qu’on appelle la mort volontaire assistée Â».

La procédure lors de ces derniers instants est à la fois simple et précise : le patient décline son identité, sa date de naissance, réitère son souhait de mettre fin à ses jours et ouvre ensuite la valve qui libère le produit létal qui va stopper les battements de son cÅ“ur. Le tout est filmé par une caméra, preuve du caractère volontaire d’un tel acte.

La fête s’annonce belle. 1600 lycéens et étudiants sont attendus le 19 mai prochain à l’espace Pourny de Pontarlier pour la nouvelle grande fête des Sporets. Pour l’occasion, les jeunes organisateurs, les terminales en section sportive au lycée Xavier Marmier de Pontarlier, ne ménagent pas leurs efforts. Depuis plus d’un an, ils s’activent pour que l’évènement soit encore plus beau que celui de l’année dernière. Pour cette 26è édition, le pari est tenu. Durant toute une soirée, le public pourra assister à une programmation diversifiée, tout en s’amusant, avec modération bien sûr. Pour cette nouvelle édition, cinq groupes et artistes sont attendus dans le Haut-Doubs. En 2018, la tête d’affiche est le rappeur parisien Boostee, mais il y aura aussi Dzur, Kevin Paulin, Valcor et Vitarmix. Soit plus de 5 heures de show, histoire de passer un bon moment avant les examens de fin d’année, et notamment le baccalauréat.

La sécurité

Les lycéens savent que les adultes leur accordent leur confiance et qu’ils doivent être à la hauteur. Il y a quelques jours, une réunion s’est tenue en mairie de Pontarlier avec les autorités et la Ville pour faire le point sur l’organisation et vérifier que les consignes de sécurité étaient bien respectées. Théo, l’un des jeunes responsables, assure que tout est mis en Å“uvre pour que « tout se passe bien Â». Le jeune sportif trouve « normal Â» l’intérêt que portent les adultes à leur grande fête de fin d’année scolaire. Pour répondre à ces attentes, il annonce la présence de 16 vigiles, d’une équipe de premiers secours, d’un stand de la sécurité routière avec la distribution d’éthylotests, d’un maître-chien et, depuis cette année, l’installation de portiques de sécurité. La sécurité n’a pas été négligée cette année encore. Il en va de toute façon de l’avenir de cet évènement.

La billetterie

Elle est ouverte depuis quelques jours. Les places sont en vente à l’Office de Tourisme, auprès des sports études des lycées Xavier Marmier, Toussaint Louverture et les Augustins ou sur internet (https://www.billetweb.fr/26eme-fete-des-sporets). Tarifs : 14 euros en prévente. 16 euros le soir même.

C’est une riche semaine qui se termine ce mercredi à l’UFR Staps de Besançon. Durant quatre jours, 60 étudiants de 3è année, suivant une spécialité APAS ( Activité Physique Adapté et santé), ont animé des ateliers sportifs à destination d’un public en situation de handicap. Ces étudiants, futurs professeurs d’activité physique adaptée, ont accueilli chaque jour des publics différents. Ainsi, grâce à la générosité de ces jeunes organisateurs, des enfants en situation de handicap mental, des personnes âgées et des adultes avec déficience mentale ont participé à des ateliers sportifs. Pour la deuxième année consécutive, ces journées omnisports étaient également ouvertes à un public présentant des maladies psychiques. 70 participants, venant d’une douzaine de structures différentes, étaient présents. Ils ont pu participer à du tir à l’arc, de l’escalade, du biathlon, un parcours moteur, … . Un spectacle, entièrement conçu par les étudiants, leur a même été proposé en fin de journée.

« Une riche expérience Â»

Charlotte, Florine et Paul, qui ont préparé cette grande journée, ne cachent pas qu’elle fut riche et formatrice. Elle leur a apporté énormément. Une expérience non négligeable en vue de l’exercice de leur métier futur. Ils reconnaissent également que cette initiative a permis à des personnes qui n’en ont pas toujours l’occasion et la possibilité de pratiquer une activité sportive et de prouver que celle-ci est possible « pour tout le monde, quel que soit le handicap Â». Ils admettent néanmoins que cela nécessite la mise en place d’un cadre et d’un accompagnement particulier. L’adaptation semble être une compétence à maîtriser. Chaque participant se présente avec ses différences, son vécu, sa situation personnelle et son humeur du moment, qui ne doivent pas être occultés. Cela demande alors la mise en place pédagogie spécifique et d’une animation différenciée de l’activité. C’est notamment en appliquant les savoir faire et savoir être dispensés en cours que les jeunes organisateurs ont mené leurs interventions. Pari réussi.

Soutenus par une association étudiante

Cette année encore, l’évènement, qui fêtait son 33è anniversaire en 2018, a été possible grâce au soutien financier de l’association étudiante Diapas, qui promeut le sport auprès des personnes en situation de handicap. Cette année, la structure bisontine a organisé par moins d’une quinzaine d’évènements pour promouvoir le sport adapté et sortir de l’isolement le public concerné, et notamment les étudiants. Cette année encore, des sorties, des activités sportives et des rencontres avec des collégiens ont été organisées. Thomas, le Vice-Président de l’association, espère que la région Bourgogne Franche-Comté rattrapera son retard en la matière et qu’une vraie politique en faveur du sport adapté, qui se traduira notamment par un soutien appuyé des collectivités locales, sera mise en œuvre rapidement.

Toute l’année à Pontarlier, 35 événements culturels portés par les associations de la Ville célèbrent le centenaire de l’armistice 1918.

Depuis hier, une exposition de cartes postales et de documents a lieu à la Chapelle des Annonciades. L’occasion de découvrir la vie militaire à Pontarlier, mais aussi la vie quotidienne des habitants de Pontarlier pendant la Grande Guerre.

A travers ces cartes postales, les visiteurs pourront découvrir des témoignages, les hôpitaux temporaires installés dans la ville et d’autres événements.

Cette exposition à destination du grand public est à découvrir jusqu’au 13 mai.

A Pontarlier, un appel à candidatures a été lancé pour renouveler le Conseil d’Administration du Centre Communal d’Action Sociale.

Présidé par Patrick Genre, maire de Pontarlier, le conseil est composé d’élus municipaux et de membres issus de la société civile. Il y a 7 élus et 7 représentants associatifs.

Suite à la démission de l’un des membres, le CCAS doit aujourd’hui désigner un nouveau représentant associatif qui œuvre dans le domaine caritatif ou dans le domaine de l’insertion.

Si vous êtes intéressés pour siéger au sein du conseil d’administration du CCAS, vous pouvez déposer votre candidature juqsqu’au vendredi 18 mai à 18h.

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