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En finale des championnats de France UNSS de Handball à Saint-Cyr sur Loire, les filles du collège Saint-Joseph à Maiche ont débuté leurs matchs de poule aujourd’hui.

Tout avait bien commencé par une victoire 11 à 7 ce matin face à Arcy sur Aube, match néanmoins marqué par la blessure au genou après quelques minutes seulement de leur capitaine Marie Machado.

Cet après-midi, c’est par une défaite 15 à 11 face à Thuir que s’est poursuivie la journée.

Il reste un match demain matin face à Valréas. La victoire est impérative pour obtenir l’une des deux premières places du groupe afin de se qualifier pour les quarts de finale. En espérant pour cette rencontre décisive récupérer sa capitaine en pleine possession de ses moyens.

Mobilisation ce mercredi matin au collège Proudhon à Besançon. Les familles dénoncent le manque de moyens accordés par l’éducation nationale à la rentrée prochaine malgré une augmentation des effectifs en 6è. S’ils s’insurgent cette année, les parents tiennent également à rappeler que « d’année en année les moyens sont revus à la baisse » dans cet établissement scolaire. A cette occasion, une matinée « collège mort Â» était organisée . Les enfants étaient accueillis, mais les cours n’étaient pas assurés.

Les parents d’élèves et les enseignants refusent la proposition du rectorat qui consiste à accorder l’ouverture d’une classe en 6è, mais à fermer une classe en 3è. Selon les familles, si cette organisation se confirme, « le nombre d’élèves par classe serait en moyenne de 30 pour ces deux niveaux Â». Le collectif demande également des moyens supplémentaires en vie scolaire. Pour l’heure, parents et professeurs regrettent de ne pas être entendus par l’éducation nationale. Ils demandent à être reçus à l’inspection académique. Déterminés, ils annoncent d’autres mobilisations pour se faire entendre de nouveau s’il le faut.

Hier, à l’invitation de Claude Jeannerot, ancien sénateur et président socialiste du département du Doubs, François Hollande est venu dédicacer à Besançon son dernier ouvrage « les leçons du pouvoir Â». Avant de rencontrer la population, l’ancien chef de l’état s’est adressé aux militants et sympathisants socialistes du Doubs. Rencontre avec Abdel Ghezali, le 1^er fédéral du parti socialiste du Doubs.

L’adjoint au maire de Besançon, en charge des sports, se dit « content Â» d’avoir accueilli un socialiste en terre bisontine. Mr Ghezali n’a pas été surpris par l’accueil qui a été réservé à François Hollande dans la cité comtoise. « C’est souvent le cas lorsque les anciens présidents de la République ont terminé leur mandat Â» explique-t-il. Tout en vantant les qualités humaines de François Hollande. « C’est quelqu’un d’attachant sur le plan humain, qui aime le contact et le dialogue, au-delà de ce que l’on peut penser de la politique qu’il a menée Â».

Lors de ses échanges avec les socialistes du département, François Hollande a invité les troupes locales « a porté les valeurs du socialisme, à faire preuve d’ouverture et à travailler pour pouvoir exister Â» explique Mr Ghezali. L’élu bisontin ne jette pas la pierre sur François Hollande. « Nous sommes tous responsables de la situation du Parti Socialiste. On doit tous se remettre en cause. C’est une responsabilité partagée. Ce qui est important aujourd’hui, c’est de regarder devant et de voir comment on peut continuer à être au service des gens dans nos territoires respectifs. On doit prendre en compte ce qui n’a pas marché, mais aussi regarder ce qui a pu être fait. On peut émettre des critiques sur la politique de François Hollande. Néanmoins, il y a un travail qui a été fait dans une période difficile sur le terrorisme. Il y a aussi eu des avancées sur des sujets de société comme le mariage pour tous. Les Français ont tranché, mais il faut prendre en compte tout cela Â». Et de conclure : « les socialistes ont encore un rôle à jouer au niveau local et national par rapport à la politique Â».

La proposition du Sénat de décentraliser la réduction de la vitesse à 80km/ h au niveau des départements a été débattue hier soir. « Cette mesure, fruit des travaux rendus par le groupe de travail sur la sécurité routière, propose d’appliquer la réduction de vitesse, non pas de manière uniforme, mais de façon décentralisée, au niveau des départements, afin de l’adapter aux réalités des territoires Â» explique le sénateur haut-saônois Michel Raison, impliqué sur ce dossier.

« Cette proposition est une main tendue au Premier ministre avant notre rencontre du 14 juin Â» explique le Sénateur, appelant le Gouvernement à entendre cette alternative soutenue par l’ensemble des groupes politiques au Sénat, à l’exception du groupe de la majorité présidentielle, où pourtant l’unanimité ne semble pas de mise.

« Plutôt qu’une décision éloignée des réalités, nous proposons une mesure décentralisée, affinée, concertée et responsabilisant les acteurs Â» résume l’élu comtois qui espère que la sagesse et le pragmatisme l’emporteront.