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Christophe Orsaz et sa fille Célia originaires de Gray n’ont plus donné signe de vie depuis le 30 novembre dernier. Aujourd’hui une femme et son ancien amant ont été arrêtés dans l’Ariège ce matin. Ils pourraient être impliqués dans cette disparition explique le journal Le Parisien.

Pour rappel, Christophe et sa fille ont disparu à Mirepoix en Ariège. Deux autres personnes proches des principaux suspects ont été placées en garde à vue. La femme interpellée serait une ancienne maîtresse de Christophe Orsaz.

Le 30 novembre dernier, il devait accompagner sa fille à la gare qui devait retourner à Toulouse pour ses études. Elle n’a jamais rejoint cette destination.

Aucun corps n’a été retrouvé, l’enquête continue, et l’hypothèse du suicide reste prise en compte par les enquêteurs.

Un camion de paille a pris feu en début d'après-midi aujourd'hui vers 14h10.

Il circulait sur la voie des mercureaux à hauteur de Beure sur la RN57, dans le sens Besançon - Pontarlier. 

La voie des mercureaux est fermée dans les deux sens le temps de l'intervention des secours. 

Après deux années de mandat, les 50 membres du conseil municipal des jeunes de la ville de Dole viennent de tirer le bilan avant de passer la main. Lors d’une séance exceptionnelle, leur dernière donc, ils ont pu échanger avec le Maire Jean-Baptiste Gagnoux qui a salué leur assiduité, leur sens de la citoyenneté et le rôle d’apporteurs d’idées qu’ils ont joué.

Pour les remercier de leur implication au service de la collectivité, ils se rendront prochainement à l’Assemblée Nationale , accueillis par Jean-Marie Sermlier, député et ancien maire de Dole, pour découvrir ce haut lieu de la République et peut être ainsi conforter chez certains l’envie de s’engager dans la vie publique.

 

Depuis quelques temps une société se fait passer pour la poste et contacte les usagers par mail. Elle les incite à appeler un numéro fortement surtaxé.

Le procédé est aussi simple qu’efficace : les clients reçoivent un message au sujet de soi-disant colis en attente de livraison et les incite à rappeler un numéro fortement surtaxé pour déclencher la livraison.

En place dans de nombreux départements dont le Doubs, cette escroquerie a amené la Poste à rappeler qu’elle ne réalise jamais de prospection demandant aux clients de la rappeler sur un numéro surtaxé et ne demande jamais de coordonnées bancaires ou de code secret par téléphone ou e-mail.

Ce sera l’évènement culturel de la rentrée 2018/2019. La troisième édition de la manifestation « Livres dans la Boucle Â» se déroulera les 14, 15 et 16 septembre prochains dans le Grand Besançon. Pour ce nouveau rendez-vous, 200 écrivains sont attendus. 70 rencontres seront programmées au cÅ“ur de la cité comtoise et dans toute l’agglomération bisontine. Comme en 2016 et 2017, le cÅ“ur de l’évènement se situera sur la place de la Révolution, où un chapiteau de 1000 m2 aura été préalablement installé, mais le rendez-vous se déploiera également dans d’autres secteurs de la ville : le conservatoire, la maison Victor Hugo, le Scénacle, le Crous, l’hôpital Saint-Jacques, le cinéma Beaux-Arts, … . Il y aura aussi des rencontres avec les auteurs dans huit médiathèques et dans les écoles primaires du Grand Besançon.

Philippe Claudel et Dany Laferrière

Après Philippe Besson et David Vann, c’est l’écrivain et académicien Goncourt Philippe Claudel qui présidera l’évènement. L’écrivain franco-haïtien David Laferrière en est le grand invité. L’organisateur annonce la présence à Besançon « du meilleur de la rentrée littéraire Â». Cette nouvelle édition fera la part belle aux polars et à la littérature étrangère, et notamment européenne. La littérature régionale ne sera pas oubliée. Le plateau d’auteurs s’annonce riche. La programmation a été confiée aux 38 éditions de la grande région Bourgogne Franche-Comté et à l’agence Livre et Lecture de Bourgogne Franche-Comté. Lectures, rencontres, musique, … « Livres dans la Boucle Â» ne manque pas d’arguments. L’an dernier, 27.000 visiteurs avaient fait le déplacement. 8.000 livres avaient été vendus. Les retombées économiques sont estimées à 300.000 euros. Le Grand Besançon et ses partenaires espèrent faire mieux cette année.

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