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A Frasne, dans le cadre des commémorations du centenaire de la Guerre 14/18, des entreprises ont décidé d’offrir une pièce de théâtre qui sera jouée devant les écoliers et les collégiens de la commune et la population. Philippe Alpy, le maire du village, apprécie ce geste qui contribue à perpétuer le devoir de mémoire auprès de toutes les générations, et notamment des plus jeunes.

Ainsi, le théâtre de la Clairière, dirigé par Pierre Louis, jouera cette pièce le 5 octobre prochain à la salle d’animation de Frasne. « L’entreprise peut aussi, à côté des collectivités, apporter sa contribution pour conforter le souvenir et amener l’ensemble de la population à partager autour de la culture Â» explique Mr Alpy.

Les bénéfices au profit du petit Malo

L’entrée pour assister à cette soirée sera libre et les fonds récoltés seront reversés au petit Malo et à sa famille. Ce jeune enfant, originaire de Frasne, se bat contre le mal et doit subir prochainement une très lourde opération chirurgicale. Cet argent sera donc le bienvenu.

La Ville de Pontarlier fait savoir qu’à partir de ce lundi et pour une durée approximative d’une semaine, des travaux d’exploitation forestières vont être menés rue des Lavaux sur la RD47.

La circulation sera interrompue ponctuellement et par séquence en fonction des besoins du chantier d’abattage. La police assurera la circulation par intermittence.

Ce samedi, les bisontines de l’ESBF accueillent au Palais des Sports de Besançon l’équipe de Fleury-les-Aubrais.

Dans le cadre de la 6^ème journée de LFH, les bisontines actuellement 3^ème du championnat, tenteront de conserver leur place sur le podium face aux filles de Fleury qui sont 7^ème.

Le coup d’envoi du match sera donné à 20h30 au Palais des Sports.

La peste porcine africaine, non contagieuse pour l'homme, est aux portes de la France. A la frontière avec la Belgique précisément. Une maladie qui est véhiculée notamment par les sangliers, un animal sauvage qui se déplace beaucoup surtout en cette période de chasse et qui risque de contaminer les porcs d’élevage autres victimes potentielles de ce virus mortel.

Les agriculteurs sont donc inquiets et vigilants. Car en cas d’atteinte d’une seule bête, c’est tout l’élevage qui devrait par précaution être abattu. Sans pour autant céder à la psychose, les agriculteurs ont pris les devants et sont formés et prêts à faire face si besoin en protégeant leurs installations.

En cas de crise comme en Belgique, une suspension de la chasse pourrait être envisagée pour éviter de véhiculer le virus et une modification du plan de chasse en accord avec la fédération de chasse et l’Etat le cas échéant permettrait de multiplier les prélèvements de sangliers et ainsi minimiser le risque de propagation.

Même si la France n’en est pas encore là comme l’explique le président de la FDSEA Philippe Monnet, autant prévoir pour ne pas être dépassés.