Les secours ont été appelés ce matin peu après 11h pour un accident de la circulation à Besançon.
Un bus et une voiture sont entrés en collision, rue de l'Orme de Chamars en centre-ville de la cité comtoise.
Deux femmes de 60 ans ont été légèrement blessées dans le bus. L’une d’elles a été transportée à l’hôpital.
Depuis le 1er février, l’opération Février sans supermarché a été lancée partout en France, en Belgique mais aussi en Suisse. Le projet d’origine suisse a débuté en 2017 dans l’objectif de limiter la surconsommation et redonner vie aux commerces de proximité et aux producteurs locaux.
En 2018, 20 000 personnes se sont lancées le défi en France. Et pour ce mois de février 2019, on dénombre plus de 500 adeptes sur le territoire franc-comtois.
Alexandra Monnin participe pour la première année au défi « Février sans supermarché », elle fait également partie du groupe Facebook Franche-Comté sans supermarché, sur lequel les membres peuvent échanger des bonnes adresses, des contacts, des astuces, des conseils ou encore des recettes. Mère de deux enfants elle réalise que « le supermarché se présente comme la solution de facilité. Il faut revoir toutes ses habitudes et son organisation » confie-t-elle.
« Ce défi ne consiste pas à boycotter les grandes-surfaces, seulement à s’interroger sur sa manière de consommer. C’est une nouvelle organisation à prendre en main » explique-t-elle.
Une nouvelle organisation qui fait du bien au porte-monnaie et à la planète...
Pour consommer autrement Alexandra s’est renseignée, elle s'est inscrite en AMAP il y a 7 ans. Le concept est simple, favoriser le travail des producteurs locaux. Chaque panier est constitué de fruits et légumes de saison et le prix reste toujours le même pour assurer un salaire constant aux producteurs.
Bien avancée dans la démarche environnementale et zéro déchet, elle consomme également en vrac et fabrique une majorité de ses produits, une solution qui demande du temps et de l’investissement, pour faire du bien à la planète et à son porte-monnaie.
« Sur le groupe d'entre-aide Franche-Comté Sans Supermarché, nous retrouvons tous les types de profil. Des curieux, des personnes très engagées dans la lutte contre les déchets et le plastique, des personnes en transition, mais personne n'est pointé du doigt. Chaque conseil est bon à prendre ».
Les organisateurs du Festival de la Paille ne s'y attendaient pas, ce dimanche Jean-Luc Reichmann a annoncé la venue d'Eddy de Pretto dans le Haut-Doubs. Le présentateur de TF1 a-t-il vendu la mèche sur le canapé rouge de Michel Drucker ?
Aurélien Bouveret le programmateur du Festival laisse planer le doute. "Nous avons entamé la discussion pour faire venir Eddy de Pretto à Métabief" confie-t-il, sans confirmer sa présence ou non.
Il faudra donc attendre le 4 avril et la conférence de presse qui dévoilera l'ensemble de la programmation, afin de savoir si Eddy de Pretto se produira à Métabief cet été.
Depuis plusieurs jours, la France connaît des températures printanières, alors que nous sommes pourtant au mois de février. Ce mardi après-midi, en pleine période de deuxième semaine des vacances d’hiver, à Besançon, le parc de la gare d’eau avait des allures d’ambiance estivale. Seule la végétation nous rappelle que la belle saison n’est pas encore d’actualité. En tout cas, les vacanciers sont venus se prélasser sur les bords du Doubs. Les lunettes de soleil et les nappes de pique-nique étaient de sortie. Les infrastructures sportives près du parking Chamars sont également prises d’assaut. Le skate-park, l’espace de musculation et les terrains de football et de basket connaissent également un franc succès. « C’est le paradis » explique Killian, venu avec ses amis préparer une soirée entre potes.
Tout le monde reconnaît que ces conditions sont des plus agréables, même si l’on admet bien volontiers que cela reste inquiétant. « C’est pas vraiment fou parce que c’est le réchauffement climatique, mais ce soleil fait quand même plaisir » ajoute Trinité.
Concernant les prévisions météo à venir. La journée de mercredi s’annonce encore des plus agréables, avec des températures maximales comprises entre 14 et 19°. C’est à compter de jeudi après-midi que la météo se dégrade, avec notamment le retour des averses , mais doit-on s’en plaindre ? Une baisse des températures est à prévoir ensuite.
Le conseil communautaire du Grand Besançon du 28 février prochain aura un double intérêt. Tout d’abord parce que les élus devront se prononcer sur la transformation de la communauté d’agglomération du Grand Besançon en communauté urbaine, première étape importante, avant sa naissance officielle le 1er juillet. D’autre part, les élus devront voter le budget 2019 de la collectivité qui, cette année, atteindra, le montant record de 304,5 millions d’euros. Soit un chiffre trois plus important que celui de l’année 2001. Il convient néanmoins de relativiser ce constat, puisqu’à cette époque les compétences de l’agglomération n’avaient rien de comparable. En 2019, le budget consolidé prévoit près de 72 millions de dépenses d’équipement. Le tout sans augmenter la fiscalité pour le Grand Besançon.
Les projets de l’année 2019
2019 sera placé sous le signe du sport, avec le projet Grandes Heures Nature, et notamment son festival qui se tiendra du 13 au 16 juin prochain. L’ouverture de la salle d’escalade, l’accélération du programme de pistes cyclables, le lancement de la première phase de restructuration du plan d’eau d’Osselle-Routelle, l’étude pour la base nautique aux Prés-de-Vaux, l’avancement des études pré-opérationnelles de la grande bibliothèque sur le site Saint-Jacques, Synergie Campus et l’amélioration de la qualité de vie étudiante sur le Campus de la Bouloie, le très haut débit ou encore la transformation du quartier Planoise, … sont autant d’initiatives qui seront lancées cette année également.
Pourquoi une Communauté Urbaine ?
Pour Jean-Louis Fousseret, cette transformation du Grand Besançon est une étape importante qui va permettre à cet territoire de mieux rayonner et de « consolider son positionnement dans les discussions avec l’Etat, l’Union Européenne ou encore la Région et le Département, dans un contexte actuel de forte concurrence entre les territoires ». Jean-Louis Fousseret espère que ses collègues élus se prononceront à une forte majorité sur ce changement.
