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La 27ème Fête des Sporets approche à grand pas à Pontarlier. Pour cette nouvelle édition, des artistes locaux se produiront sur scène. Avec la présence de Johan Catania, Dj Tanguy, Valcor et Let Dzur, les bénévoles espèrent rassembler près de 1700 lycéens pour cette soirée devenue incontournable dans le Haut-Doubs.

Un aspect solidaire pour la grande Fête des Sporets

Cette soirée organisée par des élèves de Terminale en section ski au lycée Xavier Marmier permet de financer leurs stages sportifs tout au long de l’année. Pour la première fois, la fête des Sporets aura aussi un aspect solidaire.
Une partie des bénéfices sera reversée à la Sapaudia Franche-Comté association qui œuvre au don de moelle osseuse.

Jusqu’au bout de la nuit

Les bénévoles ont vu les choses en grand cette année. Un partenariat a été créé avec La Première de Pontarlier afin de proposer aux lycéens un pass permettant de commencer la soirée à l’Espace Pourny et de terminer la soirée à La Première.
Ces pass sont reservés aux personnes majeures.

La Fête des Sporets sera organisée le 18 mai à l'Espace Pourny de Pontarlier

Plus d’informations sur leur page Facebook : Fête des Sporets

Nabs, le jeune rappeur de 20 ans de Lons-le-Saunier, est lui-même surpris de la tournure que prennent les évènements. Sa vidéo, postée il y a quelques jours seulement sur You Tube bat des records d’écoute. L’audience de son premier clip grandit de jour en jour. Une création qui n’est pas du goût du syndicat UNSA Police qui lui reproche « des propos outrageants et de faire l’apologie des produits stupéfiants et du trafic Â».

A ces propos, qu’il réfute, le jeune homme rappelle que « le rap est une musique engagée, qui répond à des codes Â». Nabs ne cache pas également que le clip est une colère qui cible les contrôles au faciès dont lui-même et d’autres jeunes se disent être victimes dans le quartier de la Marjorie à Lons-le-Saunier. « Je ne fais rien de mal. Je ne fais qu’exprimer ma colère et mon énervement sur du papier et de la musique Â» explique le jeune artiste.

Une atteinte à la liberté d’expression ?

Rappelons qu’un syndicat de police était dernièrement monté au créneau, offusqué par les paroles d’une chanson de l’artiste bisontin Guillaume Aldebert, chantée dans une école de Meurthe-et-Moselle. La police est-elle toujours irréprochable, montre-t-elle toujours l’exemple  ? La question mérite d’être posée. Les dernières vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, montrant un policier jetant un pavé sur des manifestants ou laissant penser que des manifestants ont été enfermés dans une cave ou giflés font désordre.

Tout au long de cette semaine, la commune de Chalezeule organise jusqu’au 9 mai une opération intitulée « Nous sommes l’Europe ». Elle s’adresse aux enfants, mais aussi aux adultes. Cette initiative a débuté ce lundi 6 mai à la maison commune à destination des enfants de primaire et se poursuivra le 9 mai avec ce même public. Grâce à des ateliers thématiques, les enfants découvriront l’Union européenne et les étapes de sa construction. Ils participeront le 9 mai à une grande journée de l’Europe. Lors d’une animation collective, ils feront la connaissance des différents pays à travers leurs drapeaux, leurs paysages, leurs plats, leurs musiques, leurs costumes, … .

En parallèle, deux expositions sont proposées à la maison commune. L’une d’elles portent sur le parlement européen et les élections du 26 mai prochain. Enfin, ce soir, à 20h30, une soirée café débat se tiendra à la maison commune de Chalezeule sur le thème : « connaître et comprendre le parlement européen pour saisir les enjeux des élections ». Elle sera animée par Julien Péa, le directeur de la Maison de l’Europe de Besançon.

Naissances :

26/04/19 – Calixte de Alexandre GAGNO, coordinateur d’atelier et de Julie MAINIER, opératrice en horlogerie.

26/04/19 – Lisa de Lionel MICHOT, gérant adjoint et de Claire ROBICHON, préparatrice en pharmacie.

26/04/19 – Julianne de Christophe HARTER, maçon et de Roseline LENHARD, sans profession.

27/04/19 – Alma de Huissem KHEDHER, ouvrier et de Yosra FERCHICHI, assistante d’approvisionnement.

27/04/19 – Erwan de Joris FAIVRE, menuisier et de Céline FUMEY, employée commerciale.

29/04/19 – Aya de Naim BEN NASR, opérateur en plasturgie et de Nawelle BOULACHEB, conseillère principale d’éducation.

29/04/19 – Gabriel de François FRÉZARD, chef de chantier et de Céline TERRAPON, décoratrice en horlogerie.

30/04/19 – Laly de Mathieu LECOULTRE, horloger et de Marine JACQUET, doctorante en biologie cellulaire.

30/04/19 – Adam de Antoine DUSSOUILLEZ, fromager et de Dorine PEYLABOUD, aide- soignante.

03/05/19 – Nour de Jaouad BOUAZZAR, livreur et de Oumaima ICHOU, sans profession.

Publication :

02/05/19 – Alexandre LEBAIL, chauffeur routier et Pauline BENOIT, dessinatrice en bureau d’études.

Décès :

26/04/19 – Claude MARCHAND, 70 ans, retraité, domicilié à Levier (Doubs) époux de Anne-Marie ROUSSILLON.

27/04/19 – Adis KARIC, 37 ans, employé, domicilié à Pontarlier (Doubs) époux de Zuhra SPAHIC.

27/04/19 – Daniel COLARD, 74 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs) époux de Claude BOURGEOIS.

28/04/19 – Michel CALAME, 88 ans, retraité, domicilié à Villers-Le-Lac (Doubs) époux de Madeleine CHARTON.

30/04/19 – Eloi VERGUET, 91 ans, magasinier retraité, domicilié à Houtaud (Doubs) veuf de Marie-Louise D’HOUTAUD.

03/05/19 – Maurice DHOTE, 88 ans, retraité, domicilié à Rochejean (Doubs) époux de Solange DENISET.

Ces jeunes rappeurs jurassiens sont-ils allés trop loin  ? Le syndicat Unsa police en est convaincu. Après la diffusion sur YouTube, le 1er mai dernier, d’un clip par un groupe de jeunes rappeurs, originaires de Lons-le-Saunier, intitulé « Le Nabs officiel Â».

Selon eux, « il est fait l’apologie des produits stupéfiants et de leur trafic Â». Il est dénoncé « des propos outrageants à l’égard des policiers et de leur famille Â». Après la chanson d’Aldebert « pour louper l’école Â», le syndicat de police fait appel aux autorités administratives et judiciaires pour régler un litige portant sur une création musicale.

Selon les policiers, « l’ensemble du clip est tourné dans un quartier de Lons-le-Saunier, visiblement à l’aide de moyens et matériels soumis à autorisation spécifique Â». Et de conclure : « La réponse de la justice doit être implacable face à la haine et au poison déversé par ce groupe d’individus bien connus de nos services Â» conclut le syndicat UNSA police Bourgogne Franche-Comté. Affaire à suivre.

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