En ce mercredi 27 janvier, journée de la mémoire de l’Holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité, un rassemblement s’est tenu à la Citadelle de Besançon. De nombreux élus avaient répondu présent devant les poteaux commémorant l’exécution de 100 résistants entre 1941 et 1944. Parmi eux, Henri Fertet (16 ans), fusillé à la Citadelle de Besançon, le 26 septembre 1943, avec d’autres camarades
Anne Vignot, Christine Bouquin, Joël Mathurin ou encore Ludovic Fagaut étaient présents. Après plusieurs prises de parole relatant la chronologie de cette sombre période, Vincent Briand, attaché de conservation au Musée de la Résistance et de la Déportation, a exprimé « la volonté de transmettre cette histoire, afin de s’en servir comme un outil de vigilance citoyen pour éviter la réitération de ces faits » . Et de conclure « C’est d’important de connaître notre histoire pour que chacun d’entre nous participe à la construction collective d’un avenir de paix, un avenir meilleur ».































