Dans le cadre de la crise sanitaire du moment, le collectif exprime ses inquiétudes pour la reprise des cours en juin et surtout en septembre. D’importantes questions restent encore en suspens au niveau local. Il est souhaité une véritable politique de santé, à savoir plus de médecins et d’infirmières scolaires, une médecine de travail pour les personnels, un accompagnement psychologique des jeunes et des adultes à la rentrée.
Le collectif demande à Jean-Michel Blanquer de travailler de concert avec les acteurs de terrain et les parents. Et ce, afin d’élaborer des scénarios compatibles avec la complexité des réalités sociales. « Seul un travail de concertation au plus proche du terrain permettra de construire une rentrée efficiente », selon le collectif.































