Ce mardi, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Besançon étudiera la remise en liberté de Jonathann Daval, émise par l’avocat du meurtrier présumé. Une première demande avait été refusée le 16 octobre dernier.
Plusieurs motifs avaient été avancés pour expliquer cette décision, notamment « la nécessité de conserver les preuves ou indices matériels », mais aussi « d’assurer la sécurité » de Jonathann Daval.































