La dégradation de radars défraie régulièrement la chronique avec une quarantaine d’actes délictueux l’an dernier dans le Doubs, chiffre qui devrait encore prendre de l’ampleur suite au passage aux 80 km/h.
Ces biens publics, au même titre que le mobilier urbain d’une commune ou qu’une salle des fêtes par exemple, ne peuvent pas être dégradés impunément comme le rappelle le Préfet du Doubs Raphael Bartolt.
A chaque fois d’ailleurs, la Direction Départementale des Territoires en charge de la sécurité routière dépose plainte en son nom.
Il distingue les petites dégradations avec peinture par exemple des plus lourdes.
Dans le premier cas, l’auteur encourt 7500€ d’amende et un travail d’intérêt général. Dans le deuxième cas, la sanction peut atteindre 45000€ et une peine d’emprisonnement !































