La décision est tombée en début d’après-midi. L’anesthésiste bisontin, impliqué dans plusieurs cas d’empoisonnement, reste en liberté.La cour d’appel de Besançon a confirmé son placement sous contrôle judiciaire.
Il a néanmoins dû avancer 100.000 euros de caution. Il ne peut pas exercer la médecine et il a interdiction de rentrer en contact avec le personnel des cliniques où il travaillait. Une quarantaine d’autres cas sont actuellement étudiés par la justice.































