80 universitaires viennent d’adresser un courrier au préfet de région et à plusieurs autres élus ( région, députés et sénateurs du Doubs et du Jura) pour demander que « soit mis un terme définitif » à la technique du casse caillou.
Il est ainsi expliqué que ce procédé « artificialise le patrimoine paysager de la montagne jurassienne, détruit définitivement des milieux d'une grande richesse biologique et favorisent la pollution d'emblématiques cours d'eau ».
Selon le collectif, « le broyage des sols et des murgers (utilisation du casse-cailloux), l'élimination des haies et des bosquets, les attaques sur les pré-bois, ont repris de l'intensité ces derniers mois, et plus sûrement ces dernières semaines ».