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D1 féminine : l’ESBF veut faire un résultat à Chambray

Publié le 17 Oct. 2024 à 17:10
Tags: handball féminin | Handball | esbf |
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D1 féminine :  l’ESBF veut faire un résultat à Chambray Jérôme Delarue

Dans le cadre de la 4è journée de championnat en D1 féminine, l’ESBF se déplace à Chambray ce vendredi soir. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h. Chambray, qui a de véritables objectifs cette année, n’a pas eu un début de championnat aisé, avec un déplacement à Brest et la réception de Metz. Au classement, les handballeuses sont avant-dernières. Les Bisontines, qui restent sur une défaite, sur leur parquet face à Dijon, apparaissent en huitième position. Alors, autant dire que les adversaires auront les crocs et l’envie de se relever demain soir. Comptablement, avant la trêve internationale, le groupe de Jérôme Delarue affiche un bilan intéressant, à condition de ne pas perdre la face chez leurs adversaires du jour.

Le technicien bisontin connaît les valeurs de cette équipe de chambray. Il sait qu’aller s’imposer, chez cet adversaire, n'est pas des plus simples. Néanmoins, les Engagées peuvent le faire et, surtout, en cas de victoire, feraient oublier leur déconvenue de la précédente journée et rattraperaient les points inutilement perdus le 9 octobre. « J’avais dit que si l’on était à trois victoires sur quatre sur le début de saison, on aurait bien lancé notre championnat Â» explique Jérôme Delarue, qui avait, sans doute espéré une autre issue face aux Bourguignonnes.

L'interview de la rédaction : Jérôme Delarue

Concentration et combattivité

C’est ce qui fait la qualité de cette équipe. Cette force de caractère et cette capacité à se remettre en cause permettent au collectif  d’apprendre de ses erreurs et de mieux se projeter dans les échéances à venir. La dernière défaite a été formatrice. L’ESBF s’est remise au travail et sait ce qu’il ne faut pas faire pour ne pas  trop s’éloigner de l’objectif européen. Les places sont chères et la qualité de ce championnat ne laisse pas la place aux approximations et aux nombreuses erreurs.  

L'interview de la rédaction : Jérôme Delarue