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L’université de Franche-Comté vient de se voir confirmer le label Marianne, qui lui avait été accordé en février 2020. Ce dernier reconnaît la qualité des services et de l’accueil dans ses dix bibliothèques universitaires.

Ce label certifie que les douze engagements du référentiel Marianne sont tenus sur le long terme. Ils sont regroupés en cinq rubriques thématiques : information et orientation, accueil, réponses, écoutes des publics, formation et implication des agents. Ce label est délivré pour trois ans par des organismes certificateurs indépendants.

Au lycée Victor Bérard de Morez, 173 élèves sont testés ce vendredi après-midi après l’identification de trois personnes positives au variant Delta du coronavirus jeudi. Selon le journal « Le Progrès », il s’agit de deux surveillants et d’une élève. L’ARS se veut rassurante et explique que « le contact traking a bien fonctionné". 

A un mois de l’ouverture des Jeux Olympiques de Tokyo, le Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) a choisi de promouvoir ses valeurs et sa culture en organisant ce mercredi 23 juin la journée de l’olympisme. A Besançon, elle se déroulera au stade Léo Lagrange. A cette occasion, 50 associations seront présentes pour présenter leur offre sportive.

Pour donner encore plus d’ampleur à cet évènement, la Ville de Besançon a décidé d’inviter quelques-uns de ses plus grands ambassadeurs. Ainsi, la handballeuse Sandrine Delerce, l’haltérophile David Matam et le cycliste Morgan Kneisky seront au rendez-vous. On notera également la présence de l’universitaire bisontin Eric Monnin, porteur officiel de la flamme 2020.

Le rectorat de Besançon vient de communiquer les nouveaux chiffres de la pandémie dans l’académie de Besançon. Selon les derniers chiffres, enregistrés à la date du 17 juin, à 13h, Aucune structure scolaire n’est fermée. 32 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique dans l’académie, dont 21 classes dans le Doubs et une dans le Jura. 56 élèves et 5 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours.

Depuis le 15 juin, la vaccination est ouverte aux jeunes à partir de 12 ans.

La Mission Locale du bassin d'emploi de Besançon est au cœur du plan « #1jeune1solution ». Ce plan de relance économique, officiellement lancé le 23 juillet 2020 par Jean Castex à Besançon, a pour but de lutter contre le chômage des jeunes et leur insertion dans la vie sociale et professionnelle. Un plan d'autant plus nécessaire en raison de la crise sanitaire qui a précarisé la jeunesse française.

Quel objectif ?

L'objectif est d'aller chercher les jeunes déscolarisés, sans emploi et sans formation, de leur redonner confiance en eux et les accompagner sur le chemin de la vie professionnelle. Ce dispositif est accessible dès 16 ans et permet un parcours et des conseils individualisés selon la situation. A Besançon, on s'attend aussi à voir arriver de nombreux jeunes diplômés ou n'ayant pas poursuivi leur cursus universitaire. Des étudiants isolés, sans ressources financières ou connaissant des difficultés psychologiques après ces longs mois de cours en distanciel, éloignés de toute vie sociale et familiale.

Des moyens supplémentaires

Si la mise en place du dispositif a balbutié, désormais son contour est mieux défini et les missions locales ont pu poser des jalons pertinents, semblant répondre aux besoins des jeuens et des entreprises. Trois dispositifs ont vu leurs moyens prendre de l'importance : Le PACEA (Parcours d'Accompagnement Contractualisé vers l'Emploi et l'Autonomie), le Dispositif de la Garantie Jeunes et les contrats aidés. Ce soutien financier supplémentaire a également permis l'acquisition de nouveaux locaux et le recrutement de nouveaux conseillers en insertuion. Car, oui l'enjeu, est bien d'accueillir et d'accompagner davantage de jeunes. Pour atteindre les ambitieux objectifs gouvernementaux, il va falloir aller chercher les jeunes les plus éloignés de ces dispositifs et informer au mieux les entreprises. C'est tout le travail qui attend les professionnels de la mission locale du bassin d'emploi de Besançon. « Dans les tous prochains jours des opération de terrain vont être déployées » promet Thierry Grandmottet le directeur de la structure.

Didier Paineaud, Maire de Byans-sur-Doubs et président de la mission locale du bassin d'emploi de Besançon

Le baccalauréat 2021 a officiellement débuté ce matin. Comme le veut la tradition, les candidats ont planché sur l'épreuve de philosophie. 'Discuter, est-ce renoncer à la violence ? » , « l'inconscient échappe-t-il à toute forme de connaissance ? » ou encore « sommes-nous responsables de l'avenir ? " telles étaient quelques questions philosophiques posées aux futurs étudiants.

Dans l'ensemble, les lycéens sont plutôt confiants, même s'il est toujours compliqué d'évaluer avec précision sa copie. Certains reconnaissent que le suivi des cours et les révisions n'ont pas toujours été aisés, mais ils promettent avoir donné le meilleur d'eux-mêmes durant l'épreuve.

Rappelons que les candidats ne passent que deux épreuves en présentiel : la philosophie et le grand oral. Concernant ce dernier rendez-vous, il se déroulera du lundi 21 juin au vendredi 2 juillet. Le reste du diplôme sera délivré en fonction des notes du contrôle continu.

Le reportage de la rédaction