Choix du secteur :
Se connecter :
 

Un homme devra s’expliquer le 6 janvier prochain devant la justice. Le 19 septembre, alors qu’il téléphonait au volant, une patrouille de police a fait arrêter le véhicule. Lorsque son occupant a ouvert la fenêtre, une forte odeur de cannabis se dégageait de l’habitacle. L’occupant remettait alors aux agents une petite quantité de résine de cannabis. Dans la boîte à gants, près de 8000 euros ont été découverts. 410 euros se trouvaient également dans une poche de son pantalon. Chez lui, 80 grammes de résine de cannabis ont également été retrouvés par un chien spécialisé. Le trentenaire a été remis en liberté ce mardi après-midi  en attendant son procès.

Tout au long de ce mois de septembre, la police de Pontarlier procède à des contrôles dans les cars scolaires pour vérifier que les enfants sont bien attachés et qu’il n’y a pas de surcharge. Autrement dit, que les occupants sont bien tous assis dans le véhicule. Les enfants et les adolescents qui ne respectent pas le port de la ceinture de sécurité s’exposent à une amende de 135 euros.


Le Chilien Nicolas Zepeda, soupçonné du meurtre de l’étudiante Narumi Kurosaki, dont le corps n’a jamais été retrouvé, sera jugé à compter du 28 mars prochain devant la cour d’assises du Doubs. Zepeda a reconnu avoir passé une partie de la nuit du 4 au 5 décembre 2016 dans la chambre de la jeune femme, située sur le campus de la Bouloie. Cette nuit-là, des cris ont été entendus, mais personne n’a prévenu les forces de l’ordre. Le meurtrier présumé clame son innocence. Il a expliqué avoir quitté la jeune femme en vie lors de son passage à Besançon.

Sur son compte Twitter, la députée jurassienne La République en Marche Danielle Brulebois réagit aux dernières menaces dont elle a fait l’objet.  La parlementaire explique qu’elle a récemment été suivie en voiture, un soir à 19h30, jusqu’à sa propriété, par des anti-pass. « Les mêmes qui m’insultent depuis des mois tous les samedis dans les rues et taguent ma permanence Â» ajoute-t-elle. Et de conclure : « ces méthodes me laissent sans voix, mais pas intimidée Â».

Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus à Perrigny hier soir, vers 22h30. Un dégagement de fumée, provenant d’une alvéole de 100 m2, contenant des résidus ménagers et industriels, situé dans un bâtiment à usage de recyclage et valorisation des déchets, a été constaté. L’évacuation des déchets a été effectuée. Deux lances ont été déployées par les sapeurs-pompiers. Les secours ont procédé à la ventilation des locaux.

 

Un homme de 37 ans a été déféré ce lundi. Le 18 septembre dernier, lors d’un contrôle, il était dans l’incapacité de présenter un permis de conduire. Dans un premier temps, il donna une fausse identité aux policiers. Il reconnut également avoir consommé de la cocaïne. Ce que le dépistage confirma.

 

Le 18 septembre, les policiers bisontins ont interpellé deux individus, âgés de 23 et 28 ans, qui ont été aperçus, via des caméras de surveillance, en train de commettre des dégradations sur des véhicules en stationnement parking Battant. Le véhicule dans lequel ils avaient pris possession a été intercepté 10 minutes plus tard, place Leclerc. Ils ont été placés en garde à vue. Au cours de leurs audition, ils ont indiqué avoir marché sur plusieurs véhicules, sous l’effet de l’alcool. Ils ont été laissés libres dans l’attente d’investigations supplémentaires.

 

Un jeune homme de 18 ans devra s’expliquer prochainement devant la justice. Le 17 septembre dernier, vers 21h45, les policiers CRS de l’Unité Motocycliste Zonale et la Brigade d’Intervention ont constaté la présence d’un couteau de chasse de 18 centimètres de long et d’une balance dans un véhicule. Une forte odeur de cannabis émanait de l’habitacle.

Le conducteur de la voiture remit alors aux policiers six sachets de résine de cannabis, soit environ 38 grammes, près d’une centaine de sachets de conditionnement vides et cinq autres couteaux. Le jeune homme, âgé de 18 ans, Ã©tait également en possession de près de 500 euros en numéraire. Il a été placé en garde à vue. Au cours de son audition, il reconnut également la vente de stupéfiants.

Un jeune homme d’une vingtaine d’années devra s’expliquer le 6 mai prochain pour des faits de détention, de transport, d’acquisition et de trafic de produits stupéfiants, de rébellion, de violences commises sur une personne dépositaire de l’autorité et pour la conduite d’un véhicule à moteur malgré l’injonction de le restituer.

Le 16 septembre dernier, rue des Flûtes Agasses, à Besançon, lors d’un contrôle routier, les policiers ont remarqué qu’une forte odeur de cannabis émanait de l’habitacle de la voiture. L’occupant tente alors de prendre la fuite, mais il chute seul au sol. Rattrapé, il se rebelle pour empêcher son menottage et frappe un policier au visage. Il a été placé en garde à vue. A l’intérieur du véhicule, les policiers ont découvert 45 grammes d’herbe de cannabis, 65 grammes de résine de cannabis,  plus de 4 grammes de cocaïne et une somme de 260 euros.


Les policiers pontissaliens ont eu à gérer deux affaires de violences familiales. Le 17 septembre dernier, vers 9h35, ils se sont rendus au domicile d’un couple après une dispute. Le compagnon s’est mis en colère lorsqu’il a découvert un téléphone portable inconnu. Des violences ont été échangées entre eux. L’homme s’est vu prescrire cinq jours d’ITT, deux jours d’ITT pour la femme. Les deux protagonistes devront s’expliquer le 17 janvier, à 13h30, devant la justice. Concours de circonstance, c’est également la date de l’audience au cours de laquelle le mari devra répondre d’autres faits survenus lors d’une précédente affaire.

Le 17 septembre, vers 22h, un homme a été placé en garde à vue pour des soupçons de violence physique sur son ex-conjointe. La victime a déposé plainte, mais elle a refusé de voir un médecin. Le mis en cause a été placé en garde à vue. Il est également reproché à l’agresseur présumé d’avoir harcelé téléphoniquement sa victime. Une enquête environnementale a été effectuée. Des violences réciproques ont été constatées. Le couple vit une relation toxique. Le dossier a été transmis pour étude. En attendant, le compagnon ne doit plus entrer en contact avec la victime présumée.