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Ce matin, un ambulancier de Besançon a été poignardé par la personne qu’il secourait dans le quartier Planoise. L’agresseur souffrait de troubles psychiatriques. La victime n’a pas survécu à ses blessures. Deux autres personnes ont été blessées. L’individu, en totale démence, a  été maitrisé par la police nationale.

Anne Vignot, la Maire de Besançon, se dit profondément touché par ce drame. « C’est avec beaucoup d’émotion Â»  qu’elle a adressé au nom des élus de Besançon, ses condoléances à la famille et aux proches du défunt.

Pour l’édile il faut revoir la prise en charge des personnes qui relèvent de la psychiatrie. « Il faut que l’on se coordonne mieux. Cela implique les pompiers, les ambulanciers et la police nationale Â» explique Mme Vignot. Et de poursuivre : « Nous rencontrons des personnes qui ne restent plus forcément longtemps dans les institutions. Elles se retrouvent alors dans leur famille, dans une vie plus autonome. Ce qui fait que certaines  n’ont plus l’accompagnement dont elles ont besoin Â». « Je ne connais pas précisément la situation, mais il faut que l’on se coordonne beaucoup plus fortement. Car nous avons vu qu’il y a beaucoup d’actes liés à des comportements de type psychiatrique dans notre ville Â».

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus cet après-midi, vers 15h à Saint-Hippolyte pour une accident impliquant une moto seule. Les deux occupants ont chuté dans un ravin. Deux hélicoptères ont été envoyés sur place.

La première victime, un homme de 26 ans, gravement blessé, a été transporté médicalisé par Heli 25 sur le CHU Minjoz. La deuxième victime, une femme de 26 ans, a été transportée par Dragon 25 sur l’hôpital bisontin également.  Une équipe du GRIMP est également intervenue pour extraire les victimes.

Ce matin, un ambulancier de Besançon a été poignardé par la personne qu’il secourait dans le quartier Planoise. L’agresseur souffrait de troubles psychiatriques. La victime n’a pas survécu à ses blessures. Deux autres personnes ont été blessées. L’individu, en totale démence, a  été maitrisé par la police nationale.

Anne Vignot, la Maire de Besançon, se dit profondément touché par ce drame. « C’est avec beaucoup d’émotion qu’elle adresse au nom des élus de Besançon Â», ses condoléances à la famille et aux proches du défunt.

Un surveillant de la maison d’arrêt de Besançon, âgé d’une cinquantaine d’années, a été mis en examen pour « corruption passive Â» ce vendredi. On lui reproche d’avoir fait pénétrer à l’intérieur de l’établissement des produits interdits, alimentant ainsi un trafic entre détenus.

Lorsqu’il a été arrêté, il était en possession d’un grand sac, qui contenait de l’alcool, des chichas et des téléphones. Il a été interpellé ce jeudi, vers 6h, alors qu’il s’apprêtait à prendre son service. Le quinquagénaire a reconnu avoir fait entrer une dizaine de sacs, en échange d’une centaine d’euros par sac. La perquisition menée à son domicile a permis de découvrir d’autres sacs identiques.

L’individu qui avait commis dernièrement quatre vols dans une barraque de chantier à Pontarlier, impliqué dans une tentative de vol à la roulotte et dans une affaire de filouterie d’essence a été déféré ce vendredi  devant le tribunal judiciaire de Besançon. Au cours des investigations, il est également apparu une non-exécution de peine suite à un jugement le condamnant à huit mois de prison.

Un homme qui faisait l’objet d’un contrôle judiciaire et qui lui interdisait de séjourner dans le Doubs a été interpellé jeudi à Pontarlier. Il a tenté d’entrer en contact avec un témoin. Cet individu aurait également poursuivi ce dernier avec deux autres individus. Sa garde à vue a été prolongée. Il l’est toujours ce vendredi soir.

. L’individu de 23 ans, qui a agressé une dame de 93 ans, en lui arrachant son sac à main, qu’elle portait en bandoulière, a été incarcéré à l’issue de sa comparution immédiate cet après-midi. Rappelons que le jeune homme a commis son acte jeudi soir, vers 18h30 dans un souterrain, alors que la nonagénaire s’apprêtait à rejoindre un commerce de la rue de Vesoul à Besançon.

L’excellente coopération entre les services de police, les agents du centre de supervision urbain et les personnels de la société Keolis ont  permis son interpellation, une heure après les faits.

Un individu devra s’expliquer le 9 décembre prochain devant la justice. Le 26 août dernier, vers 15h45, il a été surpris en train de jeter deux colis par le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon. L’homme a été placé en garde à vue. Il a reconnu les faits au cours de son audition.  

L’excellente coopération entre les services de police, les agents du centre de supervision urbain et les personnels de la société Keolis ont permis l’interpellation en flagrant délit d’un auteur présumé d’un vol à l’arraché commis jeudi, en fin d’après-midi, à Besançon, au préjudice d’une personne âgée de 93 ans. Vers 18h30, l’agression a été commise dans un souterrain, alors que la victime s’apprêtait à rejoindre un commerce de la rue de Vesoul.  

La nonagénaire s’est fait arracher son sac à main qu’elle portait en bandoulière. Grâce à la mobilisation de tous les acteurs qui ont suivi à distance l’évolution du malfrat, ce dernier a pu être interpellé une heure après faits dans un tramway, dans le quartier Planoise.  Le sac de la vieille dame, qui avait été jeté dans un buisson, a pu être récupéré. L’individu se contentant de dérober l’argent qui se trouvait à l’intérieur.

Lors de son audition, l’homme, âgé de 23 ans, a tout d’abord fourni une fausse identité, mais les recherches effectuées dans les fichiers de la police, confirmées par ses empreintes, ont permis de lever la supercherie. Il a été placé en garde à vue. Les investigations se poursuivent.

Un homme est venu déposer plainte au commissariat de police de Pontarlier après avoir reçu deux faux mails, émanant de la police nationale,  expliquant qu’il avait été constaté qu’il avait visité des sites interdits.

Le courrier stipulait que si l’homme payait une certaine somme dans les plus brefs délais, les poursuites seraient interrompues. Ce qu’il s’est empressé de faire, malgré qu’il n’avait rien à se reprocher semble-t-il.

Le montant global des sommes versées s’élève à 5.000 euros. La police de Pontarlier rappelle que les forces de l’ordre ne demandent jamais d’argent sur internet. Lorsque des transactions doivent s’effectuer, elles se déroulent, en présence de la personne concernée, dans un bureau de la trésorerie générale de son lieu de résidence.