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Le Racing Besançon s’est qualifié pour le 6è tour de la Coupe de France. Les Bisontins se sont imposés sur le score de 4 buts à 2. Mehdi Boudiba (X2) et Aïssa Mazeghrane (X2) ont permis à la formation de Jean-Marc Trinita de l’emporter.

Ce samedi, pour le deuxième week-end consécutif, l’association des Traceurs Bisontins organisait des portes ouvertes au centre des cultures urbaines (ccub), implanté dans le quartier Saint-Claude, chemin des Torcols à Besançon.

Créée en 2011, l’association bisontine entend développer le parkour et le tricking et s’adresser à un public le plus large possible. Ses talentueux et intrépides pratiquants ont envie de partager leur passion. Ainsi durant ces deux week-ends, la structure a fait le plein d’inscriptions. Enfants, ados, adultes, débutants et confirmés sont venus à la pêche aux informations.

Un nouveau parkour park

Ce projet voit le jour avec la création d’un tout nouveau parkour park,  constitué de modules plus nombreux qui permettent de varier les plaisirs et adapter les interventions en fonction du niveau de pratique de chacun. Pour cette nouvelle saison sportive, une formule cours (200 euros), une formule sessions (150 euros) et une option créneau libre (50 euros) sont proposées. Néanmoins, le groupe n’entend pas délaisser les sorties à l’extérieur, « la base de cette discipline Â». Pour Killian Touel, Sébastien Burlet et Simon Greusard, le parkour park est un formidable outil d’entraînement et de formation, mais pas suffisant pour prendre complètement du plaisir lorsque l’on est un traceur chevronné.

Pour joindre les responsables bisontins de l’association : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

C’est un évènement d’envergure nationale qui s’est tenu ce samedi 12 octobre au gymnase Diderot, dans le quartier Planoise, à Besançon. Sous la responsabilité de la fédération handisport et du comité régional handisport de Franche-Comté, s’est déroulée, en terre bisontine, la coupe nationale adulte de sarbacane. Il y a deux ans, Besançon avait accueilli une compétition identique dans la catégorie jeune.

Pour cette édition, 72 compétiteurs, venus de toute la France, ont fait le déplacement. Au total, ce sont près de 200 personnes qui ont été mobilisées. On notera notamment la présence d’étudiants en formation activité physique adaptée et santé de l’UPFR des sports. Aux côtés des arbitres, ces jeunes bisontins avaient la lourde responsabilité d’assurer la mission de « marqueur Â». Autrement dit, ils devaient reporter les points obtenus par les candidats pour les épreuves de sélection et le classement final. Ces futurs professeurs de sport ont également largement participé à l’organisation de l’évènement et mis la main à la pâte durant toute sa durée.

C’est donc sous la forme d’un challenge que les participants se sont défiés dans les catégories avec ou sans assistance adaptées. Les handicaps sont parfois tellement lourds, que, pour les pratiquants ne pouvant se servir de leurs membres supérieurs, des potences sont installées. Grâce à ces installations, cette discipline permet à tout un chacun de pouvoir participer et de vivre pleinement de l’intérieur ce bel évènement sportif, qui s’est conclu par un moment de convivialité à Serre -les-Sapins.

C’est terminé au Rosemont, où le Besançon Football s’est qualifié pour le 6è tour de la Coupe de France. Pour la deuxième année consécutive, Pontarlier quitte la compétition prématurément. Pourtant en infériorité numérique, les Bisontins sont parvenus à pousser les Pontissaliens dans leur dernier retranchement.

A l’issue du temps réglementaire, le tableau des scores était vierge. Pour départager les deux équipes, il a fallu disputer les prolongations puis les tirs au but. Une ultime étape que le groupe d’Hervé Genet a mieux maîtriser.

Ce matin, vers 10h45, à Thoraise, les sapeurs-pompiers ont porté secours à un cheval qui était tombé dans le Doubs. On notera la présence de l’équipe spécialisée en risque animalier et des plongeurs. Une fois dégagé, l’animal a été vu par un vétérinaire sapeur-pompier. La décision a ensuite été prise de l’euthanasier.

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