Ce mardi après-midi, aux Arsures (39), un homme de 54 ans, a fait une chute de 2 mètres alors qu’il se trouvait dans une coopérative agricole.
Blessé à la tête, il a été héliporté, après avoir été pris en charge par les sapeurs-pompiers et un médecin, au centre hospitalier de Besançon.
Un accident de la circulation s’est produit cet après-midi, vers 15h, sur l’A36, à hauteur de Sampans (39). Une seule voiture est en cause.
Une femme de 33 ans, accompagnée de ses 4 enfants, dont une fille de 11 ans éjectée, sont impliqués. Cette dernière a été héliportée médicalisée par l'hélicoptère de la sécurité civile sur le CHU Minjoz. Son pronostic vital n'est pas engagé.
L'autoroute a été coupée à la circulation dans les deux sens pour faire atterrir l'hélicoptère. La maman et ses trois autres enfants ont également été transportés sur le centre hospitalier de Besançon.
Dans le cadre des opérations de contrôles routiers menées à l’occasion du week-end des 17, 18 et 19 octobre, on recense parmi les infractions relevées : 653 infractions relatives à un excès de vitesse, 24 procès-verbaux pour alcoolémie, 26 rétentions immédiates du permis de conduire, 17 immobilisations de véhicules et 4 conduites sous l’emprise de stupéfiants.
Les opérations de contrôle ont porté sur toutes les catégories de véhicules, sur l’autoroute A36, sur les routes nationales comme sur les routes départementales et communales
Depuis mars dernier, l’animation du Point d’Accueil Ecoute Jeunes de Pontarlier (PAEJ), situé rue des Capucins, a été confiée à Emilie Daclin, éducatrice spécialisée de formation. Après avoir confié cette responsabilité à des psychologues, le centre communal d’action sociale de Pontarlier a souhaité donner une autre dimension à ce lieu, qui, en quelques mois seulement, sous l’impulsion d’Emilie, a trouvé sa place et son public.
« Précédemment, nous avions des profils de psychologue. Mais, après réflexion avec nos partenaires, nous nous sommes rendus compte que ce profil ne correspondait plus à ce que l’on pouvait conduire et aux besoins de ce public sur Pontarlier. Le profil éducateur spécialisé convient davantage à une première approche de la difficulté du jeune. Ensuite, on peut réorienter vers d’autres partenaires plus spécialisés » explique Françoise Bourliaud, la directrice du CCAS pontissalien. Et de compléter « Sur le domaine de l’adolescence, nous travaillons avec le Conseil Général, la DDSEA, Res’ado, les établissements scolaires et de formation… . Nous avons un réseau partenarial très riche ».
Un lieu d’écoute gratuit et ouvert à tous
Dépendant du CCAS de Pontarlier, présidé par Patrick Genre, le PAEJ est ouvert du lundi au vendredi, de 10h 12h et de 14h à 18h. La structure s’adresse aux jeunes âgés entre 11 et 25 ans. « Mon rôle est de proposer un espace de paroles à des jeunes qui rencontrent une difficulté ou qui veulent prendre un temps pour venir échanger. Mon rôle est aussi d’évaluer la situation pour orienter vers d’autres structures, si une situation ne relève plus de mes compétences » explique Emilie Daclin. Des familles désespérées, qui n’arrivent plus à gérer la situation avec leurs ados, poussent également les portes de la structure. Depuis mars dernier, 150 personnes ont été accueillies.
Il est possible de contacter le PAEJ de Pontarlier au 03.81.46.30.63 ou au 06.72.09.56.90
Le lynx sévit dans le petit village de Bretonvillers, près de Pierrefontaine-les-Varans. Depuis août dernier, le prédateur a attaqué à dix reprises le troupeau de brebis de la famille Vuillier Devillers. Seize bêtes ont été tuées.
Les éleveurs sont inquiets. D’autant plus que les attaques se rapprochent dangereusement des habitations. La dernière, qui remonte à samedi dernier, s’est produite dans le centre du village. L’animal a été filmé à plusieurs reprises par les gardes fédéraux qui restent mobilisés pour protéger l’élevage. Pour l’heure, le prédateur étant protégé, il est impossible de l’abattre.
A Bretonvillers,, on espère qu’une solution sera trouvée d’ici le printemps prochain. En attendant, les animaux sont rentrés dans la bergerie. Une situation que déplore le responsable car, en cette période de l’année, « les bêtes pourraient encore profiter des verts pâturages du Haut-Doubs, avant la longue période hivernale.
