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Pour la première fois depuis 2004, le Tour de France traversera la Ville de Lons-le-Saunier ce vendredi 18 septembre. Et ce, dans le cadre de la 18è étape entre Bourg-en-Bresse et Champagnole. Le peloton traversera le territoire de l’agglomération lédonienne par Geruge, Macornay, La Fontaine aux Daims puis arrivera à Lons par la route de Macornay. L’arrivée dans la capitale jurassienne est prévue entre 15h11 et 15h19.

Pour la bonne organisation de l’évènement, la fermeture progressive des rues est prévue entre 9h et 11h. Selon l’horaire de passage de la course, les premières barrières pourraient être levées entre 15h30 et 16h et la dernière aux alentours de 17h. Dans la ville, les coureurs passeront par la route et le pont de Macornay, le boulevard Gambetta jusqu’à la gare, les avenues Aristide Briand et Thurelle, le carrefour de la Libération, l’avenue Paul Seguin, la rue Désiré Monnier, la route de Besançon, avant de prendre la direction de Le Pin/Voiteur. Rappelons que l’arrivée à Champagnole est prévue Entre 17h27 et 17h48.

La Ville de Besançon profite du niveau très bas du Doubs pour procéder au nettoyage de la rivière. Cette intervention se déroule actuellement en barque entre le Pont de Gaulle et la Rhodia.

En raison de la situation du Doubs, de nombreux détritus sont pris au piège par les végétaux à la surface de l’eau. « Ces opérations de nettoyage seront renouvelées durant l’automne Â» précise le communiqué de la marie.

« Historiquement, la gendarmerie a depuis très longtemps participé à la sécurité du Tour de France Â» souligne le Major Philippe Antoni, officier communication de la gendarmerie de Franche-Comté. Nous sommes là pour « renseigner, alerter et porter secours dans la bonne exécution des lois Â» continue-t-il. Cette année, au niveau national ce sont plus de 14.000 gendarmes départementaux, mobiles, et gendarmes réservistes opérationnels et spécialistes qui sont mobilisés. Concernant les étapes du Jura et de la Haute-Saône, ce sont 700 gendarmes locaux qui sont engagés dans la sécurité du Tour de France.              

Le COVID-19, une problématique de plus

« On est ici en matière de protection Â» affirme le Major Antoni, en rappelant que chaque spectateur qui assistera au Tour de France en bord de route, se devra bien évidemment de porter un masque. Cette surveillance intervient pour « Ã©viter la formation de clusters ou les rassemblements trop proches de la population Â» déclare-t-il. Le Major Antoni assure que les gendarmes présents dans la caravane publicitaire portent un masque, se lavent les mains avant de distribuer les goodies, et diffusent des consignes sanitaires via leurs 5 véhicules, par le biais de banderoles lumineuses et de micros. Gare aux fraudeurs, les spectateurs ne respectant pas ces consignes sanitaires feront l’objet d’un simple rappel à l’ordre s’ils ne portent pas de masque, et devront quitter les lieux s’ils n’en ont pas. Si les contestataires ne veulent pas entendre raison, ils seront alors verbalisés en dernier lieu.

Dans le cadre de l’exposition « le passé des passages Â» consacrée aux fouilles d’un quartier commerçant, proposé au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon, la Ville de Besançon propose jusqu’au mois de janvier prochain une riche programmation culturelle, baptisée « Besançon 2020, Besançon au temps de l’archéologie Â».

De Vesontio l’antique à la ville contemporaine de Besançon, c’est tout un pan de l’Histoire qui est mis à l’honneur dans différents lieux de la cité. Les initiatives ne manqueront pas jusqu’à l’hiver prochain : week-end romain les 3 et 4 octobre, avec notamment un combat de gladiateurs, rallye d’énigmes dans les rues de la ville, atelier de mosaïque gallo-romaine, conférences avec des archéologues, expositions, concerts, … .

Que les néophytes se rassurent. Cette initiative s’adresse à tous les membres de la famille. Une plongée au temps de l’archéologique, très instructive et ludique. Pour connaître le programme : sortir.besancon.fr

Hier soir, au centre-ville de Besançon, un automobiliste a foncé en direction de la terrasse de l’Iguane Café. Aucun blessé n’est à déplorer, mais le forcené est parvenu  à percuter des tables et des chaises.

L’individu a été maîtrisé par des agents du RAID, en civil, qui se trouvaient à proximité. Le parquet de Besançon évoque un possible mobile religieux.

L'homme  n’aurait pas supporté de voir des personnes s’attabler et boire de l’alcool à proximité de l’église Saint-Pierre. Les investigations se poursuivent. Le profil psychologique de l’individu va également être étudié avec attention.

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