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Dans le cadre de l’offre de sport prodiguée aux écoles par la Ville de Pontarlier, les ETAPS, les Éducateurs Territoriaux des Activités Physiques et Sportives, proposent actuellement aux jeunes pontissaliens une initiation au golf.

À cet effet, la collectivité a investi 1600 € d’équipements adaptés. Le but de cette opération est de favoriser l’ouverture d’esprit, et de gommer les différences et difficultés que les enfants peuvent rencontrer lors d’une pratique sportive.

Le CWUR (Center for World University) a publié cette semaine un classement regroupant les meilleures universités mondiales. Sur près de 20 000 établissements recensés, l’Université de Franche-Comté se classe dans les 5% les mieux notées. Un classement basé sur la qualité de l’éducation, l’emploi des diplômés, la qualité du corps professoral, et le rendement de la recherche.

Ce lundi 17 mai, la ministre de la transition écologique Barbara Pompili a rendu visite aux étudiants de l’Institut universitaire de technologie de Besançon dans le cadre de la promotion de l’indice de réparabilité. Les étudiants en Génie Mécanique et Productique (GMP) de cet établissement y suivaient une formation avec l’entreprise parisienne Spareka, qui aide au dépannage et à la réparation des appareils électro-ménagers. 

Un dispositif anti-gaspillage

L’indice de réparabilité est un indicateur permettant de savoir à quel point  l’appareil électro-ménager neuf que l’on peut acheter est réparable. L’objectif de cet indice est de sensibiliser le consommateur à la réparation du produit dès son achat en l’informant de la réparabilité de son appareil. Une mesure qui entre dans la loi « anti gaspillage Â» du 10 février 2020. Barbara Pompili s’est donc essayée au démontage d’une résistance de sèche-linge, sous l’œil désormais expert des étudiants. « C’est très satisfaisant et pas du tout difficile Â» déclare-t-elle. Pourtant, seulement 40% des appareils électroniques sont réparés en France. « Il s’agit d’un blocage psychologique, il faut passer le pas Â».

Réparer ses appareils, c’est facile

Geoffroy Malaterre, fondateur de Spareka, explique que 50% des appareils électro-ménagers qui sont jetés en France sont réparables pour moins de 40€. Son objectif est de créer chez le consommateur « le reflex d’essayer de réparer Â». Chacun peut donc se faire aider par l’entreprise  pour effectuer le diagnostic en ligne et changer (dans seulement 50% des cas) la pièce défectueuse. Cela permet de faire des économies, de respecter l’environnement et surtout d’avoir un sentiment de fierté, pour avoir réussi à réparer son matériel.

Pour accompagner la réouverture des terrasses ce mercredi, la Ville de Besançon va mettre en place un certain nombre de mesures. Lors du Conseil Municipal de jeudi, la maire Anne Vignot proposera aux élus l’exonération des droits de terrasses pour les six premiers mois de l’année. Une dizaine d’extensions temporaires de terrasses sont accordées, et s’ajouteront au maintien des 63 proposées l’an dernier. Des vitabris seront également à disposition jusqu’au 30 juin. Enfin, la direction hygiène santé de la Ville accompagnera sur demande les cafetiers et restaurateurs pour aménager au mieux les terrasses dans le respect des consignes sanitaires.

Les salariés de MBF Aluminium ne lâchent rien. Depuis ce mardi après-midi, à 14h30, quatre salariés de la fonderie jurassienne ont entamé une grève de la faim devant le ministère de l'économie. Cette action fait suite a toutes celles qui ont vu le jour depuis le mardi 6 avril dernier, où 150 salariés s'étaient rendus devant PSA à Sochaux, un des principaux sous-traitants de la firme. Pour cette nouvelle action à la capitale, ils espèrent pouvoir se faire entendre par Bruno Le Maire et Agnès Pannier-Runacher, la ministre déléguée en charge de l'industrie. Ils souhaitent expliquer la situation de leur entreprise et les menaces de liquidation qui pèsent sur elle actuellement. Pour le collectif jurassien : « les constructeurs Français et l'Etat ont le pouvoir de pérenniser MBF ».

Comme l'explique Vadala Saverio de la CFDT : « On est arrivé à un point ou l'on va mener une action violente et choquante pour préserver notre emploi et l'économie de notre ville ». Et de poursuivre : « On est dans une situation extrême, ou l'on se met en danger car on n'est pas écouté par le gouvernement. Cette grève de la faim est un appel au gouvernement, afin qu'il nous écoute et puisse nous réunir autour d'une table avec les constructeurs pour qu'ils tiennent leur responsabilité d'engagement envers MBF ».

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